Ville Modernité

centre pour les artistes et concepteurs progressistes. Des groupes artistiques comme Les Vingt ou La libre Esthétique exposaient déjà, dans les années quatre‑vingts, des gens comme A. Rodin, A. Beardsley ou O. Redon. C’est par ailleurs dans cette ville que les ornementations de l’Art Nouveau intégrèrent très vite la troisième dimension. Horta fournit les premiers exemples les plus significatifs d’architecture Modern Style : il utilisa les nouveaux matériaux révélés par le Crystal Palace et la Tour

répressions. En vue de survivre et de préserver leur religion, ils se sont alors mis à pratiquer leur culte, à l'abri, dans leur maison et non à l’église (pratique encore en oeuvre aujourd’hui). Devenus Mennonites (ils sont d'avantage entourés par la modernité comme les PC, les voitures, téléphone ...) puis Amish sous l'impulsion de l'évêque Jacob Amman au XVIIe siècle, ils furent bannis et chassés d'Europe. Ils furent sauvés de l’extinction totale par William Penn qui les accueillit en Pennsylvanie

Parisiens se rendent le dimanche pour y assister * Donc, ils recherchent ni la solitude, ni la campagne sauvage, mais les motifs les plus caractéristiques * Monet/Renoir expérimentent d’une touche de plus en plus légère * La Ville * Impressionnistes travaillent à l’inventaire des changements urbain * 2e moitié des années 1870 * 1877 : 3e exposition du groupe * Manet : Le Chemin de fer, double portrait et pas une évocation des voies/signaux

est présenté comme une garantie de bonheur, comme l'affirme la chute du poème, si l'on sait se laisser aller à l'inspiration, dont "le moindre vent" est ici une métaphore. II. Une divagation poétique 1. Une invitation au voyage - Paris, ville géographiquement bien définie, ancrée dans un site précis, ce que rappelle le verbe bâtir (v. 2), devient au gré de l'imagination du poète, un voyageur qui parcourt le monde, quittant la protection du "port" pour se métamorphoser en "une île au large

tableau de la vie moderne a) Baudelaire « l’homme des foules » b) La ville Cette rencontre renvoie le poète à son intériorité. III- Le poète exprime le rejet du bonheur entrevu a) La « passante » renvoie à un idéal de beauté pr B b) L’envoûtement v6,7,10 c) Le regret poignant Conclusion : B se condamne à un amour tjr déçue. La « passante » est conforme à cet idéal Baudelairien. B s’intéresseà à la beauté dans la modernité : ici la parisienne tel que la peinte Constantin Guys que B appelle le

règles traditionnelles de la peinture. Ils s’appliquent à traduire ce qu’ils voient, sans l’embellir. Il faudra attendre de nombreuses années, avant que l'impressionnisme profite d'une certaine reconnaissance auprès du public. Entre tradition et modernité, ce mouvement pictural permettra d'offrir de véritables chefs-d’œuvre désormais célèbres. Leur désir de capter l’instant en cultivant le flou n’est certainement pas étranger à l’essor contemporain de la photographie. Pour restituer leurs sensations

chaque poème a un titre. 1ère section s’annonçait musicale, celle-ci s’annonce picturale (cf titre « Paysages Belges »). L’œuvre paraît en 1874 (= année de la 1ère exposition des « Refusés », les impressionnistes). b) Thème poème = description d’une ville belge qui se situe dans une région minière et industrielle : Charleroi ( pays noir). La description est faite à travers le regard de voyageurs puisque la section a été écrite pendant l’exil de Rimbaud et Verlaine. La description est avant tout

du poète entre l’angoisse et l’aspiration vers la beauté. Selon Baudelaire, il y a en tout hommes une dualité entre la vie et la mort, le bien et le mal, l’âme et la chair, le ciel et l’enfer. Dans la partie rajoutée « les tableaux parisiens », la ville concentre et accentue les misères humaines (pauvreté, la solitude, la maladie, la vieillesse, la débauche …) reflétant les rêves et découragement du poète. « Le vin »permet une évasion hors de ce monde Dans « les fleurs du mal »,l’amour charnel constitue

l’extérieur, la modernité a rendu les sujets plus libres mais aussi plus seuls et donc moins aisément socialisables. Autrefois ceux-ci étaient « contrôlés » par les familles et/ou par les petites structures villageoises ou les clans. Le souci d’une sécurité territoriale plus grande, les progrès des transports et des communications ont réduit le monde tout en agrandissant les « lieux géographiques » de pouvoir. En d’autres termes, la modernité a remplacé le village par la grande ville et la région par

I. Auteurs, périodes, et motivations différentes A. Charles Perrault, les frères Grimm CHARLES PERRAULT (1628-1703) Il était une fois, dans la grande ville de Paris, une petite famille appartenant à la bourgeoisie parlementaire. C’est dans cette petite famille que naquît en 1628 un petit garçon, Charles Perrault. Charles grandit vite fit ainsi des études littéraires au collège de Beauvais où il sera diplômé d’une licence de droit. Il se fait remarquer par des poésies galantes et des écrits