Vérités Objectives

Chapitre 1 : La Vérité Notions abordées : - raison / réel - matière / esprit - sujet - conscience et liberté - bonheur et désir - morale et justice La vérité dépend-elle de nous ? La vérité c'est l'adéquation de la pensée ou du discours à la réalité, la réalité étant l'ensemble des choses qui existent. On doit se conformer aux propriétés de la réalité. Valeur objective et universelle. "dépend" : elle n'existe pas sans nous : - c'est nous qui l'inventons, qui

pas être que celui de révéler la vérité, de représenter d’une façon concrète et figurée ce qui s’agite dans l’âme humaine » L’art[] est une activité humaine, le produit de cette activité ou l'idée que l'on s'en fait, s'adressant délibérément aux sens[->0], aux émotions[->1] et à l'intellect[->2]. On peut dire que l'art est le propre de l'homme, ce qui le distingue au sein de la nature[->3], et que cette activité n'a pas de fonctions clairement définies. La vérité est la qualité de ce qui est vrai

sujet/objet s’amplifie quand l’objet est aussi un sujet humain. L’objectivité est alors de plus en plus difficile à dégager. En histoire ou en sociologie certains scientifiques affirment même qu’éliminer toute dimension subjective reviendrait à nier la vérité indépassable du rapport sujet/objet/médiation. Il y a un travail à mener sur l’interaction sujet/objet y compris si l’objet d’étude est un sujet humain. L’ethnologue quand il étudie la culture d’un peuple introduit qu’il le veuille ou non un contact

à regarder des images de choses dont la vue nous est pénible dans la réalité. Pour Platon, l'art est une activité mensongère puisqu'il consiste à produire des faux-semblants. L'art est une illusion et nous ramène au monde sensible, alors que la vérité selon la métaphysique platonicienne, existe dans le monde intelligible. L'art n'est en effet qu'une imitation qui se donne pour but de copier la beauté naturelle. Prenons un exemple : lorsque l’on voit une chose singulière, par exemple un cheval,

réalisme qui avait pour but de montrer « la vérité, rien que la vérité, toute la vérité ». « Notre héros, écrit Zola, n'est plus le pur esprit, l'homme abstrait du xviiie siècle. Il est le sujet physiologique de notre science actuelle, un être qui est composé d'organes et qui trempe dans un milieu dont il est pénétré à chaque heure » Le romanciers doit privilégier le vrai plutôt que le beau et s'appuyer sur l' observation méthodique et objective de la réalité contemporaine, ils recourront

La vérité « La Vérité ne fait pas tant de bien en ce monde que ses apparences y font de mal.» Qu’est-ce que la vérité ? Elle fait partie de ces notions premières que l’on risque d’obscurcir en voulant en donner à tout prix une définition, pourtant tout philosophe se doit d’éclaircir les termes sur lesquels porte sa réflexion s’il espère accéder à une connaissance vraie. Il se devra donc de toujours commencer par examiner les définitions que les auteurs qui l’ont précédé ont donné aux mots

Problème: A première vue, la science est en quête de vérités objectives, certaines, assurées et elle n'aurait que ce seul objectif louable : décrire la réalité. Rien de dangereux dans la théorie galiléenne du mouvement qui recourt au concept d'inertie pour nous décrire, mieux que dans notre expérience quotidienne, comment les corps se comportent dans le monde. Il est rassurant de savoir que les scientifiques oeuvrent pour nous fournir des vérités sûres, claires et non relatives ou confuses comme celles

dans une grande machine et qu'il n'est pas responsable ↪il a choisit de n'être qu'un rouage : responsable de ses choix 4.Descartes : Méditations métaphysiques • remet en question la vérité de tout ce qu'il connaît règle du doute → douteux = faux logique bivalente (vrai-faux) acheminement vers une vérité inébranlable qui résiste au doute • 1ère étape du doute : 1ère raison de douter : croyance spontanée dans les sens doute qu'à chaque sensation corresponde une chose qui existe et de la

articles. Comme beaucoup d'oeuvres des philosophes des Lumières, l'Encyclopédie était un ouvrage dangereux pour la monarchie de droit divin, et fut censurée pendant un temps. Car contrairement à toute encyclopédie, celle-ci ne cherchait pas à rester objective. Au contraire, elle devient un instrument de critique contre la société. Le frontispice de l'Encyclopédie est peut-être la gravure la plus représentative des Lumières. Chargée des symboles et des croyances de cette époque, de toutes ces notions

réellement savoir vers où nous sommes portés. Hegel n’a pas seulement voulu construire un discours cohérent comme le firent un nombre assez conséquent de philosophes, avant ou après lui, il a voulu « comprendre  la réalité dans l’unité une de la vérité » (Merleau-Ponty). Il n’a pas simplement voulu comprendre mais a voulu tout comprendre. Ce texte, donc, se situe dans l’œuvre d’Hegel juste à la suite de l’exposé sur l’esprit objectif  et précède celui qui aura pour objet l’esprit absolu. Ceci ne