Valmont Merteuil Ennemi Ou Ami

2) Lettre LXXXI de La Marquise de Merteuil au Vicomte de Valmont 1. Sachant que la thèse de la Marquise peut se formuler ainsi : « Vous n’êtes pas à la hauteur pour me donner des leçons », relevez les arguments qu’elle met en place dans le texte suivant. Paris, 20 septembre 17** Que vos craintes me causent de pitié ! Combien elles me prouvent ma supériorité sur vous ! et vous voulez m’enseigner, me conduire ! Ah ! mon pauvre Valmont, quelle distance il y a encore de vous

Baudelaire, « Invitation au voyage » 51 Rimbaud, « le Bateau ivre » Nouveau 55 « Tu es plus belle… » 59 63 67 71 Dom Juan I, 2 III, 2 IV, 3 V, 2 76 Le Jeu de l'Amour et du Hasard I, 6 81 Amphitryon I, 2 (extrait) 87 Les Liaisons dangereuses 92 Bel-Ami (incipit) 94 Le Rouge et le Noir Nouveau 97 La Princesse de Clèves Nouveau 101 Jacques le Fataliste Nouveau 105 L'Etranger Nouveau Lexique 2 3 L'ORAL DE L'ÉPREUVE ANTICIPÉE DE FRANÇAIS : RAPPEL DES TEXTES OFFICIELS ET… COMMENTAIRES Les encadrés

Les Fourberies de Scapin texte annexe 12 Julie ou la nouvelle Héloïse texte annexe 13 Les Liaisons dangereuses texte annexe 14 Les infortunes de la vertu texte annexe 15 Mme de Bovary texte annexe 16 L'Education sentimentale texte annexe 17 Bel Ami texte annexe18 Manifeste du Surréalisme texte annexe 19 Le Paysan de Paris texte annexe 20 La Belle du Seigneur texte annexe 21 Bonjour tristesse texte annexe 22 La Cantarice Chauve I ) Aux sources il y a l’amour antique : La civilisation

7 LE ROMAN DE RENART : BRANCHE Ia, 1873-1951 (corrigé établi d’après Inès Khemiri) Dan Renart qui le secle engigne, Fiert meinte beste et hocepigne, 1875Ne set sos ciel que fere doie, Molt crient que morir ne se voie. Renart n’i avoit nul ami, Tuit li estoient enemi. Bien savés tuit certeinement 1880Cest parole apertement Que, puis que hon est entrepris Et par force loiez et pris, Bien puet l’en voir au besoing Qui l’eime et que de lui a soing. 1885Por dan Renart que l’en devoure Ploure

les trouvères, le corps est évoqué par les yeux (de la dame) et le cœur (de l’amant). Sur le plan de l’expression : on relèvera la personnification d’Amour ; la comparaison de l’amour à une maladie (héritage d’Ovide), à une prison, à un feu, à un ennemi ; la récurrence de l’adjectif « doux » désignant allusivement le désir ; le jeu des antithèses (la dame, source de douleur, mais aussi remède ; l’amant qui attire alors même que la dame souhaite le repousser) et la métaphore du combat chevaleresque

l’histoire des duels du capitaine de Jacques. Reprise du récit de Jacques P 75 en bas Jacques raconte l’Histoire du capitaine et de son ami. Interrompue par le retour du char funèbre escorté de la maréchaussée. Les valets sont menottés ; hypothèses d’interprétation de toute sorte. P. 77 Reprise de l’Histoire du Capitaine de Jacques et de son ami, immédiatement interrompue par des scrupules de Jacques. [P. 77 – 79 scrupules de Jacques à parler d’un homme vivant son capitaine n’est peut-être

chauve Sarraute, Pour un oui, pour un non Roman : Madame de La Fayette, La Princesse de Clèves Laclos, Les liaisons dangereuses Balzac, Le Père Goriot Stendhal, Le Rouge et le Noir Hugo, Les Misérables Flaubert, Madame Bovary Maupassant, Bel-Ami Zola, L’Assommoir Camus, L’Etranger Céline, Voyage au bout de la nuit Proust, « un amour de Swann » extrait de Du côté de chez Swann Robbe-Grillet, Djinns Argumentation : Montaigne, Sans commencement et sans fin (extraits des Essais) La Fontaine

que je suis calme, très calme en ce moment. De t’avoir dit ce que j’avais sur le cœur et qui me trottait dans la tête à m’en rendre fou m’a fait du bien. Maintenant je sais où j’en suis (nulle part), et où je vais (là-bas). Merci Macha. Sacha, ton ami. P.-S. : Pense à moi. P. J. sacha.jpgDe : Macha <macha@intercom.fr> À : sacha@intercom.fr Date : 08 mai Message : Sacha, c’est quoi ton plan, là  ? Qu’est-ce que tu comptes faire  ? Où comptes-tu aller ? Et c’est quoi ce : « Pense à moi » qui

(pied dans les couilles). — Crève ! (tabouret en bois sur les dents). — Je vais te TUER ! (cafetière d'eau bouillante dans les yeux). Jean-Georges et moi nous disputons souvent. Jean-Georges est mon meilleur ami, si tant est qu'il existe une pareille chose. Mais c'est aussi mon pire ennemi : ça va bien ensemble. Il vit seul dans un gigantesque hôtel particulier prêté par son vieil oncle écossais. Après plusieurs tentatives de suicide que je le soupçonne d'avoir involontairement ratées, Jean-Georges

Usbek de fuir une cour corrompue où sa « sincérité » (l. 12) lui a attiré une hostilité presque unanime. C’est ce qu’exprime cette longue phrase, qui énumère les véritables motivations de son départ : « quand je vis que ma sincérité m’avait fait des ennemis ; que je m’étais attiré la jalousie des ministres, sans avoir la faveur du prince ; que, dans une cour corrompue, je ne me soutenais plus que par une faible vertu, je résolus de la quitter » (l. 12-15). Les trois propositions complétives introduites