WorldCom

par Arthur Andersen. Résultat : un trou financier de 40 milliards de dollars, 21 000 employés au chômage, des retraités qui perdent leur retraite et des centaines de milliers d'actionnaires floués. Les scandales financiers comme ceux d’Enron et de Worldcom ont fait réagir le Congrès et le Président des Etats-Unis. Dans un délai record, une loi est venue renforcer les contrôles comptables, encourager la dénonciation des irrégularités, multiplier les attestations des dirigeants. En revanche, cette loi

externes | [pic]Enjeux des IFRS[modifier] Après les scandales financiers du début des années 2000 en Europe et aux États-Unis (Enron, WorldCom…), les pouvoirs publics se sont attachés à renforcer la qualité de la communication financière afin de rétablir la confiance du public, des épargnants et des investisseurs. Ce vaste mouvement s’est traduit par l’adoption d’un ensemble de textes dont

raisonnable (mais non absolue) d’un management et d’une direction respectueuse des lois. * Le contrôle interne est adapté à la réalisation effective des objectifs. Ce référentiel a émergé suite aux scandales des années 2000 (Enron, Parmalat, Worldcom…). Depuis sa mise en place, il a évolué car les entreprises se sont rendues compte que la stricte perspective du contrôle interne était réductrice et ne permettai tpas d’appréhender et maîtriser la totalité des risques encourus. Le référentiel a

entités économiques nécessitent un investissement particulier du commissaire aux comptes dans le cadre de sa mission. Cette obligation s’est accentuée suite aux différents scandales qui ont pu éclabousser le monde des grandes entreprises (Enron, Worldcom, Marionnaud…). En effet, plusieurs interventions législatives sont venues rappeler l’importance et l’étendue de la mission confiée aux commissaires aux comptes. L’obligation du Commissaire aux comptes d’établir un rapport sur le rapport du Président

Loi de sécurité financière de 2003 Le Parlement français a adopté le 17 juillet 2003 la Loi sur la Sécurité Financière (LSF) pour répondre à la crise de confiance des investisseurs néée Outre-Atlantique avec les affaires Enron et Worldcom et relayée en France par des affaires comme Vivendi. Deux grands sujets y sont abordés : le démarchage bancaire et financier, le conseil en investissement financier. Ces deux sujets ont été totalement remis à plat. Pour le démarchage, cette loi a

une comptabilité « créative »menée par l'entreprise qui a conduit à des manœuvres peu recommandables : résultats maquillés, ventes fictives... . Vu que le cas d’ENRON n'est pas isolé, et que d'autres sociétés ont connu des situations semblables (WorldCom, Tyco, Kmart, Xerox...), l’instauration d'un climat de confiance pour renforcer la sécurité des investisseurs, est devenue une urgence vu que la transparence financière est une condition préalable nécessaire pour assurer cette sécurité. La recherche

pertes en 2001, suite à l’explosion de la bulle Internet : 21,8 milliards d’euros pour Vodafone, 7,5 milliards pour le Néerlandais KPN, 3,5 milliards pour l’Allemand Deutsche Telekom, 2,8 milliards pour le Britannique BT et faillite pour l’Américain WorldCom. De plus, les acquisitions menées par France Telecom avaient toujours reçu l’aval de son actionnaire majoritaire, l’Etat, qui l’avait poussé à payer en cash et non en actions, afin d’éviter une « privatisation rampante ». Enfin, certaines opérations

communication de l'information financière plus fiable et de lutter contre les comportements déviants et frauduleux des entreprises. Elle fait suite aux différents scandales financiers révélés dans le pays aux débuts des années 2000, tels ceux d'Enron et de Worldcom Impact sur les pouvoirs publics et la réglementation  La Loi fédérale sur la responsabilité (2006) le gouvernement du Canada a adopté des mesures précises qui visent à accroître la responsabilisation, la transparence et la surveillance des activités

fait craindre aux actionnaires une trop excessive familiarité avec les dirigeants. Ces soupçons sont le résultat de différents facteurs, le premier d’entre eux étant l’implication des auditeurs dans les scandales tels qu’Enron, Parmalat ou encore Worldcom, qui ont touché les différentes places financières au cours de ces dernières années. toutefois, il serait restrictif de considérer que la relation entre l’auditeur et l’audité se résume en de la complicité et de la connivence. En effet, auditeur

alors les conséquences sur les achats online. Où l’on reparle de l’illimité ? Une intervention de Tom Marten de Worldcom a retenu également l’attention car il développait l’idée qu’une régulation sur Internet passait d’abord par un développement de ce dernier en France. Les chiffres sont connus, les Français surfent moins longtemps que les Américains. Le représentant de Worldcom a défendu l’Internet illimité qui à son avis permettra d’accélérer les échanges. A cette fin, le système FRIACO (Flat