WorldCom

ont pris de l’ampleur depuis une vingtaine d’années avec l’avènement de l’entreprise actionnariale et l’essor des marchés financiers. Ils se sont intensifiés à deux occasions, au début des années 2000 lors des grands scandales financiers (Enron, Worldcom, Parmalat, etc.) qui ont entraîné une prise de conscience de l’opinion publique ainsi qu’une intervention du législateur dans différents pays. . Et dans le sillage de la crise actuelle, qui force à réexaminer les réflexions en la matière La gouvernance

entreprises, ainsi qu’un contrôle trop lâche exercé par leurs dirigeants, quand ce n’est pas des pratiques mensongères ! Il y a quelques années, plusieurs affaires ont défrayé la chronique aux États-Unis : Imclome (biotechnologies), Qwest Com et WorldCom (télécommunications)… mais surtout Enron. Cette société texane, spécialisée dans le courtage de l’énergie, s’était développée très rapidement au point de devenir une des plus grosses capitalisations américaines. Elle procédait à une telle inventivité

Pour un investisseur d’outre-Atlantique, l’externalisation apparaît souvent comme un moyen sûr pour gérer des ressources humaines dans la mosaique des législations européennes. Bank of America, BP Amoco, Colgate Palmolive, General Electric, Unisys, WorldCom ont fait ce choix. Autre corrélation, celle de la taille : les petites entreprises externalisent autant que les grandes. Les premières (Petites entreprises), parce qu’elles manquent de ressources fonctionnelles et cherchent

Banque des règlements internationaux : « … les changements d’attitude des investisseurs internationaux à l’égard du risque ont présenté la principale source de contagion. La réévaluation du risque de crédit qui a suivi la révision des résultats de WorldCom en juin 2002 a accru les marges pour de nombreux emprunteurs d’économies émergentes. D’ailleurs les primes de risque, pour l’ensemble de ces régions ont suivi de très près les marges sur obligations américaines à haut rendement, ces dernières années

l’essentiel de leur information sur le profil de risque des entreprises. Cependant, la notation des agences de rating a été discréditée. Dès 2001, la qualité des notations des principales agences est remise en cause lors de l’affaire Enron ou Worldcom. Concernant Enron, 4 jours précédents sa faillite, la bonne notation du géant gazier américain avait été maintenue. L’indépendance des agences de notation a fortement été critiquée par les investisseurs qui ne veulent plus recourir aux

(SOX), du nom respectif des deux sénateurs Paul Sarbanes et Michael G. Oxley, a été adoptée par le congrès américain en Juillet 2002. Elle a vu le jour suite aux multiples scandales comptables et financiers : Enron, Tyco International ou encore WorldCom. Plusieurs points liés à la sécurité des SI doivent faire l’objet d’un contrôle strict au sens de SOX. Il s’agit notamment de : 1) La gestion des mots de passe Le niveau de sécurité des mots de passe ; La vérification du changement des mots de passe

reflètent-ils la valeur fondamentale, c’est-à-dire la « vraie » valeur des entreprises ? Les investisseurs sont-ils rationnels ? Ces diverses questions apparaissent d’autant plus pertinentes que nombre de scandales financiers, telles les affaires Enron ou Worldcom en 2001 et 2002, ont frappé les économies durant les années 2000. Enron, après s’être considérablement développée en dix ans, est devenue une société emblématique de la bulle Internet en accédant en mars 2000 au rang de sixième groupe énergétique

(Technologie Media Telecommunications). Puis, en 2001, il y a eu un krach boursier mondial et à partir de là, certaines entreprises ont cherché à camoufler la réalité, c'est-à-dire transformer les comptes de la société. Par exemple, la société Enron, Worldcom, parmanat. Ça n'a pas rassuré les investisseurs et donc, la Bourse a continué à s'écrouler compte tenu de cela. Enron avait beaucoup de salariés et elle avait créé un mécanisme de retraite pour ces salariés, fondés sur les actions de la société

en réaction à certaines affaires largement médiatisées, le parlement français a adopté le 17 juillet 2003 la loi sur la sécurité financière (LSF) pour répondre à la crise de confiance des investisseurs née outre-atlantique avec les affaires Enron et Worldcom, ou en France par des affaires comme celle qui a concerné Vivendi. Le périmètre de la LSF Les personnes morales faisant appel public à l’épargne (SA, SCA ou autres) devront rendre publiques les informations relevant des conditions de préparation

financière (LSF)  Aperçu général sur la LSF 16 Le Parlement français a adopté le 17 juillet 2003 la Loi sur la Sécurité Financière (LSF) pour répondre à la crise de confiance des investisseurs née Outre-Atlantique avec les affaires Enron et Worldcom et relayée en France par des affaires comme Vivendi. Elle comporte de nouvelles dispositions relatives à la gouvernance d'entreprise et au contrôle interne. La volonté du législateur est double : une information plus complète à destination des