Variateur Vitesse

d’équipements de sédimentation adéquats dépend de deux facteurs : - la taille matérielle du courant à traiter (débit d’alimentation F et concentration initiale en solides C0 de celui-ci) - les caractéristiques de sédimentation de la matière à traiter (vitesses de sédimentation, répartition granulométrique des particules). 2. Les différents régimes de sédimentation Le phénomène de sédimentation donne lieu à trois régimes possibles, qui se distinguent essentiellement par le niveau de concentration

référentiel lui même galiléen : - La trajectoire du mobile peut changer de forme. - La vitesse du mobile change. On dit qu’il y a relativité du mouvement. Les vitesses calculées dans les deux référentiels sont liées par : V M / R1 = V M / R 2 + V R 2 / R1   ↑ Vitesse de M dans R1 ↑ Vitesse de M dans R 2 ↑ Vitesse de R 2 par rapport à R1 : cette formule s’appelle la « loi de composition des vitesses ». 1.2- Définition approchée. € pas de référentiels galiléens stricts. On est obliger

circulaire. Travail demandée : A) Étude vectorielle du mouvement : Tracer les vecteurs « vitesse moyenne » : V1 V4 V2 V5 V3 V6 L’échelle choisie est : 1 cm  25 cm Ces vecteurs « vitesse moyenne » peuvent être assimilés au vecteurs « vitesse instantanée » des points qui se situent au milieu de la distance entre les 2 points de la vitesse moyenne. Les modules respectifs des vecteurs vitesses instantanées : II V0→1 II = 13,4 cm II V3→4 II = 8,8 cm II V1→2 II = 12 cm II

d'introduction : la chute libre d'un corps LA LOI Un corps en chute libre, lâché sans vitesse initiale a parcouru au bout de t secondes la distance d(t) (en mètres) d(t) = 5t2 exprimée par : Calculer la distance parcourue par le corps en chute libre au bout de 0, 1, 2, 3, 4, 5 secondes. Tracer la courbe représentative C de la fonction d sur l'intervalle [0 ; 5]. A) LE POINT DE VUE CINÉMATIQUE 1. Calculer la vitesse moyenne du corps en chute libre dans les intervalles de temps [0 ; 1] ; [1 ; 2]

coordonnées cartésiennes dans la base cartésienne et des coordonnées cylindriques dans la base cylindrique. 4 – a) Calculer les dérivées temporelles des vecteurs de la base cylindrique par rapport à R. b) En déduire les expressions des vecteurs vitesse v et accélération base cylindrique.  dans la Solution exercice 1. (Voir cours) Il est impératif que l’étudiant se familiarise avec les différents systèmes de coordonnées, et surtout les coordonnées polaires (cylindriques avec z = 0) qu’on

But: Déterminer les paramètres de l'équation de vitesse d'une réaction chimique ( ordres et constante). Tableaux des lectures: Tableau 1: Absorbance mesurée avec le bleu de bromophénol avec le NaOH (expérience 1). Temps (min) ±0,1 Abs ±0,001 Ln(abs) 1/(abs) 0 0,795 -0,2294 1,2579 2 0,693 -0,3667 1,4430 4 0,612 -0,4910 1,6340 6 0,544 -0,5209 1,6835 8 0,478 -0,7381 2,0921 10 0,418 -0,8723 2,3423 12 0,369 -0,9970 2,7100 14 0,324 -1,127 3,0864 16 0,285 -1,255 3,3088 18 0,251 -1,382

 changer  d’état.       Figure 4.1 §  Si   la   résultante   des   forces   agissant   sur   le   blocs   est   nulle  (corps  pseudo-­‐isolé),  le  bloc  se  déplace  à  vitesse   constante   ce   qui   veut   dire   que   son   accéléra;on   est   nulle.     v Tension Frottement §  CeKe  loi  fait  intervenir  une  propriété  appelée  iner'e.   ©

Laboratoire 2 1. Analyse graphique : L’équation de la courbe du graphique 2 de forme y=mx+b, soit linéaire, est v­y=-127.34t+53.682, où vy correspond à la vitesse instantanée du projectile en cm/s et t corresponds du temps en secondes. Ainsi, la pente et l’ordonnée à l’origine de cette droite sont respectivement ay=-127.34cm/s2 ainsi que vyo=53.682cm/s Pour obtenir les droites de pentes extrêmes, nous avons déterminé en premier lieu les points situés aux extrémités de la droite expérimentale

l’autre à des vitesses différentes, se rencontrent. Il s’agit d’un écoulement élémentaire, que l’on retrouve dans de nombreux écoulements naturels ou industriels. On peut citer par exemple la jonction de deux rivières à leur confluent, comme cela est illustré sur la Figure 1 au confluent du Rhône et de la Saône, à Lyon. Figure 1 : Couche de mélange au confluent du Rhône et de la Saône (Source Google Earth). L’objectif de ce TP est d’étudier l’évolution du profil transversal de vitesse moyenne en fonction

longueur 58,5 Instrumentale 0,1 Non-instrumentale 0,3 Totale 0,4 hauteur 15,0 Instrumentale 0,1 Non-instrumentale 0,2 Totale 0,3 diagonale 60,5 Instrumentale 0,1 Non-instrumentale 0,1 Totale 0,2 Tableau 4. Les coordonnées des vitesses y et x en fonction du temps t (s) Vy (cm/s) Vx (cm/s) ΔVy (cm/s) ΔVx (cm/s) 0 7,27 27,1 0,00 0,5 0,05 6,13 27,1 0,07 0,5 0,1 4,96 27,1 0,04 0,5 0,15 4,04 27,1 0,10 0,5 0,2 3,05 27,1 0,07 0,5 0,25 1,96 27,0 0,00 0,5 0,3 1,35 27,0 0,14 0,5 0