Vivre libre ou mourir

avoir d’opinion fausse de façon à ne pas la craindre a) Ce que l’on craint dans la mort : b) Les effets de la crainte de la mort c) Il n’y a rien à craindre dans la mort : EXPLICATION C) CONDITIONS POSITIVES DU BONHEUR : (§ 127-135) Vivre sans crainte, ce n’est pas vivre heureux. Et il ne suffit pas de ne pas souffrir pour l’être, sinon les huîtres apathiques le seraient, comme les pierres. Comment faire, donc, pour être effectivement heureux ? I PREMIERE CONDITION POSITIVE DU BONHEUR : § 127-132 De

 logos), les Stoïciens défendent l’idée de liberté. Ils lient étroitement la liberté et le pouvoir de juger. Certes il ne dépend pas de nous d’être un esclave ou d’être un maître, de vivre ou de mourir, mais ce qui dépend de nous, c’est l’usage de nos représentations. Quelles que soient les circonstances, l’homme est libre et reste maître de ses pensées. Ici se dévoile une liberté entière, totale, car aucune puissance au monde ne peut nous contraindre dans l’ordre du jugement Pour accéder à la sagesse

fonction d'exposition et la dépasse -rappel du passé : histoire collective de Thèbes; histoire individuelle des pges (sentiments surtout) - portraits physiques et moraux des 4 pges -annonce de l'avenir : on sait dès le début qu’Antigone et Hémon vont mourir. = Tout (le début et la fin de la pièce) est contenu ds le prologue. 3) Mise en scène originale - occupations originales des pges : présentation curieuse dans la didascalie initiale activités familières et qui ne sont pas celles de pges typiques

déroulant quelques heures avant l'exécution de Socrate et nous présentant ce dernier prêt à affronter la mort avec la plus grande sérénité) nous dit que le philosophe recherche la mort et l'état qui la suit, non pas qu'il déprécie la vie et qu'il aspire à mourir par pessimisme, mais parce qu'il pense, à la différence d'Épicure, que l'âme est distincte du corps qui est pour elle une entrave, et que la mort consistant dans la séparation de l'âme d'avec le corps cette dernière retrouve ainsi sa destination naturelle

"to be" that is the question" (être ou pas? être est la question) et donc le sens premier, humaniste qui faisait l'éloge de la vie (c'est le fait d'être vivant qui offre la possibilité de s'interroger) et qui est devenu beaucoup plus obscur (vivre ou mourir, il faut choisir). Seules subsisteraient une ou deux éditions très anciennes qui citeraient correctement! Ceci pour insister sur le fait qu'on est bien dans un monde absurde, crétin et rétrograde où l'émergence publique de la "sagesse" a été détournée

Chaque jour de notre vie nous rapprochant de la mort. Sachant que nous allons mourir, nous pouvons nous dire : à quoi bon continuer à vivre? Camus considère alors le suicide comme le seul problème philosophique vraiment sérieux, à savoir si le suicide est logique quand la vie n’a pas de sens. Mais selon lui, le suicide est une réponse à rejeter. En effet il cite : << Vivre, c'est faire vivre l'absurde, le faire vivre, c'est avant tout le regarder.>> (page 52). Nous comprenons alors que

remords du couple d'assassins, qui sombre peu à peu dans la superstition, dépourvus de libre arbitre. L'auteur a également, exposé la peur de la femme, et la mort du chat. Mais celle-ci n'était pas anodine, le félin, connaissant tout de la vie des amants, dévoile son côté diabolique. L'amour maternel est révélée entre Madame Raquin et Camille, qui suite à la mort de son enfant, avait songé à se laisser mourir de faim, mais qui ne s'y était pas résolu, afin de pouvoir démontrer une certaine vengeance

critiques marxistes : Pour les marxistes, l’existentialisme est une philosophie de l’impuissance, inactive. Une philosophie bourgeoise et contemplative. Mais aussi une philosophie individualiste. Or, pour Sartre, sa philosophie est fondée sur l’action libre et ne saurait être réduite à la contemplation propre aux philosophies théoriques. Le sujet sartrien se fait lui-même, il est donc tout entier action. Sartre critique aussi l’esprit de sérieux (qui consiste à contempler et à attendre que le destin humain

contre les israeliens. Il a dit a ses parents qu’il voyage pour conclure des affaires de business, mais , en réalité, il travaille pour les terroristes de Bethléem. Il est jeune et intelligent, en puis, il aime tellement sa patrie que il decide de mourir pour elle. 3) Décris l’espace et le temps de l’œuvre. L’attentat e le débout de l’histoire passent à Tel Aviv, principalment dans l’hopital de la ville, chez monsieur Jaafari e chez son amie Kim. Après, le lieu change et le docteur va à Bethlemme

Philosophie et soins infirmiers, altérité, sens de vie, libre arbitre : Patient vient du terme « patir », en latin ceci signifie souffrance. Il est pris dans un engrenage destructeurs, des évènements négatifs s’enchainent depuis sa plus petit enfance. A la trentaine, il devrait profiter de ces acquis (travail, enfant, famille) et on se rend compte qu’il n’a rien mis à part de la souffrance et des embêtements. Ce cours peut aider les personnes à dépasser des dépendances en donnant un sens de