Volonté

reconnaît en lui la liberté », l. 14). Notre conduite n’est pas nécessairement déterminée par le désir le plus fort : nous pouvons aussi choisir en fonction de ce que nous « jugeons » bien ou mal. La raison est capable de déterminer par elle seule la volonté (elle est « pratique par elle-même », dit Kant). C’est donc la loi morale qui nous révèle que la liberté est plus forte que la nature. Dans l’expérience du devoir, nous prenons conscience que la liberté est capable de briser la logique habituelle

Vous choisirez (minimalement, mais vous pouvez aussi vous inspirer de plusieurs textes) un extrait dans chaque colonne (l’un dans la colonne de gauche, l’autre dans la colonne de droite). Sujet 1 DESCARTES, Méditations métaphysiques (1641) : volonté et liberté SPINOZA – Extraits de L’Éthique. DESCARTES, Principes de la philosophie SPINOZA : Baruch SPINOZA, Lettre LVIII à Schuller (1674) : l’illusion du libre arbitre. Sujet 2 DESCARTES : « lettre à Élizabeth : la force de l’âme sur le

choix libres. Analysez cette vision idéaliste de la liberté à la lumière du point de vue des neurosciences sur la personne. Premièrement,Il n’a pas raison de penser que grâce à notre raison nous pouvons être libre. Descarte insinue que notre volonté est la preuve de la liberté, qu’elle est indépendante. C’est ce qui nous permet de prendre un choix entre plusieurs réponses d’un examen même si cette réponse n’est pas vrais, mais il explique l’existence d’une liberté suprême. La raison une forme

« droits de l’humanité, à ses devoirs même ». Rousseau veut parler ici des droits politiques, juridiques, que la société accorde à l’être humain, mais aussi aux droits de la nature : la capacité de réfléchir, de penser, de vouloir (car c’est par sa volonté mais aussi par la raison que l’homme peut se dire libre), qui caractérise l’homme et le différencie de l’animal. Celui qui renonce à sa liberté renonce donc à ce qui fait de lui un homme, il renonce à « tout », en droits du moins : il renonce à vivre

sommes toujours déterminés par des contraintes alors il est possible de penser que notre liberté s'exprime relativement à ces contraintes. On peut donc dire que la liberté peut aussi se comprendre telle une conquête comme une expression de notre volonté de ne pas subir passivement des contraintes et au contraire d'exprimer notre liberté. On peut aussi remarquer que la vie est faite de contraintes qui ne sont pas toujours considérées comme étant légitimes. Hobbes dans l'extrait "hors de la société

chose que ce qu’il m’est permis de faire. Comment comprendre ce qu’est la liberté si alors qu’elle doit coïncider avec ce qu’il m’est permis de faire, elle excède par défaut ce qu’il m’est permis de faire ? - Agir de façon volontaire ? [liberté et volonté] Imaginons que nous sommes dans un bateau chargé de marchandises ; une tempête commence, et à moins de jeter les marchandises par-dessus bord en vue d’alléger le bateau, celui-ci menace de couler. On est contraints de jeter les marchandises. Et on

chercher à aller contre nos désirs, car ce serait aller contre notre nature (se nier soi-même, nier notre affirmation)et contre l'effort qui tend à la conserver.Il est donc impossible de supprimer les désirs. -A présent considérons le désir comme volonté de puissance: le désir porte en lui un élan créateur soit un élan positif par lequel il se veut lui-même et il porte en lui une puissance de transformation. La véritable joie qu’offre le désir, ce n’est pas d’obtenir ce qui est attendu, c’est la

quantité. L'homme est doué d'une volonté qui est infinie à l'image de la volonté divine, mais qui est un peu inférieure par rapport à la volonté divine, car n'est pas accompagnée par l'entendement infini. L'entendement de Dieu étant infini, celui de l'homme ne l'est pas et de là proviennent toutes les erreurs humaines: La volonté étant infinie, l'homme a envie de juger de tout ce qu'il y a autours de lui, mais des fois, l'entendement n'accompagne pas la volonté, autrement dit il n'est pas suffisant

l’éprouvons immédiatement. On est dans le registre de l’affectivité. À la question : comment se manifeste la vie, la réponse est par l’affectivité. La vie comme volonté : Schopenhauer Schopenhauer décrit le monde comme un cercle infernal. La vie est représentée come un champ de bataille. Il présuppose une volonté aveugle et absurde de vouloir vivre. Cela pousse chaque homme à vouloir réaliser quelque chose. Il aboutit à une thèse : la vie est souffrance. {text:list-item}

Epicure : liberté= délivrance de l’ignorance et de la crainte. •Spinoza= déterminisme. Doctrine selon laquelle l’ensemble du réel est un système de cause et d’effets nécessaires y compris les faits qui paraissent de façons illusoires relever de la volonté ou de la liberté. Mais liberté existe je fais ce que je veux mais en fonction de ce que je sais : nécessité comprise (je ne peux pas comprendre que c’est nécessaire et ne pas le faire). Contraintes nécessités mal comprises. Mais comprendre la nécessite