Zara Cout De Production

Mathey 17 Mazen 28 Neiers 25 Passegand 86 Pierre 19 Poli 39 Porteilla 29 Quilliot 46 Raichvarg 63 Ratti 51 Raymond 30 Regnault-Leclerc 68 Roulot 32 Roussel 61 Schoefs 15 Suty 14 Ullmann 72 Verset 81 Vignaud 56 Vinay 83 Wipf 15 Zara 77 Zaragoza 34 INSCRIPTIONS Vous pouvez vous inscrire tout au long de l’année (sauf pour les cours à effectif limité), du lundi au vendredi de 9h à 17h. Si vous ne pouvez vous déplacer, vous pouvez vous faire inscrire par une personne de votre

les Chronique LA POUSSÉE DES MARQUES DE DISTRIBUTEURS SUR LE MARCHÉ ALIMENTAIRE: INTERPRÉTATIONS ET PERSPECTIVES Philippe MOATI Université Paris Diderot-Ladyss, Crédoc134 REVUE D’ÉCONOMIE INDUSTRIELLE — n°131, 3ème trimestre 2010 modalités de la production des MDD (1). L’essor des MDD a favorisé celui des recherches académiques, en économie et en gestion (2). Ces recherches, qui abordent des champs aussi divers que les conditions de l’introduction de MDD face aux marques nationales, le positionnement

sont à noter :  Montée en puissance du client entreprise qui impose conditions financières ou de qualité particulières  Fuite du client en quête de nouvelles sources. Il faut anticiper ses besoins.  Il faut, pour le fournisseur, passer d’une production masse/vente à une démarche personnalisée. o B to C : business to customer Relations entre entreprise et consommateur final. B to C équivaut à la stratégie de segmentation et de ciblage clientèle. Nouvelle révolution du B to C : le commerce électronique

qu’il va marcher. Il soigne son image de marque. Il ne fait pas d’étude de marché. * Certaines entreprises de matières premières et de commodités. Raisons d’être * La demande est supérieure à l’offre : rareté de l’offre, les capacités de production étant insuffisantes pour les besoins de marché. * Les besoins sont connus et stable. * Le rythme d’innovation stratégique est faible. * La démarche marketing a donc ici un rôle limité. Il y a peu de contacts avec la demande finale

cela s’accompagne d’une spécialisation. Chaque boutique ne va vendre qu’un seul type de produits. Avec la révolution industrielle, une remise en cause des méthodes de vente s’opère en rendant possible la production de masse et donc la baisse des prix de vente. Pour écouler toute cette production, il est nécessaire de dvper des canaux de distribution, des formes de vente de masse vont alors se créer. Tout cela est également possible grâce à la croissance spectaculaire de la pop urbaine. La fabrication

concurrence très vive qui limite l’obtention de parts de marché supplémentaires. Cette stratégie permet aux distributeurs de s’implanter sur des marchés extérieurs ou la concurrence est moins accrue. Les distributeurs diminuent leurs coûts de production en allant s’implanter dans des pays attractifs afin d’augmenter leurs ventes pour réaliser des économies d’échelles. Avec les économies d’échelles, les distributeurs augmentent leur pouvoir de négociation vis-à-vis de leurs fournisseurs ou de leurs

perçu comme capable de satisfaire un besoin ou un désir. Le produit comprendra également la publicité, l’emballage, la qualité du contact qu’aura le client avec l’entreprise et le service après-vente. Prix : les objectifs marketings, les coûts de production et les prix généralement payés pour un produit similaire sur le marché. Il faut établir une stratégie qui inclura les escomptes accordés, les modes de paiement, les coûts de transport, les rabais, les garanties, les remboursements, etc. Si l’entreprise

ƒ Dynamique très positive à l’international l international Secteur en croissance avec un développement d’environ 25% par an Fort succès de l’ITO Succès plus modéré pour le BPO mais avec un réel potentiel ƒ ƒ ƒ ƒ Compétitivité du marché marocain Coût de main d’œuvre avantageux par rapport à l’Europe Proximité géographique, culturelle et linguistique I f t t Infrastructures de d haut h t niveau i opérationnelles é ti ll (Casanearshore (C h ett Rabat R b t Technopolis) Acteurs de référence présents

sont laissés dans leurs cartons qui sont placés sur des palettes. Le personnel est plus polyvalent que dans la grande distribution classique, les employés sont donc moins nombreux (moins de 10), ce qui permet diminuer le coût de la masse salariale. De ce fait, on estime que dans le coût de la main d’œuvre représente, en général, moins de 5% du chiffre d’affaires des enseignes de hard discount. Les enseignes jouent sur la proximité avec le client et s'implantent désormais en centre ville à proximité

activité sans but lucratif et ne cherchent pas d’abord à dégager un gain monétaire (ex :les coopératives, les GIE, les associations..). Plutôt que la recherche du profit, c’est donc l’exercice à titre principal de missions économiques relatives à la production, à la distribution, à l’échange, au financement de biens ou de services qui permet de distinguer les entreprises d’autres entités effectuant certaines opérations économiques, mais auxquelles sont assignées des missions fondamentales d’un autre ordre