Valorisation D Un Swap De Taux

L’environnement macroéconomique mondial 2.2 Les évolutions monétaires et financières 2.3 Les évolutions de prix et de coûts 2.4 Les évolutions de la production, de la demande et du marché du travail 2.5 Les évolutions budgétaires 2.6 Les évolutions des taux de change et de la balance des paiements 3 LES ÉVOLUTIONS ÉCONOMIQUES ET MONÉTAIRES DANS LES ÉTATS MEMBRES DE L’UE HORS ZONE EURO CHAPITRE 2 LES OPÉRATIONS ET LES ACTIVITÉS DE BANQUE CENTRALE 1 LES OPÉRATIONS DE POLITIQUE MONÉTAIRE, LES OPÉRATIONS

globale et démarche prévisionnelle. 22 Section 2: gestion de risque de liquidité 24 1) Généralité sur la liquidité 24 2) Identification du risque de liquidité : 30 3) mesure du risque de liquidité 31 Section 3 : gestion de risque de taux : 34 1) notion préliminaire : 34 2) Le risque de prix 35 2.3) Les outils sophistiqués de mesure de risque de prix 36 3) La gestion du risque de prix 40 3.2.1) L’identification du risque de change 46 Conclusion : 50 Troisième chapitre:

découvert porte sur un montant maximum à ne pas dépasser, il est remboursé sur une période fixée à l'avance en accord avec le banquier. Cette période ne peut pas dépasser deux (2) ans parce qu'il s'agit d'un crédit à court terme. Il est assujetti à un taux d'intérêt débiteur fixé par la banque. Ce découvert peut être renouvelé par tacite reconduction fait l'objet d'une convention passée entre la banque et le client * Le prêt personnel Un prêt personnel est une forme de crédit destiné au particulier

vendue représente l’utilisation d’un lit et de l’ensemble des installations par un client pendant une journée. TAUX D’OCCUPATION, CAPACITE Le taux d’occupation est le rapport, exprimé en pourcentage, entre le nombre de journées hôtelières vendues et la capacité globale. La capacité représente le nombre total de journées hôtelières ouvertes à la vente sur une saison ou une année. Le taux d’occupation évalué en nombre de lits permet d’apprécier le remplissage des villages. VOLUME On entend par « effet

plus en plus à la gestion économique de leurs activités une gestion financière fondée sur une recherche constante de réduction de coûts pour élever les marges, de réduction des frais financiers, notamment par la réduction du risque client, de valorisation des actifs par des fusions et acquisitions nécessitant une ingénierie financière rigoureuse et créative. • • • N°3 - Directeur financier N°8 – Auditeur interne N°9 – Contrôleur de gestion Consulter les fiches • • • • N°3

5 Mécanismes de stabilisation des prix .............................................................32 1.5.1 Les taux d'intérêt ................................................................................................. 33 1.5.1.1 1.5.1.2 1.5.1.2.1 1.5.1.2.2 1.5.1.2.3 Inflation maîtrisée et taux d'intérêt à long terme ....................................34 Impact des taux d'intérêt .......................................................................35 Le déficit du commerce extérieur

31/12/07 31/12/08 31/12/09 31/12/07 31/12/08 31/12/09 taux de contentialité en % taux de couverture en % (1) Résultat net part du Groupe de la période / nombre d’action. RappoRt annuel 2009 11 Chiffres Clés Consolidés aux normes ifrs (MaD m) (1) Total bilan Fonds propres Total crédits (2) Total dépôts (3) Produit net bancaire Résultat brut d’expoitation Résultat net Résultat net part du groupe Taux de contentialité Taux de couverture Coefficient d’exploitation Coût du risque

Le chiffre d’affaires des filiales françaises des agences de notation s’est inscrit en baisse depuis 2007. La baisse de l’activité titrisation a été partiellement compensée par l’augmentation du chiffre d’affaires des services de données, de valorisation et d’analyse crédit. Il a oscillé entre 8% et 12% du chiffre d'affaires européen, ce dernier représentant au mieux 30% du chiffre d’affaires total des agences. -7- S’agissant de la notation de crédit des entreprises en France La crise

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23 3 4 Risques juridiques Risques de marché 4.1 Risques de taux de change . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.2 Risques de liquidité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.3 Risques de taux d’intérêt . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4 Risques de crédit . . . . . .

monétaire et du cadre légal vont conditionner l'efficience de l'économie. Les mécanismes d'intervention publique dans le système, dont les intermédiaires financiers sont les instruments, comprennent : la régulation du stock monétaire (politique de taux d'intérêt, d'open market); la gestion des réserves de change et l'encadrement des mouvements de capitaux; la génération du cadre de fonctionnement capable d'assurer une protection adéquate des parties aux opérations financières, notamment celles qui