Y A T Il Une Justice Universelle

de caractère moral universel = amitié) I- ENJEU DIVERTISSANT a- cadre spatio-temporel fictif et imprécis . Lieu : "Monomotapa" (v.1), "ce pays-là" (v.3), "ce palais" (v.9), "une nuit" (v.5) . Autre indication par l’intermédiaire plutôt des pers. secondaires : Historiques antiquité "esclave" (v.17), Moyen Age "valets" (v.8) "épée" (v.16) le cadre spatio-temporel de toutes les fables = imprécis éloignés. Cela donne une dimension intemporelle et universelle b- Schéma narratif

une façon tout à fait différente de considérer l'impartialité. Il la définit comme suit : « Seul est impartial le point de vue à partir duquel sont universalisables les normes mêmes qui, parce qu'elles incarnent manifestement un intérêt commun à toutes les personnes concernées, peuvent escompter une adhésion générale et gagner, dans cette mesure, une reconnaissance intersubjective32 » ( morale et communication p.86.) 3.1 Respecter les conditions d’une discussion universelle En effet, l’éthique

INTRODUCTION Peut-on vraiment concilier la liberté avec les exigences que pose la justice ? Les avis sont partagés. En effet tout dépend du contexte et dans quelle mesure la justice et la liberté auraient des exigences contradictoires ? Si on regarde de près la définition universelle du mot liberté, nous conviendront que la liberté est un idéal. Mais de quelle liberté parlons nous ? La liberté naturelle, en vertu du droit naturel? La liberté civile, en respectant les lois ? La liberté politiques

naturaliste représenté principalement par Grotius(1583-1645)et J.-J. J. Rousseau (1712-1778) 3-Le courant humaniste, avec Charles de Montesquieu (1689-1755) (Il s'agira bien sûr de résumer à grands traits ces philosophies ... ) Sources BRIMO,Albert,Les grands courants de la philosophie du droit et de l'État, Ed. A. Pedone , Paris 1978 VILLEY, Michel, Philosophie du droit, Dalloz, Paris 2 vol. http://www.cvm.qc.ca/ccollin/droit/courant1.htm 1 Thomas d'Aquin (1226-1274) La philosophie thomiste

que la justice est d'abord une exigence, et même une exigence d'égalité : c'est d'abord quand un partage, un traitement ou une reconnaissance sont inégalitaires, que nous crions à l'injustice. La justice devrait donc se définir par l'égalité, symbolisée par l'équilibre de la balance. Mais qu'est-ce qu'une égalité juste ? Suffit-il d'attribuer des parts égales à chacun ? 1. La justice se confond-elle avec la stricte égalité ? • Aristote. distingue la justice distributive et la justice corrective

sans exception. injustice : Un mal, ce qui est contraire à la loi, une inégalité. Puisque l'égalité est le fondement rationnel de la justice, on est obligé d'admettre que toute inégalité est injuste. Les hommes sont tous égaux devant la loi. Mais, revendiquer une égalité absolue entre les êtres conduit à l'injustice. Il n'est pas vrai que tous les hommes se valent. La justice consiste à reconnaître cette évidence. La réponse à cette question constitue sans doute l'un des choix politiques

exportable ? Est-ce que la démocratie est une valeur universelle et peut-on l’exporter ? Dans son livre L'Empire, la démocratie, le terrorisme, Eric J. Hobsbawm dit que c’est une idée non seulement chimérique (d’exporter l’Europe), mais en plus dangereuse. Explication : Il ne croit pas que la démocratie, dans le sens d’un système électoral, de représentation soit une valeur universelle Ce qui sont des valeurs universelles, c’est la justice, la liberté, la fraternité peut être l’égalité Des

est limité par le fait qu’il n’accède jamais à la vérité. Les puissances trompeuses (telles que l’imaginations qui brouille ses perceptions) le dominent. Dans sa vie sociale, il obéit à des coutumes, conventions. Au niveau de sa morale, il fuit sa misère et tente d’y échapper par le divertissement. 2 - A la recherche d’un faux bonheur Son amour propre est satisfait par l’amour des apparences. Il s’étourdit dans les jeux, les plaisirs etc. … Il accède à l’illusion de la puissance. Les jésuites

que Pascal conteste l'ordre établi dans le domaine social ou politique, dans les liasses II à VIII des Pensées? Les Pensées de Pascal est une œuvre fragmentaire, un regroupement de notes retrouvées chez le philosophe et publiées à titre posthume en 1670, dans le but de faire L'Apologie de la Religion chrétienne. Dans les Pensées se trouve donc le leitmotiv de la misère de l'homme sans Dieu, qui s'ajoute à une critique de sa société qui montre la vanité des actions humaines. Ont peut donc se demander

de pouvoirs accrus et de moyens conséquents. L'état poursuit se transfert de pouvoir en confiant à des autorité administrative indépendante une partie de ces missions traditionnelle. Les institutions nationales. Pouvoir exécutif : pourvoir de faire les règlements. Le président de la république Election : Il est élut au suffrage universelle direct au scrutin majoritaire uninominal à deux tours pour 5 ans. Il doit être électeur, français et avoir plus de 23 ans. Pouvoirs