Vieillesse Medias

de la Nation" représente désormais plus du tiers du produit intérieur brut. Or, pour l'essentiel, ces dépenses échappent à tout véritable contrôle et à tout système régulateur. Elles sont associées à six grandes catégories de risques : - La vieillesse et la survie (pensions de retraite, pensions de réversion, prise en charge de la dépendance). - La santé (prise en charge totale ou partielle de frais liés à la maladie, à l'invalidité, aux accidents du travail et aux maladies professionnelles)

MINIMUM VIEILLESSE Le minimum vieillesse a été simplifiée en 2006 en une prestation unique : l’allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA). * Présentation : Constitue un montant minimum de pension de vieillesse accordé, sous conditions de ressources, aux personnes qui n’ont pas suffisamment cotisé aux régimes de retraite pour pouvoir bénéficier d’un revenu d’existence , à l’âge de la retraite. Les sommes versées au titre de l’ASPA sont récupérables au décès de l’allocataire sur sa

haïr la famille. 6) Avant 1970, des organismes d'aide aux personnes âgées ont été mis en place pour une meilleure condition de vie : Le régime de la sécurité sociale comme la retraite en 1945. Le minimum vieillesse en 1956 Le fond de solidarité vieillesse en 1996 D'un point de vue matériel, la condition des vieillards a changé : les revenus des actifs et des retraités sont comparables. Par l'allongement de l'espérance de vie, la distribution de l'héritage se fait

seule) ; 13 889,62 € (ménage) Plafond de ressources mensuel Aide juridictionnelle totale : 9'15 € ., Aide juridictionnelle partielle : 1 372 € . Majoration : 165 € pour les 2 premières personnes à charge, 104 € au-delà .. Pension de vieillesse .. .r.# ,. minimum contributif : pensions attribuées avant Ie 1er janvier 2004, 595,64 €/mois pour '150 trimestres de cotisations; pensions attribuées entrejanvier 2004 et mars 2010, montantfixé à la date d'effet de la retraite et revalorisé

tranchées et un autre a subi des blessures aux séquelles définitives; à quarante ans, ils vécurent dans la crise des années 30, et ils ont cinquante ans en 1944; la moitié à peine atteint l’âge de 65 ans, sans retraite véritable (en 1959, le minimum vieillesse est créé, qui, malgré son montant dérisoire - de l’ordre du tiers du Smig de l’époque-, concerne alors la moitié des "vieillards"). Ce destin collectif-là est celui de la même génération démographique.

attribués aux entreprises agricoles et concernent tous les éléments de sécurité sociale tels que l’assurance maladie, l’assurance vieillesse, les allocations familiales et les accidents de travail. De même, un régime particulier est accordé aux professions libérales et comme pour le régime des entreprises agricoles, il régit l’assurance maladie, l’assurance vieillesse et les allocations familiales. Un système de cotisation forfaitaire en début d’activité établit le montant à payer par employé des

vont politiser les élections. Ils proposent un autre type de produit : un parti politique, un programme, des discours. Ils proposent donc des biens abstraits, de visions du monde et de l’avenir et des biens divisibles (protection maladie, assurance vieillesse, assurance chômage). Ce sont des avantages collectifs qui ne viennent pas d’une fortune personnelle. Ces nouveaux candidats vont apporter une vision politique plus professionnelle où on peut vivre de cette activité politique. Loi de Novembre de

|1990 |1995 |2001 |2002 |2003 | |Retraités |100 |112 |122 |124 |n.d.* | |Personnes bénéficiaires du minimum vieillesse |100 |76 |54 |51 |n.d. | |Familles bénéficiaires des prestations familiales |100 |99 |105 |106 |106 | |Personnes bénéficiaires

surtout en matière de régime matrimoniale. L'application de ce principe est parfaitement illustré dans l'arrêt de rejet suivant, rendu par la 1ère chambre civile de la Cour de Cassation le 4 juin 2009. En l'espèce, M.X a souscrit une assurance vieillesse auprès de la Caisse autonome de retraire des médecins de France (CARMF) mais n'ai pas payé ses cotisations pendant 6 ans, soit de 1995 à 2001. M.X décède en 2003, laissant derrière lui son épouse, Mme Y. La CARMF assigne alors Mme Y en paiement

(revenus de transfert) vers une partie de /ou toute la population. Il existe deux redistributions : la redistribution horizontale qui permet de maintenir les ressources de personnes touchées par des risques sociaux qui font baisser le revenu (la vieillesse, le chômage, la maladie et avoir des enfants). Cette redistribution obéit à une logique d'assurances c'est à dire qu'il faut avoir cotisé pour bénéficier de cette redistribution. En outre, il y a la redistribution verticale qui vise à diminuer les