Zadig Discours Direct

distance et un avis objectif par rapport aux mœurs des personnages qu’ils dénoncent. Toutefois, les narrateurs adoptent différents point de vue : dans « L’immortalité » et « Les Ames grises », les narrateurs de ces deux textes utilisent le discours direct : « Si on me demandait par quel miracle je sais tous les faits que je vais vous raconter, je répondrais que je les sais, un point c’est tout ». Le narrateur est donc omniscient, en effet, on y découvre les pensées des personnages rencontrés :

à la gaieté sauvage des brutes qui l’entouraient. » (lignes 36 à 39). 2°) Propos rapportés au discours direct : « si l’enfant dit : « il a fait beau tantôt ! », l’autre répond : « Je m’en suis… … en place. ». » (lignes 12/13) « en balbutiant « La charité s’il vous plait. ». » (ligne 65) « Puis il ajouta : « Bast ! faut pas… …manger la soupe. ». » (lignes 74 à 76). Propos rapportés au discours indirect : « il affirma devant ses gens qu’il ne l’avait plus retrouvé. » (ligne 74). Ces propos

esclave de son corps. Le sujet féminin : espèce instable et insatiable. Héron, dimension figée de l’étiquette biologique, de bout en bout se pense comme un oiseau rare, sans jamais douter, jusqu’à l’irruption de la faim. Ici, c’est un corps et un discours en mouvement. Ce n’est pas qu’il veut mieux que la nourriture qu’on lui propose c’est qu’il veut « tout ». Ironie de l’étiquette « fille », au départ jeune fille, à la fin vieille fille, donc plus vraiment fille et pas encore femme. Rappelle du cadre

subordination. 5. Savoir faire les transformations : GN en proposition et vice versa adjectif en proposition relative et vice versa 6. savoir reconnaître le discours rapporté : discours indirect - discours direct savoir faire les transpositions de l'un à l'autre. 7. Nature et fonction des mots : sujet, COD, COI, CC

jamais poussée, elle avait ça dans elle. ». III. Deux conceptions du travail 9. Recopiez la seule phrase qui rapporte au discours direct les paroles du père. Quel intérêt le discours direct présente-t-il pour comprendre le point de vue du père ? (1 point) La seule phrase au discours direct est : « On ne l’a jamais poussée, elle avait ça dans elle. » L’usage du discours direct permet à la narratrice de faire entendre la voix de son père, singulière, différente de celle de sa fille. 10. Dans le troisième

voisins → lecteur plongé dans l'histoire par le discours descriptif : i. Identification du lecteur aux passants < tournure emphatique, répétition, verbes perception ii. Perçoit martyre du financier < s'endormir : hypothèse + insistance difficulté, opposé à réveil brutal : adverbe sonore à l'hémistiche + opposition verbes à la rime, durée : imparfait habitude / répétition B. Élément déclencheur v14-33 financier veut faire cesser les chants→ discours rapporté sonore et vif car : i. Impatience

chantée. But : crée entre l'auteur et le lecteur le même état d'âme. Marques de la première personne, ponctuation expressive, musicalité. Oratoire : Qui a les marques particulières du discours devant une assemblée, qui séduit le public. Ampleur de la phrase, choix évocateur des images, prises à partie de l'auditoire ; persuader plus que convaincre Pathétique : But : Emouvoir le

lexical de la violence (« tyrannique », « forcer les cœurs », « violentes »…), est bien la preuve de l’extrême brusquerie avec laquelle l’Orateur défend son discours. L’antithèse des mots « tyrannique » et « république », tous deux placés à la rime aux vers 3 et 4, renforce encore cette impression de brutalité et de véhémence dans son discours. Mais au vers 6, « on ne l’écoutait pas », on comprend que ces efforts sont vains. De plus, par l’antithèse, le lecteur avisé s’aperçoit que le fabuliste a

Variété des rimes: 2 rimes plates suivies (v.1-2; v.15-16), rimes embrassées (v.3-6), rimes croisées (v.12-14) 2) Variété des formes • Mélange entre récit et dialogue • Variété des discours: discours direct (discours du lion, du renard et de l'âne), discours narrativisé (v.55-56), discours indirect libre (discours du loup). 3) Variété des registres • début et fin de la fable tragiques et pathétiques: "(v.1) Un mal", "(v.64) noir" • Le nom du "mal (v.1)" m'apparais qu'au vers 4, ce qui

des péripéties, les descriptions limitées et fonctionnelles, et le jeu entre discours direct / discours indirect / discours indirect libre. Il est aussi marqué par l’utilisation de phrases plutôt courtes avec une ponctuation expressive et de paragraphes eux aussi plutôt courts, voire très courts, qui donnent une mise en page aérée. La langue, quant à elle, est soutenue dans le récit et dynamique dans le discours direct, recherchant même le pittoresque en transcrivant les paroles des personnages populaires