Vautrin Questions Rhetoriques

Amériques et défend les indiens. La ponctuation : modalité exclamative. Questions oratoires → signe d'émotion. Rapidité à la phrase : phrase nominale fin : stichomythies pour les 2 Hommes accumulation ; répétition ; procédés anaphoriques « s'écrie » l.13, 57 Utilisation de polysyndête : « Eh bien » l.57 + l.22 contraire de assyndète → répétition successive de conjonction de coordination Accumulation de questions oratoires qui met en cause le … l.71,72,73 l.75 : Remet en cause les connaissances

présent de l’indicatif « Les perruquiers français décident en législateurs / le gout de leurs cuisiniers régner » expriment de l’indignation et de l’incompréhension. L'antithèse « avec ces nobles avantages » montre une lettre comique. La question rhétorique « qui peut penser qu'un royaume […] soit gouverné […] par des lois qui ne sont pas faites pour lui ? » exprime une critique de l'obstination française. La concession « il est vrai que » expose un jugement nuancé et informé. L'adjectif péjoratif

correspondance entre deux Persans, l’ auteur fait sentir à travers des yeux neufs la gravité de ce qui révèle le caractère manipulable des Français, explicitement concernés. L’étonnement du faux narrateur met en valeur la stupidité réelle de ceux dont il est question et débouche sur une critique de la politique. Ainsi l’exotisme de la date farfelue et des prénoms masquent le pamphlet sous- jacent. Rica exprime son étonnement avec sa subjectivité romanesque : « Je trouve les caprices de la mode, chez les Français

après deux questions oratoires pour attirer l’attention de Mme ( vers et 82 83) elle accuse Tartuffe d ‘être jaloux. Mme Pernelle la remet à sa place avec une exclamation d’indignation «  vers 85 ». Elle ajoure que Tartuffe n’est pas le seul à être contre toutes ces visites qui entraînent un grand vacarme. Et ajoute qu’in ne faut pas en parlé «  vers 92 ». Cléante vient au secours de Dorine et interpelle la vieille avec une exclamation (hé !) et énonce son argument par une question oratoire()

faire. II) Mise en accusation de Dom Juan. « Et le credit de mes amis » -> « Ah quel bassesses » l.174 Don Louis fait une mise en accusation de Dom Juan Commence par une interjection « Ah » l.174 par une ponctuation expressive « ! » et par une question oratoire l.175-176. Il remet alors en cause Dom Juan et il l’interpelle. Il essaye de lui faire honte « ne rougissais point » l.175 Don Louis exclus sont fils de la famille car il a honte de l’avoir fait naitre. Il ne supporte plus sa présence

victimes, (8) moralement du monde qui nous entoure. Pour Sophia Siméonidis cette morale s’est illustrée par la mort. Légende : Euphémisme (1), Présentation des idées comme étant rapportées.(2)Utilisation de l’indicatif,(3) antiphrase (4) , question rhétorique(5), vocabulaire péjoratif (6), mise en évidence d’incohérence(7), répétition (8).

DOM JUAN , ACTE 5 SCENE 2 I- L'art de la rhétorique de Dom Juan 1.Une parole efcace : -> la tirade permet à Dom Juan de dévoiler son argumentation et de révéler ses véritables sentiments envers la religion et l'hypocrisie. Emploi du pronom indéfni " on ", pluriel " ils ", métaphores, personnifcations et évocations concrètes " ferme la bouche ", " un bouclier "… contribuent à l'efcacité de sa parole => convaincre S et le spectateur de la justesse de ses idées, de son attitude 2- Une démonstraton :

I. Une argumentation très travaillée 1. La rhétorique antique L’auteur utilise nombreux procédés caractéristiques à la rhétorique antique pour styliser son récit et, ainsi, le faire plus convainquant. Parmi ces procédés, apparaissent :  L’éloquence est une notion qui est caractéristique à la rhétorique antique, puisqu’elle repose sur le fait de bien parler, une des caractéristiques les plus marquantes de cette technique d’argumentation. Citation : « il n’y a de caractères ineffaçables que ceux

prouve la difficulté à convaincre ou Persuader un auditoire. 1) Utilisation structure particulière Question rhétorique + utilisation présent vérité générale. => interpelle lecteur, le fait réfléchir et permet de lui faire suivre la pensée de l’auteur. + Utilisation exemples précis * Lecteur « ouvre ses portes » et peux être persuadé/convaincu. Ex : nombreuses question rhétorique + présent vérité générale dans teste D’Etienne de la Boétie. 2) Un développement progressif L’auteur

Situation de l’extrait et justification de la question : Il s’agit d’un extrait de la 2nde entrevue entre Junie et Britannicus dont on sait qu’ils s’aiment mais que la jalousie de Néron les sépare. Junie, prisonnière de Néron, a dû afficher une grande froideur lors de leurs premières retrouvailles au palais scène 6 de l’acte II mais le spectateur, qui a vu cette rencontre se dérouler sur scène, n’ignore rien de l’amour de Junie pour Britannicus malgré la froideur feinte en présence de Néron. Le spectateur