Y A T Il Des Lois Injustes

Cher Collègue, Je travaille à la Caisse Populaire Desjardins et mon patron est un conseiller en sécurité financière. J’ai réalisé l’autre jour qu’il a menti et a transféré un montant d’argent d’une de ses clientes dans son compte. La banque a un code d’éthique et de déontologie que tous les employés doivent respecter. Je fais face à un dilemme où j’hésite entre étant loyale envers mon patron en gardant ce qu’il a fait un secret ou en restant respectueux envers la banque et le code d’éthique et

C. La justice a) légal et légitime 1ère définition de la justice = rendre à chacun son dû. C’est le principe de la justice réparatrice. Ex. : une infraction a été commise (un vol), celui qui a volé, reconnu coupable, devra réparation envers la victime : lui rendre le bien qu’il lui a pris, avec les intérêts. Fondamentalement, la justice n’est pas punitive (il faut punir le coupable) mais réparatrice : le coupable doit réparer sa faute. Ex. peine de mort qui s’appuie sur la justice punitive. Or

civilisation ; seulement à l’opposé, en Extrême Orient il y a plus de réticence à l’égard du droit, car pour eux la régulation de la société par les mœurs est préférable et le recours au droit est un signe d’échec sur le plan des relations humaines. C’est donc la recherche de la coercition étatique, caractérisant la règle de droit, qui conduit à se poser une question ; le législateur est-il entièrement libre de créer la règle de droit selon son souhait ? C’est alors en répondant à cette question que

et les lois des peuples, ou même, les lois (en admettant qu’il en soit !) portées par des tyrans. Si les Trente d’Athènes* avaient eu la volonté d’imposer des lois ou si leurs lois tyranniques avaient plu au peuple athénien tout entier, serait-ce une raison pour les considérer comme « justes » ? À aucun titre, je crois, - pas plus que cette loi qui porta chez nous un interroi** donnant à un dictateur le pouvoir de tuer nominativement et sans procès celui des citoyens qu’il voudrait. Il n’y a en effet

réussit à l’avoir d’autres non. Mais cette liberté est elle toujours assimilé et utiliser comme ile le faut ? La liberté impose des limites, puisque cette liberté ne doit bien évidemment pas nuire a autrui, cela s’explique par le faite que tout le monde a droit a une part égale de cette liberté, or cela n’est malheureusement pas compris par un grand nombre de personnes qui en soi-disant exercant leurs liberté commettent des actes qu’on peut qualifier de criminels et injustes a l’égard

observées à 1 moment donné & qui permettent de comprendre fonctionnement d’1 société donnée ex : légifrance à met en ligne diff. codes applicables à société fr. les droits = droits subjectifs : droits d’1 individu (application du droit O) structure des règles juridiques : si CONDITIONS alors EFFET (exécution ou réparation ou punition) Article 1382 : responsabilité civile (1804) « Tout fait quelconque de l’homme, qui cause à autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer

sur la reconnaissance et le respect des droits des autres, s'applique à tous. Or, le sentiment, qui est un ressenti, est aléatoire et diffère selon les individus, les points de vue. Qu'il soit de juste, c'est à dire conforme au droit, à la raison et à la justice, fondé et légitime, ou d'injuste, c'est à dire contraire à l'équité, à la justice, le sentiment dépendra des partis et des individus. La recherche de la justice a t'elle pour unique rôle de satisfaire ce sentiment? Ou doit elle aller

I. L’époque passée : le rôle dégradant des femmes, limité à leur beauté (l. 1-9) · Le bilan critique de l’ancien régimeSous l’Ancien Régime, tout était vicieux, tout était coupable ; · Le début du texte présente un bilan critique de l’Ancien régime, par les termes dépréciatifs « vicieux » et « vices » et « coupable ».· La critique est radicale : l’anaphore de « tout » et le parallélisme syntaxique soulignent l’omniprésence des vices, systématiques

PLAN : I) Le droit est le moyen libertaire d’une civilisation. A) Il n’y a pas de société sans droit. 1) Omniprésence du droit : 2) L’Homme, animal social ? : 3) La justice et le droit : B) Le droit nous rend libre. 1) La liberté politique : II) Le droit peut en même temps réduire la liberté d’une civilisation. A) Obéir est-ce renoncer à sa liberté ? 1) L’obéissance est un renoncement libre à la liberté. 2) L’obéissance comme condition de la liberté. B) L’Etat

quelquonque. Il se livre des lors à la loi de la jungle, à la loi du plus fort qu’il consider comme la meilleure 3 derive legaliste: quand on applique la loi au pied de la lettre au point de se detourner l’esprit de la loi et de ses objectifs la loi devient un moyen de comdamation. Ces personne la oublie les circonstance concrete et les personnes Afin d’échaper à cela solutions A) Savoir resister :Dans certains cas on est amene a transgresser les lois quand elel est injuste, quand elle les maintiens