Volonté

possible, est-il légitime. • vouloir : La volonté se définit comme la faculté de choix : pouvoir de se déterminer librement à agir ou à s'abstenir d'agir, en vertu de motifs. La volonté implique une délibération consciente : par ce trait, l'acte volontaire s'oppose à l'acte qui procède de l'instinct, de l'impulsion, d'un réflexe ou d'une habitude. Vouloir, c'est donc poursuivre une fin déterminée et conscient. On peut déjà noter que la volonté inclue également une faculté de représentation.

Lorsque le Dom Juan de Molière désire une femme, il déploie une stratégie de séduction à laquelle elle finit par succomber. Tout se passe comme si son désir, son souhait était en même temps une volonté impérieuse ne souffrant aucun obstacle et ne s’embarrassant d’aucune morale pour s’assouvir. Or dans Dom Juan choisit-il de désirer toutes les femmes ou alors est-il le jouet de sa passion amoureuse ? Peut-on dire qu’il a choisi d’être ainsi et, par conséquent, de mourir tragiquement, ou bien n’a-t-il

c’est-à-dire qu’elle va de paire avec la nature humaine. Or chez Sartre, le concept de nature humaine est ebsent. Sartre affirme que nous sommes libres que nous le voulions ou non. Il ne peut y avoir d’affirmation de la liberté de volonté. Chez Sartre, la volonté est dépossédée de son pouvoir discrétionnaire. Nous sommes des êtres contingents et injustifiables, c’est-à-dire que nous n’avons pas demander à exister. Cela nous conduit à une vision anxiogène de la liberté (angoisse bien plus forte

fardeau de supporter les conséquences. En effet, l’existentialisme soutient que l’essence de l’homme est définie après son existence. La pensée de Sartre veut que l’essence ne soit pas prédéfinie par Dieu et donc l’homme n’est pas destiné à obéir à la volonté de son père. L’homme doit prendre ses décisions en fonction de son idéal humain : « Ainsi, la première démarche de l’existentialisme est de mettre tout homme en possession de ce qu’il est et de faire reposer sur lui la responsabilité totale de son

effet nous avons tendance à croire que seule l’action humaine peut être dite libre. Descartes souligne donc que notre liberté s’appuie sur un pouvoir infini de choisir et de fixer nos actions par détermination de notre volonté. C’est de là que nous pouvons affirmer que la volonté est le signe le plus assurée de notre liberté et qu’il coïncide avec elle. Elle se détermine elle-même et se décide sans cause. Cependant il lui faut ordinairement une raison Par ailleurs, nous prouvons également notre

Il apparaît évident que l’obéissance s’oppose à la liberté. En effet, obéir est se soumettre à une volonté, à une loi extérieure à soi, alors qu’être libre c’est être soi-même le sujet de sa propre volonté, de sa propre loi. Cependant, à y réfléchir de plus près, on peut faire apparaître un jugement tout à fait inverse. On peut également observer en effet que la soumission à la volonté étrangère peut ou bien volontaire ou bien forcée. Si elle est volontaire, elle est donc acceptée, et, dans

Sujet : La liberté, réalité ou illusion ? La liberté est la faculté d’agir selon sa volonté en fonction des moyens dont on dispose sans être entravé par le pouvoir d’autrui. Peut –on se fier au sentiment de liberté (réalité) ou n’est-ce pas plutôt qu’une illusion (une perception déformée de la réalité) ? L’être humain est-il libre ? On pense que là où il y a choix, il y a liberté. En choisissant, l’homme devient responsable des conséquences de son choix ; il assume parce que son choix a

s’applique aussi à l’homme, s’il est enfermer ou lorsque on limite sa « liberté », l’homme se sent opprimé. Comme dans le texte de Thomas Hobbes ou celui si exprimer que la liberté est l’absence d’obstacle c’est à dire une absence d’opposition à la volonté de l’homme. 2) Un obstacle abstrait Si l’on peut être limite par un mur, on peut être aussi limité par, notre conscience car notre liberté c’est aussi la capacité de connaitre nos besoins, nos désirs ou nos intérêts. En soit cette liberté nous

individu sur cette Terre, appliqué généralement par quelqu’un de supérieur à soi ou par une personne plus vieille. Comment liée l’idée de liberté et la necessité d’obéir ? En quoi obéir nous ferait renoncer à notre liberté ? La liberté est une volonté d’indépendance par rapport au monde extérieur, quant à l’obéissance c’est obéir à des règles imposées. On peut donc s’interroger sur le fait de savoir si l’obéissance est compatible avec la liberté ou si la liberté est l’absence d’obéissance.

tout de savoir si je peu ou non agir librement (conformément a ma liberté) mais c’est de savoir si je peux vouloir librement c’est a dire sans que ma volonté soit influencer par des bien extérieur. Le libre arbitre lui c’est lui le pouvoir de se déterminer soi-même sans être déterminé par rien selon Marcel Conche, c’est en quelque sorte la volonté de l’homme qui est décris comme une puissance , et une faculté indépendante de toute causalité extérieur, susceptible de la déterminer dans ses choix