Virgile Les Géorgiques

inconsolable. Il décide d'aller chercher sa femme aux Enfers et chante en s'accompagnant de sa lyre. «À son chant, du tréfonds, de l'Érèbe, les fantômes des morts, les ombres transparentes montent aussi serrés qu'oiseaux parmi les feuilles» (Virgile, Les Géorgiques, IV, 471-473). Par le jeu de sa lyre, il charme les démons. Perséphone elle-même est touchée et prend en pitié un homme qui manifeste avec tant d'art l'amour qu'il porte à son épouse. Elle lui promet le retour d'Eurydice à la lumière, mais

« Parem passsis tristitiam facit, pâti posse » (l’anticipation de la souffrance est douloureuse, autant que la souffrance même. Sénèque, Lettres à Lucilius). « curis acuens mortalia corda » (arrivant les soucis dans le cœur des mortels » (Virgile, Géorgiques).

jeux de regards de la cour lieu du paraître ? II) la parodie du style épique (l'écriture hérïco-comique : un sujet bas traité à l'aide d'un style élevé)) 1- les références - à l'épopée première de notre culture l'Iliade - à Virgile Géorgiques III pour tristesse du taureau vaincu même mots que V "amours-vents-exerçant" - allusion aux divinités impliquées dans les actions des mortels 2- le jeu sur les décalages - les personnages

Orphée est le fondateur, en Grèce, des "cultes à mystères", où le "myste" fait l'expérience du passage vie-mort, et retour, puisqu'il sait les chemins de l'au-delà. Ces cultes sont tenus secrets, et ont une existence parallèle aux cultes officiels. Virgile, poète latin du siècle d'Auguste, (70 / 19 av. JC), impose une version définitive du mythe: Orphée est nouvellement marié à la nymphe Eurydice lorsqu'elle meurt d'une piqûre de serpent. Inconsolable, Orphée se rend aux Enfers, dont il franchit les

 De la guerre de Troie à la fondation de Rome : Histoire et Légende. Homère / Virgile.
Homère actif ver -750
Virgile poète romain plus récent -70 mort -19
troyen Enée qui est le héros de l’épopée virgilienne qui est l’Énédie représente le trait d’union entre la guerre de Troie et la fondation de Rome fondé par Romulus.
1. LaguerredeTroieetl’Iliade
A. La figure du poète grec Homère (actif ver -750) c’est la désignation de l’auteur de ce que son l’Iliade et l’Odyssée. Immense prestige des

la mythologie grecque) qui devint le maître du monde, soit du ciel. L’âge d’argent débutait. On retrouve également des évocations de l'âge d'or chez d'autres auteurs et poètes latins tels que Tibulle, dans l'une de ses Élégies, et chez Virgile, dans les Géorgiques et dans la quatrième églogue des Bucoliques, intitulée Pollion. Le mythe de l'âge d'or prit une importance particulière sous Auguste qui apparaissait alors comme l'homme capable de ramener l'humanité, sinon à l'âge d'or, du moins à un nouvel

Légende succède le recueil mineur des Chansons ; mineur, tant dans ses formes (chanson, proverbe, charade - toutes formes orales) que dans ses objets : la maxime Paulo minora canamus est au principe de son écriture, contredisant ainsi le précepte de Virgile à l'oeuvre dans la Légende : Paulo majora canamus. Cet échange d'une poésie majeure contre une poésie mineure, qui, du reste, concerne aussi bien le rapport des Chansons au grand recueil lyrique des Contemplations que leur articulation avec la

la chute, DB fait référence à lui-même et à ses déceptions qui elles sont bcq plus tenace face au temps ( ?) Sonnet n°8 : Alexandrins ( démonstration. Q1 : Rome était souveraine de la terre toute entière (terre et mer). Rèf à l’Enéide de Virgile et à Horace. Q2 : peuple devenant de + en + vertueux et tjs + brave : allé en s’améliorant. T1 : à tel point que l’Empire domina tout. Mais même Rome ne peut lutter contre le temps. ( T2 : chute : La tête sur la Capitole était une menteuse en

parce qu’elles sont les plus éloignées de nous. Et sans doute, si Nembrot avait écrit l’histoire de son règne, toute la politique la plus fine, et même toutes les autres sciences y seraient contenues, de même que quelques-uns trouvent qu’Homère et Virgile avaient une connaissance parfaite de la nature. Il faut respecter l’antiquité, dit-on ; quoi Aristote, Platon, Epicure, ces grands hommes se seraient trompés ? On ne considère pas d’Aristote, Platon, Epicure étaient des hommes comme nous, et de même

creuser les troncs d'arbre et d'affronter les cours d'eau, puis les mers, a toujours été présentée comme une des contraintes de l'âge de fer. Les hommes ont quitté la douce oisiveté de l'âge d'or pour affronter le travail. Virgile évoque cette idée dans le Livre I des Géorgiques, auquel pense sans doute Voltaire lorsqu'il écrit Le Mondain. Mais c'est aussi la parabole de la Bible : Adam et Ève, chassés du paradis, doivent « gagner leur pain à la sueur de leur front ». L'activité humaine est donc présentée