Vieillard Et Derviche

2. La petite communauté s'ennuie (-- « et n'en croyait rien »). 3. La rencontre de Paquette et du frère Giroflée. (--- « Philosopher plus que jamais. »). 4. La visite chez le derviche. (.. « Leur ferma la porte au nez »). 5. La vie politique à Constantinople et la vie paisible chez le vieillard turc (---« l'ennui, le vice, et le besoin. »). 6. Le dernier discours de Pangloss et l'interruption de Candide (--- rendre la vie supportable »). 7. Le dénouement et la philosophie

philosophique et l’idéal social de Voltaire. CANDIDE ; chap. 30 : Le derviche et le bon vieillard Dernier chapitre intitulé « conclusion » dans lequel Voltaire va progressivement donner sa réponse concernant la quête du bonheur. Structure : 3 paragraphes, un pour le derviche, un pour le bon vieillard, un petit paragraphe pour la conclusion donnée sous forme de maxime. I Le dialogue avec le derviche - le derviche et Pangloss Le dialogue commence et s’achève par une prise de

l’idéalisation de l’enfance. Annonce du plan. I) La rencontre avec le derviche Derviche = personne qui fait des expériences. Méditation + exercices spirituels = grand philosophe. Vit à l’écart du monde tel un ermite pour se consacrer à Dieu. Perso respectable et sain. Réponse paradoxale du derviche : ne pas consacrer sa réflexion à ces questions métaphysiques pour lesquelles l’homme n’a pas les compétences pour répondre. Derviche s’exprime par apologue (morale) et a recours à une fable. Pour lui,

partent à la rencontre d’un derviche qui est désigné très positivement « très fameux » « le meilleur philosophe » p151 on croit alors que nos trois compagnons vont trouver des réponses a leurs questions et donc des solutions à leurs problèmes. Mais une fois de plus Voltaire se joue de nous, puisque le derviche ne donne aucune réponse et leurs répond uniquement par de nouvelles questions « de quoi te mêles-tu ? » « est-ce là ton affaire ? » « Qu’importe, dit le derviche qu’il y ait du mal ou du bien 

est extrait du chapitre XXX (« Conclusion ») de l’ouvrage, c’est-à-dire du dernier chapitre. Au terme de leurspéripéties, Candide et ses amis, dont Pangloss, s’installent en Turquie. Le héros fait deux rencontres marquantes, celle d’un derviche turc et d’un vieillard, grâce auxquels il comprend quel mode de vie et depensée il doit adopter ; il en ressortira la célèbre phrase « il faut cultiver son jardin ». Nous allons voir comment se clôt le conte et de quelle manière Voltaire affirme sa vision philosophique

vie agitée) ou rabâchent (cf. PA.) Même à Constantinople, où la vie semble + douce, règne un régime politique instable et violent. La rencontre avec le derviche au début du chap. a indiqué à CA (mais pas à PA. !) la voie à suivre: refuser les interrogations métaphysiques, se méfier du langage, se soumettre à la Providence. Celle avec le vieillard lui donne l'exemple concret et simple (≠ celui, utopique, de l'Eldorado) de cette sagesse: se retirer du monde de la violence, travailler et faire fructifier

vont vivre en métairie (ferme). Problématique : En quoi Candide et ses compagnons se remettent ils en cause ? I) Deux leçons de sagesse A) La leçon donné par le Derviche ( jusqu’à la ligne 80) - (ligne 2) le meilleur philosophe de la Turquie, cadre orientale fréquent au 18eme siècle comme les Lettres Persanes de Montesquieu. Les derviches est représenté come les philosophes dans ses contes ,des sages. - (ligne 3) Pangloss (qui signifie en grec : tout en langues) est fidèle à son nom et parle le premier

qui s’est posée tout au long de l’œuvre : Comment survivre en ce monde, et comment supporter l’idée que le Mal y est omniprésent ? 1° rencontre et 1° ébauche de ccl : celle du derviche qui « passait pour le meilleur philosophe de la Turquie ». A la parole de Pangloss et de Candide, va s’opposer celle du derviche. P. pose une question très métaphysique : pourquoi l’homme a-t-il été créé Et C. renchérit sur une q° à la fois métaphysique et théologique : pourquoi le mal ? Ce qui sous-entend une

Candide A)La rencontre avec le derviche a) position de Pangloss empêtré stéréotypes. b)position de candide point de vue autonome, lucidité nouvelle c) la réponse du derviche repli sur soi, symbolisée par la porte claquée au nez des opportuns B)La rencontre avec le vieillard a)détachement calme du vieillard par rapport aux horreurs de la société « le jardin que je cultive » amorce de la formule finale du roman b)hospitalité orientale du vieillard « le travail éloigne de nous les

sagesse, représentée en particulier par les deux « sages » rencontrés (le derviche et le vieillard). Candide, mûri par l’expérience, apparaît maintenant capable de prendre des responsabilités indépendamment de l’influence de Candide qui, lui, n’a guère évolué.     I)                  LES CRITERES DE LA SAGESSE   Voltaire en met plusieurs en relief :   a)     Les bienfaits du travail :        L’exemple du vieillard : il vit heureux car il se contente d’envoyer vendre à la ville les fruits