Vérités Objectives

VÉRITÉ & CROYANCES On oppose souvent vérité et croyance dans la mesure où la vérité exige la clarté, la cohérence, un caractère d’objectivité : elle est partagée par tous grâce à des démonstrations et à des preuves. En opposition à cela, chacun revendique le droit d’avoir des croyances particulières, d’avoir accès à une vérité du cœur qui n’exige ni preuve ni démonstration. Après tout un sentiment s’éprouve et ne se prouve pas par autre chose que lui: il est sa propre preuve. Le problème revient

sa misère et de sa faiblesse ? Veut-on vraiment toujours se connaître ? Il s'agit de comprendre d'abord en quoi la connaissance de soi est constitutive du sujet. Nous verrons que cette entreprise se heurte à l'impossibilité du sujet à se laisser objectiver. Il faudra alors redéfinir l'entreprise non pas de connaissance mais d'interprétation infinie du sujet qui est à la base de son évolution. 1. La connaissance de soi est constitutive du sujet A. L'idéal socratique du « Connais-toi toi-même » L'inauguration

met en cause. Enfin, du point de vue de quelqu’un qui posséderait la vérité sur un sujet, toute opinion à ce sujet ne serait-elle pas intolérable dans la mesure où la conviction propre à l’opinion s’oppose aux critères de validités rationnels propres à la vérité ? Mais alors ne serait-ce pas la vérité de l’intolérance contre celle propre aux convictions de l’opinion ? Nous devrons nous demander dans un premier temps si la vérité ne rend pas toute opinion intolérable puisque toute opinion refuse de

raconte une histoire. Dans la République (X, 621 c), Platon montre également que le mythe en appelle moins à la raison qu'à la foi. Il suscite une adhésion, une créance chez le lecteur: il se substitue à un discours rationnel et peut appréhender des vérités qui dépassent l'entendement, rendre compte de l'inexplicable, de ce qui défie la raison. Cependant, dans ce même ouvrage de la République, Platon se livre à une violente attaque des fictions créées par les poètes, qui reposent sur l'illusion, l'incroyable

La vérité est une qualité inérante à un fait , à une connaissance , indépendamment du fait quelle soit connue ou crue . La vérité à de nombreuses définitions dans de nombreux domaines . Les affirmations qui fondent notre conception du monde vont généralement , bien au delà de ce qui est vérifiable . On a le sentiment que la vérité possède sa propre forçe est donc qu'elle s'impose elle-même .Bien entendu , l'Homme est libre , y compris de refuser la liberté . De plus , on voit apparaitre l'existence

LE DOUTE ET LA VERITE Nous commençons à connaitre le monde par l’intermédiaire de notre sensibilité. Nous avons pris des habitudes et emmagasiné des opinions qui nous ont été inculquées par notre éducation. Les opinions sont des jugements que l’on porte sur des choses ou sur des personnes sans les vérifier. Elles sont imprégnées de nos craintes, de nos intérêts et de nos sentiments qui déforment la réalité. Nous nous contentons de nos opinions et de nos habitudes pour vivre. Or la science et la

fois qu’on a les loi on prédit. Dans ce contexte là, expliquer c’est prédire. Si position inductiviste est pertinente, si vrai que tte connaissance scient trouve son origine ds l’obsv neutre, répétitive des faits,… Alors la science est le lieu de vérité absolue. Conception dominante en vigueur jusqu’en 1960. 1.2. Quelles sont les limites de la conception inductiviste de la science a) Le point de vu logique Est-ce que l’induction, pensée comme le passage d’un ensemble d’énoncés particulier

particuliers pour conclure sur une vérité générale. C'est la démarche utilisée dans les sciences expérimentales : on part de l'observation pour trouver des vérités abstraites. Des documents, des faits, des témoignages... peuvent servir de points de départ. Exemple : Il a voté dimanche (fait) C'est donc un bon citoyen (conclusion). b) le raisonnement par déduction : par une démarche inverse, il part d'idées générales et objectives (ou présentées comme générales et objectives) pour justifier une conclusion

intelligible ? II) Pourtant l'émotion esthétique peut être utile à l'homme A- Une satisfaction des désirs et un plaisir désintéressé B- L'art comme source de délivrance et d'épanouissement III) L'art, un langage, une source de vérité A- L'art tend vers la vérité B- L'art est un langage Extrait du document: Pour Nietzsche, l'art est une affirmation de l'existence. Il permet un total épanouissement, il exprime le mouvement de la vie ou encore une volonté de puissance, qui est une énergie

de façon relativement simple : lorsque moi, sujet pensant, je m'applique à la contemplation d'une vérité quelconque, suis-je en train d'agir par liberté, ou bien sous l'effet d'une contrainte extérieure ? Il s'agit, en introduction, de montrer comment les deux réponses possibles peuvent convenir à la question posée. Dans le cas présent, le problème se pose de la façon suivante. *D'une part, toute vérité s'impose à moi indépendamment de ma volonté : je ne suis pas libre de décider que deux et deux font