Volonté

facteurs extérieurs. On peut même dire qu’il est une liberté en action, puisqu’il peut se choisir toute sa vie jusqu’à sa mort. q Cours 2 a, b, c 1 Liberté et libre arbitre Le libre arbitre est le pouvoir de choisir librement selon sa volonté. Mais on peut aussi parler de liberté quand l’homme agit en connaissance de cause et consent à ne pas faire ce qu’il voudrait (par exemple quand il se conforme aux lois). q Cours 1 b 1 1 La raison comme fondement de la liberté ? Pour

utilise pour décrire la soif de libertéqui peut s’emparer des hommes en réaction à leur quotidien monotone, aux rêves qu’ils n’ont pas réalisés, à l’inconnu du futur, aux cadres qui les étouffent … Et à la fois cette crise peut s’accompagner d’une volonté de retour à l’enfance, à la naïveté, à l’absence de choix. La liberté fait elle peur aux hommes ? Préfèrent-ils être enfermés dans un quotidien ou les choix sont pris à leur place ?Mais avoir peur de la liberté, n’est ce pas déjà ne plus être libre 

agir. De même, si l'on est libre de penser, c’est qu'on le peut. Cette liberté, ce pouvoir est la faculté de penser, la raison, la conscience, l’esprit. La conscience ne nous est pas fournie d’un bloc, elle se développe par expérience, réflexion et volonté.          «L’homme est libre en autant qu’il est conscient. Qu’il étudie l’objet inanimé, l’action humaine ou l’être vivant en général il utilise sa raison, il exerce sa liberté de penser.»              La raison se fait éthique dans la mesure où

même si la maîtrise des désirs semble rester compliquée, doit toujours chercher malgré tout à les maîtriser. Le fait d’être libre de ses désirs intervient notamment dans la recherche de la liberté effectuée par l’homme. La liberté suppose que notre volonté ne soit soumise à aucun conditionnement. [...]

utilise pour décrire la soif de liberté qui peut s’emparer des hommes en réaction à leur quotidien monotone, aux rêves qu’ils n’ont pas réalisés, à l’inconnu du futur, aux cadres qui les étouffent … Et à la fois cette crise peut s’accompagner d’une volonté de retour à l’enfance, à la naïveté, à l’absence de choix. La liberté fait elle peur aux hommes ? Préfèrent-ils être enfermés dans un quotidien ou les choix sont pris à leur place ? Mais avoir peur de la liberté, n’est ce pas déjà

mais libre de réagir de telle ou telle façon. * Être libre de faire une tentative ne garantit pas la réussite. C’est pourquoi plus grande sera notre capacité d’action, plus efficace sera notre liberté. * Mais tout ne dépend pas de ma volonté (autrement je serais omnipotent). Si je ne me connais pas moi-même, et si je ne connais pas le monde dans lequel je vis, ma liberté se brisera un jour où l’autre contre ces impératifs. (p.31) * À la différence des autres êtres, vivants ou inanimés

corrompt. Pourquoi? Puisque la société pousse les hommes à s’entrehaïr en créant des raisons quelconques qui poussent les hommes a tenter de toujours impressionner le plus possible, ce qui crée de la jalousie et des conflits entre ceux-ci puisque la volonté de certain dépasse parfois le respect. Pour l’homme vivant dans la société, le bonheur des uns fait le malheur des autres, ils veulent toujours être les meilleurs, les plus beau, les plus riches. Les hommes ne s’entendent plus sur rien et cela crée

tout ce qui lui permet de vivre». On voit ici que l’amputation volontaire rentre dans cette philosophie. C’est un choix comme tous les autres et qui de plus les aide à se sentir eux-mêmes. Par conséquent, il faudrait encore plus respecter leurs volontés car au final cela vient du plus profond d’eux même et ce n’est pas un choix qui est influencé par l’extérieur. :« […]retrouver son identité réelle est bien la motivation des aspirants»( ligne 16 du document :«apotemnophilie».Au final , En se basant

             3)​      Si libre est être  indépendant, être libre, c’est seulement ne pas dépendre des  autres dans la réalisation de ses désirs, de ses choix. Etre dépendant des autres pour  réaliser quelque chose, c’est être soumis à leur bonne volonté, et souvent devoir faire en  retour quelque chose pour eux. Le secours des autres devient vite une contrainte, une  limite opposée à l’idée même de liberté.                   Mais comme on ne peut pas se passer totalement du secours des autres, cela 

Descartes dans son Discours de la méthode : "Ma troisième maxime était de tâcher toujours plutôt à me vaincre que la fortune et à changer mes désirs que l'ordre du monde » c) Il faudrait alors s’en tenir au possible. Mais Réduire le désir à une volonté raisonnable ou aux besoins (sagesses antiques épicuriens et stoiciens), ce n’est plus vraiment un désir. III] Cependant, ce que nous appelons impossible l’est rarement dans l’absolu : L’impossible est le possible de demain a) « On commence par