Valorisation D Un Swap De Taux

A qui lui donne cette fois-ci des instructions de paiement correctes. Au total dix jours se sont écoulés entre la date à laquelle la banque A aurait dû recevoir les fonds et celle du paiement effectif. 30 millions d’euro non placés par exemple à un taux de 4 % induisent un manque à gagner quotidien de 3333.33 euro(sans compter que l’investisseur aurait pu revendre immédiatement les titres reçus et disparaître sans régler la banque A). b) Une opération sur titre passée par erreur sur un compte

sous-jacent Actif (action, obligation, indice boursier,... tous les contrats financiers à terme), pouvant être acheté (dans le cas d'une option d'achat) ou vendu (dans le cas d'une option de vente) par le détenteur qui exerce l'option ou qui réalise un swap. Action Titre de propriété représentant une fraction du capital de l'entreprise. Il confère un certain nombre de droits pour celui qui le possède, notamment celui de recevoir une partie des bénéfices réalisés par l'entreprise (les dividendes) et

d’éliminer la répression financière en libérant les taux d’intérêt et permettre le passage d’une économie d’endettement à une économie de marchés financiers . La politique quantitative a cédé la place à la politique qualitative reposant sur le libre jeu du marché et les mécanismes de contrôle indirect. D’importantes actions ont été entreprises à cet effet : déréglementation, désintermédiation, décloisonnement, désencadrement, libéralisation des taux d’intérêt. Les innovations financières issues de

4.7 - Risques de taux La trésorerie n’est pas couverte contre les risques de taux. Concernant les emprunts, nous avions 10,03 M€ d’en-cours au 30.04.07 indexés sur des taux variables, dont les couvertures suivantes ont été négociées : La société DIFFUSION PLUS a conclu le 29.10.02 une opération d’échange de taux portant sur un montant dégressif allant de 4,12 M€ à 1,25 M€ sur la période du 02.10.03 au 02.01.08 aux conditions suivantes : - Si le T4M est inférieur à 3 %, le taux sera de 4,17 %. -

2001 dont respectivement 287 et 75 millions d’euros pour la part du groupe. Audelà de la progression du résultat opérationnel déjà mentionnée, cette évolution très positive, reflète notamment la réduction des charges financières liée à la baisse des taux d’intérêt et aux ressources dégagées par la cession d’actifs. L’amortissement des écarts d’acquisition se monte à 109 millions d’euros (part du groupe), à comparer à 70 millions en 2001 ; cette variation provient de la réduction de la durée d’amortissement

Facteurs macroéconomiques 2.4.1. Chômage 2.4.2. Dépenses des consommateurs 2.4.3. Indices des prix à la consommation 2.4.4. Indicateurs de conjoncture 2.4.5. Indicateurs de confiance des consommateurs 2.4.6. Evolution des marchés financiers 2.4.7. Taux d‟intérêt et coût du crédit 120 121 124 125 128 131 133 134 2.4.8. Variables macroéconomiques retenues dans le modèle explicatif 136 2.4.9. Analyse des corrélations 137 9 PARTIE 3 : MODELISATION DU RISQUE SYTEMATIQUE 139 1. MODELE

sphère financière en raison de l’importante titrisation des créances immobilières. Cette crise devenue internationale a affecté « l’économie réelle » à la fois par le biais des conditions de financement de l’économie et par la chute importante des valorisations boursières. L’augmentation importante des matières premières a concouru également au contexte économique général, même si elle n’est pas liée à la crise financière. Cette augmentation affecta nettement et durablement les collectivités territoriales

clients / Services Qualité Produit / Santé Produit Gestion commerciale • • • • • Exploitation Outil industriel Outil de distribution Sous-traitance Conformité réglementaire Maîtrise coûts de production Finance • Risques de march és (change, taux, prix matière) • Financement / Trésorerie • Fiscalité/ Douanes • Assurance • Comptabilité • • • • • RH Gestion compétences et savoir Évaluation / Motivation Gestion administrative Climat / Relations sociales Santé des employés Juridique • •

paiement des titres et leur nature. Cela rend les nouveaux titres plus accessibles aux investisseurs. • Rehaussement de crédit : amélioration du degré de sécurité des titres émis. Afin de quantifier cette notion, l'opération de titrisation calcule un Taux de Rehaussement de Crédit (TRC) à atteindre. Par exemple, si on veut atteindre un TRC de 20% sur 100 euros de créances éligibles, on emmétra 80 euros sous forme de titres prioritaires vendus aux investisseurs, et 20 euros sous forme de titres subordonnés

du mod`ele de Merton . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 144 12.2.1 G´en´eralisation de la notion de d´efaut . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 144 12.2.2 Introduction de sauts dans le processus de valorisation des actifs 12.3 M´ethodologie mise en place par K.M.V. Corporation . . . . . . . . . . . 12.3.1 Une mesure du risque de d´efaut : la distance au d´efaut . . . . . . 12.3.2 Estimation de la distance au d´efaut . . . . . . . . . . . . . . . . 12