Voyage Liberté évasion

serpent » « l'éléphant ». Tous ces éléments donne l'impression qu'elle est un ailleurs, elle invite le poète à un voyage des sens, tous ses sens sont sollicités : « que j'aime voir » « âcres parfum » « vin de bohême » « chevelure profonde » « glacier grondant ». 2. Le voyage du poète Le poème est traversé par une métaphore filée de la mer et des liquides qui connote l'évasion, le voyage. Grâce à Jeanne, le poète s'évade: « Comme un navire qui s'éveille au vent du matin ». La destination est indéfinie

poésie de Rimbaud est en effet mue par une volonté de rupture, qui fonde l’expérience poétique. Pour le jeune poète révolté, il s’agit bien sûr de rompre avec les codes sclérosants de la société et de la morale, qui sont autant d’entraves à la liberté. Mais cette rupture, elle se manifeste surtout dans le rejet de la « fadasse poésie subjective», appellation visant aussi bien l’écriture de Racine que celle des Parnassiens, et avant eux des Romantiques – Hugo est qualifié de « cabochard » et Musset

Thénardier sur le champ de bataille de Waterloo et qui se trouvait obligé de travailler pour vivre par suite des événements politiques. Marius est venu habiter, par économie, la masure Gorbeau. Sa vie est partagée par deux passions : l'amour de la liberté, qui le fait s'affilier à un cénacle de jeunes républicains, et l'amour, plus tendre, qu'il éprouve pour Cosette qu'il a rencontrée au Luxembourg au bras de son père.   Marius a pour voisin un effroyable chenapan, le sieur Jondrette, qui vit de

déception. Les hommes du milieu du XIXe siècle ont perdu leur chimère de fraternité, de liberté. Il faut dire que la répression qui a suivi la révolution de 1848 ou la prise du pouvoir par Louis Napoléon Bonaparte en 1851 a installé une bourgeoisie affairiste et réactionnaire. Ces hommes ont aussi perdu leurs illusions artistiques : le romantisme erre dans la rhétorique grandiloquente, délaisse la réalité pour une évasion mensongère. Des écrivains comme Mérimée, Stendhal, Henri Monnier et surtout Balzac

Les trois premières strophes concernent l'albatros tandis que la dernière est dédiée au poète. Lecture du texte Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur

néantisation (Sartre) Ce que Sartre dénonce comme une métaphysique naïve faisant de l’image mentale une chose, une chose amoindrie, une quasi-chose. Imaginer n’est pas quelque chose d’aussi simple que d’ « avoir des images. » Il voit en elle un signe de liberté [T6-p.503]. Elle est capable de tous les possibles et permet d’échapper au déterminisme naturel [A.2]. Par l’imagination l’homme se dégage de l’ « en-soi. » L’imagination, c’est du « pour-soi » à l’état pur. Il y a donc une valeur positive de la

géographie et la politique. MONTESQUIEU aborde la géopolitique en nous expliquant que les peuples qui vivent sous des climats chauds sont lâches et donc esclaves, il les oppose à ceux qui vivent dans des climats froids qui sont courageux et recherchent la liberté. Il y a une complexité des relations entre les états. La géopolitique peut parfois aboutir à des actes dangereux, c'est parfois la volonté d'un état expansionniste. Exemple : En août 1990 l’Irak décide d’envahir le Koweït pour des raisons de géostratégies :

Achat non-programmé, non prévu, effet d’un coup de foudre/ de tête. Comportement spontané, non prémédité -processus : instantané -besoin d’information faible/nul - réfléchis Achat qui demande une recherche d’information (voiture, maison, voyage). Comportement prémédité qui repose sur l’analyse, la comparaison et la réflexion. -processus : long -besoin d’information : important Le client a un besoin : - il faut le faire rentrer - rester - acheter - la faire

mission à haut risque ! 8. Comme frère et sœur. Lauren, de retour de stage, apprend avec joie qu’elle a été choisie pour seconder James. Elle fera partie du groupe d’agents qui agiront à l’extérieur de la prison. 9. La tête dans les nuages. Pendant le voyage vers les États-Unis, John Jones fait réviser aux agents de CHERUB la « légende » qui leur servira de couverture. Ils sont supposés être les enfants d’un homme d’affaires britannique (pour expliquer leur accent anglais), récemment décédé et être venus

emprisonnement de façon bien différente. Le condamné à mort de Victor Hugo (texte A) et Edmond Dantès (texte C) refusent leur situation. Le premier s’enferme dans ses pensées et ne cesse de passer du souvenir à la réalité, opposant le plaisir et la liberté de l’un au désespoir et à l’emprisonnement de l’autre (« j’étais libre. Maintenant je suis captif ») pour finir obsédé par la seule « pensée infernale » de sa condamnation à mort, qu’il répète par trois fois : « Condamné à mort ! » Dantès, n’est