Vertu Voltaire

partis. Parente des proches du roi elle est de la même maison que le vidame de Chartres. Elle se mariera avec le Prince de Clèves mais tombera amoureuse du Duc de Nemours. Relation à laquelle elle se refusera car celle-ci est en opposition avec la vertu prônée dans son éducation. ➢ Madame de Chartres est la mère vertueuse de la Princesse de Clèves. Elle meurt pendant la première partie du roman, où elle donne à sa fille des conseils à propos de ce qu'elle constate sur sa relation avec

manifeste quand Pantagruel saura discuter en toute occasion (l.31) b) Une vie vertueuse -Gargantua est contre la violence (l.34) il préfère la diplomatie - « Bien profiter en étude et en vertu »(l.15) - Tout ce qui concerne la piété et la charité (l.44) en utilisant le rythme tertiaire - Vertus théologales (l.45) -Ch. Lex. De la religion est dispensé : -référence à la -(l.47) « les aime comme toi même » -(l.14) « Dieu créateur » Là le titre de Gargantua cherche à convaincre et

traduit la méfiance des écrivains classiques pour la passion. Le roman est composé de quatre parties, dans lesquelles est présentée une partie de la vie de Mlle de Chartres qui devient Mme de Clèves. Mlle de Chartres, parfait symbole de la vertu et de la sincérité, arrive à la cour d’Henri II avec sa mère, dont elle est très proche, à l’âge de seize ans. Elle se fait très vite remarquée, par le chevalier de Guise et le prince de Clèves, par sa beauté inégalable. N’éprouvant pas de sentiments

irrationnelle, mais on peut agir sur elle à travers la pratique constante des vertus, donc on peut éduquer cette partie grâce à l'habitude. La régulation correcte de cette partie nous permet de développer des vertus éthiques. Cette partie est commune à l'homme et à l'animal) -partie rationnelle (qui est propre de l'homme, donc la vertu la plus excellent est celle qui vient de l'exercice correct de la partie rationnelle, donc les vertus intellectuelles, qui sont supérieures par rapport aux éthiques)

vs une femme adultère 2. femme clairvoyante sur la situation de Florence, du duc et du cardinal vs aveugle sur les limites de son pouvoir 3. femme vertueuse vs femme qui perd sa vertu Et le fait que la marquise est un double féminin de Lorenzo : 1. veulent faire triompher la cause républicaine 2. sacrifient leur vertu à leur cause 3. sont orgueilleux 4. actions qu'ils mènent, vaines.

bonheur de ses propres mains Livre 8 et 9 qui porte sur la vertu de l’amitié Aristote : « L’amitié est une certaine vertu où ne va pas sans vertu.. Est un secours aux jeunes gens...(jusque’à : et la plus haute expression de la justice est dans l’opinion générale de la nature de l’amitié » L’amitié n’est pas à proprement parlé une vertu, comme par exemple le courage ou la justice mais en quelque sorte accompagne une situation de vertu et nous allons voir qu’il n’y a de véritable amitié qu’entre

LA LECON DONNEE PAR MOLIÈRE Molière peine à comprendre et à dénouer l'hypocrisie. Tant il y a à penser d'obscurité et de démesure dans ce genre du mal qui consiste à singer ouvertement le bien, à le reconnaître par un hommage pervers du vice à la vertu, à l'utiliser comme un moyen de persuasion et de force. Il n’hésite pas à dénoncé cette vie d’époque basé également sur le libertinage, cette vision de l’homme et du monde qu’il raconte de façon caricaturé, ironique voir même dérisoire.

même si ces vérités venaient à être découvertes, celles-ci excéderaient la faculté de compréhension de la foule. Les pro-religions nous offrent donc un portrait plus pratique de la religion; elle agirait comme ‘’un étendard public du droit et de la vertu’’ (Kant, Sur la religion) et assurerait un chemin à suivre permettant la cohésion et l’ordre sociale, contrairement à la philosophie qui elle se base sur des principes dit plus théoriques et changeant constamment de forme. C’est de cette façon qu’on

tolérance semble aller de soi. L’intolérance est l’une de ces attitudes qui rencontrent une réprobation quasi spontanée. Mais n’est-ce pas précisément à cause de l’impossibilité d’accepter l’intolérance que l’on crédite globalement la tolérance de quelque vertu ? La remettre en question, ne serait-ce pas faire fi du prix dont la société l’a payée face aux despotismes en tous genres ? Et pourtant il faut oser la remettre en question. Pour une triple raison. La première raison tient au fait que le mot devenu

de ressources. Le seul danger avec l’efficacité est que les gens en fassent une valeur absolue et qu’ils ignorent les autres éléments d’un bon fonctionnement social. « La justice est un principe philosophique, juridique et moral fondamental en vertu duquel les actions humaines doivent être sanctionnées ou récompensées en fonction de leur mérite au regard du droit, de la morale et autres sources prescriptives de comportements ». Elle est dons essentielle dans notre société. C’est ce qui nous assure