Y A T Il De L Inconnaissable

autobiographique Le pacte autobiographique est un concept forgé par Philippe Lejeune, théoricien de la littérature et spécialiste de l'autobiographie fantastique. C’est l’engagement que prend l’auteur à raconter directement sa vie, ou une partie d’elle, dans un esprit de vérité. Il s’engage donc à ne dire que la vérité, à être honnête en ce qui concerne sa vie. En contrepartie, le lecteur peut décider de lui accorder sa confiance. Dans cet engagement l’auteur affirme l’identité entre le narrateur, le personnage

telles que nous les percevons et non pas telles qu'elles sont. L'apparence se présente directement à notre vue ou à l'esprit sans connaissances particulières, elle nous induit en erreur. Ce n'est qu'une allure, un aspect, une perception, ne prenant pas consicence du réel, de l'évidence ou de la vérité. Les apparences ne sont que des impressions. Cependant, sont-elles toujours trompeuses ? C'est à dire dans tout les cas et sans exception possible ? L'apparence peut être source de vérité, elle peut

que la philosophie peut être, comme on le dit souvent, la recherche de la vérité et de la sagesse dans l’existence. Cependant, comment accéder à une vérité alors qu’on ne peut la vérifier ? Comment la philosophie peut-elle se dire une discipline alors qu’elle peut réfléchir sur des choses ou des objets dont l’existence n’est pas démontrée ? Est-elle condamnée à n’être qu’une discipline critique qui doute d’elle-même ? Est-elle une science de la rationalité pure ? Nous allons voir, en montrant les rapports

Introduction Devant une œuvre d'art qui nous touche, nous ressentons des émotions fortes qui semblent nous être communiquées par l'œuvre : tout se passe comme si la tristesse du compositeur se transmettait à nous par l'intermédiaire du morceau de musique mélancolique. Sans doute même faut-il aller plus loin : les œuvres d'art ne manquent pas, qui semblent véhiculer un message, défendre une thèse sur le monde, exprimer une indignation, en sorte qu'elles sont d'emblée par nous interprétées comme étant

« presque tous les gens que j’ai connu sonnent faux », affirme Bernard à la vue d’une fausse pièce d’or. Cette assertion porte en elle une réalité désolante : comment Bernard peut-il aimer véritablement les autres si ces derniers ne révèlent pas leur intériorité et ne montrent pas d’authenticité ? Aimer autrui apparaît comme une expression évidente, voire comme une forme de pléonasme : nous sommes naturellement portés à aimer l’altérité et il serait difficile de s’imaginer vivre sans. De plus

symbole. Alors quand on m’a demandé sur quel sujet, en rapport avec la symbolique maçonnique, je voulais plancher, je pense que c’est avant tout en référence à mon passé que j’ai choisi le compas. En effet c’est en rapport avec tous les bons souvenirs de tracés de rosaces élaborées avec les compas successifs de ma jeunesse que ce symbole c’est imposé à moi pour cette première planche. Etudié la symbolique de cet objet si proche en franc-maçonnerie me permettra de voir sous un autre aspect cet objet si

nature ou sa culture ? À l'origine culture signifie le travail de la terre destinée à la rendre fertile. Que serait un homme sans culture ? Film : enfant sauvage, François Truffaut 1969 Décrivez la situation de l'enfant. Un enfant abandonné, il avait le nombre 3 ou 4 ans. Il a été capturé dans le bois de l'avion. Il était âgé de 11 ans. Il fut emmené au centre médical des sourds et muets, à Paris. Il est examiné par plusieurs docteurs. A quoi voit-on qu'un enfant sauvage a grandi sans éducation

symbolise l’harmonie de l’être ? R: Oui. On voit briller à l’Orient l’E. F. Q : Cette étoile symbolique ne contient- elle aucun autre emblème ? R : On voit au centre, la lettre G. Cette lettre G relève pour moi du mystère de la création ou de la quadrature du cercle. Pourquoi une lettre ? Pourquoi un G ? G, comme géométrie, gnose, gravitation, génie, génération. Certes… mais encore…Je me plonge dans les tentatives d’explications données à la lettre G, qu’elles soient par associations phonétiques

le 15 décembre 1965 il existe à l'Université de Bordeaux un nouvel Institut qui porte le nom d'Institut de Littérature et de Techniques artistiques de masse (ILTAM). Cette création marque une étape importante dans le développement de recherches qui ont commencé il y a quelque treize ans. J'occupais alors depuis deux ans la chaire de Littérature comparée de la faculté des Lettres et Sciences humaines de Bordeaux et, en tant que comparatiste, j'étais amené à me poser des questions sur la

Au sens strict, la mort n’est rien d’autre que la cessation de la vie, c’est-à-dire relativement à nous, de l’existence humaine ou de l’histoire de l’individu. Ainsi si l’on considère la mort comme un objet, son contenu est alors nul. Elle n’est rien puisqu’elle est la fin de toutes choses réelles pour nous. En effet, nos sens ne peuvent d’aucune manière percevoir la mort : ou bien j’existe, et je n’ai donc pas encore rencontré la mort ou bien la mort est déjà là et je ne suis puis présent pour