éloge D Un Objet

Texte objet du commentaire: L'illusion comique de Corneille, Acte V, scène 6 Pridamant est venu chercher auprès du magicien Alcandre des nouvelles de son fils Clindor, qui a fui la très grande sévérité de son père. le magicien lui montre alors la vie de son fils sous forme de "spectres  animés", dans une grotte. Ici, Clindor est devenu comédien, et il vient de jouer une tragédie, dans laquelle il a le rôle d'un personnage tué d'un coup d'épée. Son père croit alors que son fils est réellement mort

les étapes de celle-ci puis en deuxième partie séparé en deux sous parties Les dangers de la stratégie adopté par D.J pour lui-même et Les dangers de celle-ci sur les autres. D.J pense que les femmes sont des objets acte 1 scène 2 : «  Tu veux qu’on se lie à demeurer au première objet qui nous prend »On nous montre qu’il est obsédé par sont désire de séduction, il fait donc la cour a toute les femmes. Il est malgré tous habille car il a une stratégie bien précise qui comporte plusieurs étapes

Le Malade imaginaire , Molière. Lecture linéaire de la tirade de Monsieur Diafoirus (ligne 210 à 246) : un éloge paradoxal.Questions préparatoires pour la lecture linéaire de la tirade.Cherchez la définition de l’éloge paradoxal. En quoi peut-elle s’appliquer ici ?A qui s’adresse Monsieur Diafoirus ? Pourquoi est-il important de le souligner ? Quel rôle jouent dès lors les autres personnages sur scène ? Comment le propos du père du prétendant est-il amené ?Relevez les différentes

avec l’anaphore « elle ») . Confusion elle – lui . Simplicité d’écriture . Idée d’un engloutissement doux et sensuel . Mains = essentiel cf. femme à la forme des mains = siège essentiel de la vie 2) Assimilation visuelle . Assimilation objet vu/objet qui voit . Rupture nette vers suivant = disparition de la femme paradoxale = polarité négative car siège vie disparaît . Image pierre/ciel = attraction amoureuse . Paradoxe petit/infiniment = pierre doit disparaître grand dans le ciel . Valeur

Ce mouvement brise les lois traditionnelles de la peinture occidentale. En effet, les objets représentés sont ‘aplatis’ sur la toile afin que tous leurs angles soient visibles simultanément. Les objets sont donc fragmentés, analysés et rassemblés dans une forme abstraite au lieu d’un objet représenté d’un seul point de vu. Le contexte et l’objet pénètrent l’un dans l’autre pour créer un espace ambigu, une caractéristique

apparaissant personnifiée au milieu des vivants. ex : masque de la mort rouge, Poe La chose = l’indéfinissable, inavouable, invisible. ex : Le Horla, Maupassant (1887) Vampires (ou formes de vampirismes cauchemardé) ex : Dracula (1897) statue, objet qui s’anime. ex Le pied de la momie, Gautier femme fantôme vacillement rêve/réalité effacement d’un espace arrêt/répétition du temps. ex : Un jour sans fin → vacillement de tous repères principaux qui constituent réalité mort/vie, rêve/réalité

prend pas part à l’action → Oiseau noble et majestueux, éloge ambigu avec des adjectifs péjoratifs → Lien qui se tisse entre le poète et l’animal, le poète semble se définir lui- même « Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches, Comme des avirons traîner à côté d’eux. » Périphrase tolérative Comparaison dépréciative Réification Rimes riches Allitération en [p] et [r] → Faute sous-entendu des albatros → Ils deviennent passifs/objets Ils vont être tachés, souillés par la société Comparaison

siècle, proche du courant surréaliste, dont il se démarque par la singularité de son projet poétique. Dans son premier recueil : Le Parti pris des choses , publié en 1942, notre auteur consacre des poèmes entiers en prose à des objets (pain, huître, orange ou encore cageot), c’est-à-dire à des « choses » qui ne font pas généralement l’objet d’un poème. Il poursuit sa réflexion poétique dans le recueil : Pièces (1962) où s’inscrit notre poème en prose :

corps, à cause de sa perception du monde va troubler cette vision de la réalité et va la transformer, différemment de la perception qu’en aurait eu l’âme, seule pensante. Par exemple, si je regarde un objet, je vais avoir l’idée que je sais quel est cet objet car il imite les autres modèles objets du même genre, puis son aspect matériel, en quoi est-il fait, sa couleur, …etc. Notre corps détermine notre perception du monde. Nous sommes prisonniers de tendances qui viennent de notre corps, c’est le

relève le personnage éponyme, préalablement décrit péjorativement par son valet moralisateur, Sganarelle, qui s’offusque de l’attitude provocatrice de son maître. Dans cette scène d’exposition, Dom Juan réplique donc vigoureusement et effectue une éloge de l’inconstance. Il s’agira ainsi de se demander en quoi le héros prône t-il le libertinage à travers sa perception singulière de l’amour : derrière ses visions particulières et une stratégie persuasive se cache le portrait d’un véritable libertin