WorldCom

niveaux. Ce qui est assuré principalement par le contrôle interne et par l’audit interne au niveau de l’entreprise. Cependant, l’accumulation récente de plusieurs scandales financiers tant à l’échelle internationale, à l’image de Enron, Worldcom, Parmalat, Universal…qu’à l’échelle nationale où on citera l’affaire de Batam nous induit à réfléchir sur la capacité réelle du contrôle interne et de l’audit interne face à la prévention et la détection de la fraude. Au cours de ce travail

D’AUDIT 9 CARTOGRAPHIE DES RISQUES 10 GUIDE D’AUDIT CARTOGRAPHIE DES RISQUES PRÉAMBULE Contexte : Depuis une vingtaine d'années, des dispositifs plus ou moins complets ont vu le jour au plan international. Les affaires ENRON, WORLDCOM, VIVENDI, pour ne citer que les plus symptomatiques, ont provoqué une nouvelle prise de conscience. Les différents codes ou lois promulgués, que ce soit le TURNBULL GUIDANCE en Angleterre, le SARBANESOXLEY ACT aux Etats-Unis, ou la Loi de Sécurité

retraite non provisionns). A la multiplicit des rfrentiels comptables sest donc ajoute leur inadaptation aux conditions de la vie conomique moderne. En effet, les scandales financiers qui se sont succds aux Etats-Unis, principalement laffaire Enron et Worldcom, ont galement mis en vidence les failles du systme comptable, la fois sous langle des normes, de leur mise en uvre et de leur supervision. Cest pourquoi la ncessit de nouvelles normes comptables ne avec le dveloppement des marchs financiers, louverture

informations elles-mêmes (hypothèse forte sur laquelle repose pourtant le bon fonctionnement des marchés financiers : leur efficience –Fama (1965), c’est à dire leur capacité à intégrer immédiatement toute l’information disponible ) : voir faillite d'Enron, Worldcom, Parmalat, Vivendi, de LTCM (98) Hedge funds, Merton Scholes, (4,6 milliards de fonds propres pour des engagements de 100 milliards de dollars, une position sur marchés dérivés de 1200 milliards et une grosse partie des liquidités placées en bons

difficile à analyser, la poussée de la concurrence nationale et surtout internationale conduisent les responsables d'entreprises à ne négliger aucun atout, et spécialement aucun atout comptable et financier. Les récentes affaires du type Enron ou WorldCom ont bien montré que ceux qui négligeaient ces atouts avaient tort. Il n’est pas facile d’intégrer à la fois la dimension comptable et financière dans le diagnostic d’entreprise, mais c’est à la fois possible et pertinent. La présente étude se propose

loi américaine de sécurité financière, elle impose aux entreprises de nouvelles obligations favorisant la transparence et l’exactitude des comptes. Cette loi a vu le jour suite à plusieurs scandales financiers majeurs comme les affaires Enron et Worldcom aux EtatsUnis. Elle a été votée par le congrès puis ratifiée par le président Bush en juillet 2002. Son objectif est de redonner confiance aux investisseurs en empêchant que de tels problèmes ne se reproduisent. Depuis, différents gouvernements de

niveaux. Ce qui est assuré principalement par le contrôle interne et par l’audit interne au niveau de l’entreprise. Cependant, l’accumulation récente de plusieurs scandales financiers tant à l’échelle internationale, à l’image de Enron, Worldcom, Parmalat, Universal…qu’à l’échelle nationale où on citera l’affaire de Batam nous induit à réfléchir sur la capacité réelle du contrôle interne et de l’audit interne face à la prévention et la détection de la fraude. Au cours de ce travail

crise asiatique en 1997, on leur a reproché leur très nette lenteur à 27 adapter leur notation. Les reproches ont été les mêmes au moment de l’éclatement de la « bulle internet » en 2001. En 2002, avec les faillites retentissantes d’Enron et Worldcom, les agences ont connu un sévère démenti, elles qui jusqu’aux derniers jours avaient maintenu de bonne notes pour ces sociétés. On constate donc que malgré les « codes de bonne conduite », que dès 2004 la Securities and Exchange Commission (SEC)

et se concurrencer sur le marché mondial, sans pour autant tenir compte des divergences réglementaires qui existent dans les législations financières et comptables actuelles. De plus, la multiplication des scandales financiers comme ceux d‟Enron, Worldcom ou encore Vivendi a perturbé la confiance des investisseurs. Ainsi, afin d‟éviter une désaffection des marchés, les réglementations et la normalisation sont devenues accrues. L‟objectif est donc l‟accroissement de la transparence pour l‟investisseur

aujourd’hui admis que les membres du comité d’audit du conseil d’administration doivent être des administrateurs indépendants. Tout ceci a contribué à restaurer la confiance des investisseurs dans les sociétés après les scandales du type Enron, Parmalat, Worldcom, Tyco, etc. Or pour une association aussi, le terme d’administrateur indépendant est une contradiction. Une association est un groupe de personnes, les « membres » (ou les « adhérents », mais on utilisera ici le terme de membre pour simplifier),