Ville Modernité

et géométriques qui permettent de les reconnaître. Les artistes s’en tiennent donc à l’allure générale du corps et ne s’appuient pas sur les détails. Exemple : La danse de l’ours au Moulin Rouge - - La modernité était une source d'inspiration pour les artistes qui considéraient que la ville était bien plus belle qu'un paysage naturel. Tous les éléments urbains étaient glorifiés et les usines et les inventions modernes (comme la voiture) étaient représentées pour leur beauté. Exemple : Dynamisme

rien de moins pittoresque que Béchar » (p. 81), en effet mais pour quelqu'un qui n'a vécu dans un oasis, ceci apparaît comme un monde nouveau. Toutes les croyances sont bouleversées. Idriss est impressionné, émerveillé par cette modernisation, cette ville pour lui c'est un pas en avant vers sa destination finale qui est Paris. Toutes cette technologie s'oppose aux coutumes traditionnelles qui ont été référencés au cours de la visite guidée du musée et qui apparaissent si loin de la culture occidentale

L’architecture du XIX° siècle Le XIX° siècle est une période de grandes transformations politiques et économiques mais surtout sociales qui ruinent les équilibres entre anciens et modifient singulièrement le concept même de ville dans ses aspects architecturaux et urbanistiques. De multiples innovations techniques et l’essor des transports modernes intimement liés à la révolution industrielle, ont des répercutions évidentes sur du point de vue culturel et social. Ainsi le développement d’un prolétariat

U.F, 1997) qu’il consacre à ce poète. C’est en effet entre les 19ième et 20ième siècles, entre l’Ancien et le Nouveau, comme entre « Ordre » et « Aventure », en Avant et Retournement, Intimité et Universalité, Mythologie antique ou médiévale et Modernité que le poète pose sa voix lyrique propre.  Cet entre-deux constitue le poème en  plusieurs espaces : celui du dialogue, de l’expressif, du conflictuel où s’éprouvent les divers degrés de la familiarité et de l’incongruité, de la banalité et de l’érudition

SEQUENCE 2 : Alcools de Guillaume APOLLINAIRE ETUDE :1er poème "Zone" I) MODERNITÉ Phase : -automobile -travail de bureau = "stéréo-sténo-dactylographes" - Monde ouvrier -1er aéroplane - la presse, la publicité dans les rues -"la grâce de cette rue industrielle" => Nouvelles source d'inspirations. Avant la nature, l'amour, maintenant l'industrie... II) Pronom pas de - je ? -tu ? -nous? Le "je" et le "tu" se confondent parfois. "tu" = difficulté à identifier "tour Eiffel". "tu" permet d'évoquer

pratiquement aucun point commun à part le poète lui-même, ont voué leur admiration à son culte auquel ils se sont attachés en le renouvelant à chaque occasion sans avoir pu l’épuiser. Charles Baudelaire, né en 1821 à Paris et mort en 1867 dans la même ville dans des conditions atroces, n’a laissé qu’un œuvre poétique d’une minceur incomparable en volume aux autres grandes poètes d’expression française. Sa résolution pour devenir homme de lettres ne plut aucunement à sa famille qui lui réserva une vie

français né en 1977, nous invite à découvrir la ville de Saint Denis à travers une balade de jour et de nuit. En 2007, il écrit un slam intitulé « Saint Denis », ce slam est un des titres de son album Midi 20, c’est un album moderne du XXIeme siècle. Le slam est situé entre la joute oratoire et la poésie. Il nous fait découvrir les multiples cultures, ainsi que les bons et les mauvais coté de cette ville. Il évoque sa fierté et son attachement à cette ville où il a grandi. Dans une première partie nous

: Nous verrons comment Appolinaire met en scène de façon paradoxale le monde de la ville comme à la fois lieu de changement et de permanence. Le plan suivit pour ce commentaire: 1] La ville comme lieu du multiple. a)La ville comme motif du modernisme. b) la ville sous un jour quotidien. c) La revendication d'une esthétique nouvelle. 2] La ville comme lieu du spirituel. a)La coexistence paradoxale : modernisme et

Charles-Pierre Baudelaire est un poète français, né à Paris le 9 avril 1821 et mort dans la même ville le 31 août 1867 (à 46 ans). « Dante d'une époque déchue »[2] selon le mot de Barbey d'Aurevilly, nourri de romantisme, tourné vers le classicisme, à la croisée entre le Parnasse et le symbolisme, chantre de la « modernité », il occupe une place considérable parmi les poètes français pour un recueil certes bref au regard de l'œuvre de son contemporain Victor Hugo (Baudelaire s'ouvrit à son éditeur

publie le manifeste du futurisme. Ce mouvement touche tous les domaines : peinture, sculpture, musique, écriture, mais aussi cuisine, cinéma, théâtre… Il est caractérisé par la recherche permanente de la modernité, du mouvement… Pour cela, les futuristes ont leur sujets de prédilections : la ville, la nuit, la fête, la lumière, le train, la voiture, l’électricité sont des sujets modernes et qui implique le mouvement (dans beaucoup d’œuvres le mouvement est décomposé pour le rendre visible). Et il