Y A T Il Une Place Pour La Subjectivité Dans La Science

mettre en relation avec d’autres notions : c’est cela qu’on fait quand on définit une notion, qu’on l’analyse, qu’on la détermine, qu’on la compare, qu’on l’oppose à d’autres, qu’on l’illustre, etc Si vous notez sur une fiche consacrée à chaque notion toutes les références qui s’y rapportent (numéro du volume, page, titre de la leçon, et, à la suite, ce qui en est dit dans le passage précis), vous construirez en rassemblant ces fiches ce qu’on appelle un « index » de votre cours, qui vous permettra

domaine aussi bien au plan théorique que pratique, avec des zèle thérapeutiques, sociales, et tantôt civique ou théologiques. La psychologie a pour objectif l'investigation du mental en termes de hiérarchie et de fonctionnement. Elle s'attache donc à décrire, évaluer et expliquer les procès moral dans leur ensemble en prenant en déficit les affiche de la subjectivité. étymologiquement, la comportement est l'étude (logos) de l'âme ou psyché (psukhê), du démarche humain et des instituer psychiques. En

Département de philosophie (Ce texte est destiné à un numéro thématique de la revue Symposium dont le coordonnateur est Claude Piché.) L’usage consacré du terme « phénoménologie » renvoie à ce mouvement de pensée qui s’est inspiré de la philosophie de Husserl. Mais il suffit de remonter en amont du « mouvement phénoménologique » et de la philosophie husserlienne pour constater que ce concept n’est pas le monopole de cette seule école, qu’il n’est pas exclusif à ce réseau de références constitué par ceux

histoire de la subjectivité La question des philosophies antiques= entrer en harmonie avec la nature= plutôt question de maîtrise de soi que de conscience de soi = philosophies antiques veulent intégrer le sujet au cosmos, être en harmonie avec le tout . Cf. texte de Luc Ferry : Apprendre à vivre : Traité de philosophie à l’usage des jeunes générations= à lire pendant les vacances. La notion de subjectivité est davantage liée au christianisme dans la pensée occidentale car il donne à l’homme la possibilité

celui-ci consiste à juger. Oui, mais juger quoi ? Les documents historiques ? Les événements ? L’actualité ? Le sujet ne le dit pas, et il convient donc de préciser ce que l’historien pourrait être habilité à juger. Ici, « juger » doit être compris d’abord au sens d’apprécier, estimer, évaluer. La question est alors : L’historien est-il autorisé à formuler des jugements de valeur sur ce qu’il étudie ou sur le monde qui l’entoure ? Or, la mission de l’historien est justement de veiller à l’objectivité

PIERRE BOUTROUX SCIENCE ET CULTURE « L’objet de la culture est le développement de l’homme en tant qu’homme. » Problème : la culture suit-elle le développement de la science ; a-t-elle son développement propre ; voire, la science ne tend-elle pas à devenir un « dressage mécanique » contraire à la culture ? 1- Rappel historique : des crises analogues dans l’histoire humaine, réaction de la culture contre les prétentions hégémoniques de la science. L’humanité a déjà traversé des crises analogues

2010/2011 PSYCHOLOGIE DU DEVELOPPEMENT A- INTRODUCTION A LA PSYCHOLOGIE ET A LA PSYCHOLOGIE DU DÉVELOPPEMENT I. LA PSYCHOLOGIE ET LE MÉTIER DE PSYCHOLOGUE 1. Définitions : psychologie, psychiatrie, psychanalyse a. Étymologie et définitions Le mot psychologie vient du grec psukhê, l’âme, et de logos, la science. C’est donc la science de l’âme. Plus exactement pour N.Sillamy, c’est la science des faits psychiques. (XVIIième siècle) Au XIXième siècle, apparaissent les mots

James Clifford, intitulé « De l’autorité en ethnographie. Le récit anthropologique comme texte littéraire » est paru pour la première fois aux Etats-Unis en 1983. Il a été traduit en français par Gérard Leclerc – sociologue qui s’est notamment intéressé à la question de l’anthropologie et du colonialisme, Patrick Menget – anthropologue à l’université libre de Bruxelles et spécialiste des Indiens d’Amérique du Sud- et Britta Rupp-Eisenreich- anthropologue également, dans l’ouvrage dirigé par Daniel Cefaï

avec l’émergence de la philosophie et de la science, certaines réponses de la religion ont été remises en question, et surtout le discourt religieux ne peux plus se présenter comme une certitude objective ; l’élaboration de vérité objective est le privilège de la raison et donc de la science. Opinion commune : »Croire » s’oppose ainsi radicalement à »savoir », l’homme qui croit est celui qui accepte de ne pas savoir, de s’en remettre à sa subjectivité. Et inversement, l’homme qui sait ne peux

amis. Mais la version finale n’est publiée qu’en 1909 avec quelques modifications dont deux nouveaux chapitres, le premier et le dernier du récit. Or, le premier récit de l’illustre poète relate la mort de Merlin, condamné à l’avance par l’amour qu’il voue à une femme ingrate à laquelle il enseigne ses pouvoirs. La Dame du Lac, use des leçons de son amant et précepteur pour enfermer celui-ci dans un tombeau situé dans une forêt. L’enchanteur, issu de l’union d’une vierge et d’un diable, connaît