Vitamine K

Analyse de pratique Cabinet de soins infirmiers à domicile Education d’un patient nouvellement sous AVK. (Anti-vitamine K) - Pourquoi cette situation ? Les raisons qui m’ont motivé à choisir l’éducation du patient aux anticoagulants est du fait que ce type de médication à été très présent tout au long du stage et m’a posé parfois quelques difficultés (difficultés à faire le lien entre pathologie cardiaque et anticoagulant, difficultés à retenir les différentes classes d’anticoagulants et confusion

LES ANTICOAGUALANTS HBPM Les antivitamines K : AVK Mode d'action     La vitamine K est un facteur indispensable à la synthèse hépatique des 4 facteurs de la coagulation : II, VII, IX, X.     L'action des antivitamines K est donc d'inhiber  la synthèse de ces facteurs de la coagulation. Elles sont aussi un relais de l'héparine dans les maladies thromboemboliques. Indications Prévention de la maladie thrombo-embolique Prothèses valvulaires, valvulopathies. Contre-indications Allergie

3) Les carences vitaminiques font partie des complications possibles reliées à l’obstruction de l’écoulement biliaire. Quelles vitamines risquent d’être mal absorbées? 4) Quelles seraient chez Mme Brault les manifestations cliniques d’une carence en vitamine K? 5) Quel examen paraclinique vous permettrait de vérifier si Mme Brault souffre d’une carence en vitamine K? 6) Que mesure l’examen mentionné à la question précédente? Quelle est la valeur normale de ce test? 7) Quels sont les avantages

bibliographiques (1 ou 2 livres, 1 ou 2 thèses) de documents pertinents (selon les modèles bibliographiques imposés dans les recommandations pour la thèse) : [1]  Jaupart J., Balayssac D. Autosurveillance de l'INR chez les patients traités par antivitamine K. Th D Pharm, Clermont Ferrand 1 ; 2012. [2] Lattouf S. Thrombose veineuses veineuses distales des membres infèrieurs : risque embolique et accidents du traitement anticoagulant (à propos de 172cas consécutifs pendant l’année 2007à l’Hôpital Edouard

Modalités d’admission : Hospitalisation programmée 3. Antécédents médicaux et chirurgicaux, traitements : Antécédents médicaux et chirurgicaux : Médicaux : Carence en vitamine K : supplémentée depuis 1995 Carence vitamine B6 et B12 Grêle court responsable de diarrhées Chirurgicaux : Résection étendue du grêle 1975 : carence en vitamine E séquellaire Résection de l’intestin grêle suite à un curetage pour fausse couche Allergie : Pas d’allergie connue 4. Evolution de la situation de la personne :

les surveillances IDE ? 4) L'un des effets indésirables de l'héparine standard est l'hémorragie. Premiers signes cliniques d'une intoxication (surdosage) ? + 3 actions infirmières à mettre en place 5) Prise en charge d'un patient sous AVK (anti-vitamine K), 8 conseils à lui donner 6) Quelle est la réponse fausse ? A. Au cours d’un traitement par héparine, on peut être amené à effectuer le dosage de l’activité anti Xa (héparinémie) permettant d’adapter la posologie et une NFS pour la numération

ACCIDENTS DES ANTICOAGULANTS J.M. MOSSARD - Y. BERNARD Les accidents liés aux anticoagulants sont dominés par les hémorragies, quelque soit le type de traitement : héparine non fractionnée (HNF), héparine de bas poids moléculaire (HBPM), antivitamine K (AVK). Les autres accidents plus rares et parfois sérieux doivent être identifiés et si possible prévenus. Les complications spécifiques aux autres classes d’anticoagulants (danaparoïde sodique et hirudine) ne seront abordées que très brièvement. Connaître

MODULE CARDIOLOGIE Les principales familles thérapeutiques en cardiologie Notes personnelles du 02 sept.-05 I) LES ANTICOAGULANTS A) Héparine de bas poids moléculaires (HBPM) B) Antivitamine K (AVK) C) Héparine sodique D) Héparine calcique II) LES ANTIAGREGANTS PLAQUETTAIRES III) LES DIURETIQUES A) Diurétiques hypokaliémiants B) Diurétiques épargneurs de potassium C) Association hypokaliémiants et épargneurs de potassium IV) LES ANTIANGOREUX A) Les dérivés nitrés B) Les Béta-bloquants

associée à des apports insuffisants en vitamines et en minéraux. Ainsi, le taux de vitamine D diminue après 4 à 6 mois, même en présence d'une supplémentassions. Cette modification est accompagnée d'une augmentation des marqueurs urinaires de la résorption osseuse. On constate également une diminution des taux urinaires en phosphore et en magnésium, la baisse de ce dernier pouvant entrainer une augmentation des lithiases rénales d'oxalate de calcium. Le taux de vitamine K, également essentiel pour le métabolisme

Après plus de 40 ans d’utilisation, les antivitamine K (AVK) constituent le traitement anticoagulant de référence pour des pathologies fréquentes telles que la fibrillation auriculaire, les valvulopathies et les thromboses veineuses. Actuellement, plus de 1% de la population française est traitée par AVK. Du fait de son potentiel iatrogène, l’uti- lisation des AVK fait, depuis de nombreuses années, l’objet de recommandations des groupes experts de l’Afssaps. Dès les années 90, l’Afssaps s’est engagée