éloge D Un Objet

complément d'agent . cela ce passe habituellement , seul , desincarnement du pouvoir totalitaire. Transition: le refus démocratique de l'homme relève les caractere liberticide de cette sô .L'auteur mènne dans sa satire un éloge vibrant de l'A et du savoir. III) Eloge du savoir 1)point de vue d'historien -Extrait enquête historique précision de la descript°. Travail de l'historien est l'observation . -De plus la sô est gouverné aux temps nié . Waze partisant de la lenteur " ne soyez pas

personnage excessif ( diff de « l’honnête homme », idéal du XVIIème) - Longue tirade - hyperboles l 57 /58 , 78 - Lexique de la passion, « passion » l 44 / 69, « désirs »l77 b) Un conquérant - Champ lexical du combat - La femme perçue comme un objet de quête : métonymie de la femme - Métaphore l80 + comparaison avec Alexandre ( homme historique du IVème siècle avt JC, symbole du conquérant) c) Un libre penseur ( = un libertin) - Retournement des valeurs : oxymore « faux honneur d’être fidèle

4. Discours d’Eryximaque Distinction effectuée par Pausanias valable pour tout (objets de médecines par exemple.) Ainsi, en médecine il est beau de céder aux vœux d’un homme bien tout comme un médecin favorisant la santé et gêne ce qui la détériore. En musique on crée un équilibre entre aigu/grave et rapide/lent. Lorsqu’il y a vraiment un équilibre qui se fait (pour n’importe quel phénomène), les objets du phénomène connaissent santé et prospérité. Déséquilibre = source de meaux. Religion

Dom Juan, I, 2: "La tirade de l'inconstance": quels procédés littéraires met en œuvre Don Juan pour faire l'éloge de l'inconstance? (aidez-vous du cours sur les procédés oratoires). Réponse justifiée, rédaction sous forme de tirets. Eloge paradoxal de l’inconstance  - Don Juan parle longtemps sans interpeler son interlocuteur (le « tu » est seulement présent dans la première phrase. -> on dirait qu’il oublie Sganarelle. - « je » et « on/nous » -> conception personnelle devient vérité

Cette question vous encourage à un plan critique du type oui/non… Il s’agit d’une question « fermée ». Votre attention doit se porter sur le mot « éloge » qu’il convient de définir dans l’introduction pour problématiser cette question fermée. Les Mains libres, publié en 1937, inscrit dans son titre même la revendication d’une absence de contraintes et l’importance de la main, vecteur de contact et de création. Tout au long du recueil, le motif de la main est présent, harmonieusement réparti

I) Le parti pris de l'huître : une description-définition à la fois renouvelée et méliorative A. La description de l'huître comme dans un article de dictionnaire B. Un regard neuf : l'huître comme un petit univers C. Un éloge paradoxal : un regard émerveillé sur un objet ordinaire, trivial, banal II) "Le Parti pris des choses = un compte tenu des mots" : un poème à l'image de l'huître A. L'analogie entre le texte et la chose 1. L'analogie macrostructurelle entre le texte et la chose

: Pensez-vous que la poésie et la peinture doivent avoir pour objectif la recherche du Beau ? Proposition de corrigé I- Oui A- Beauté = thème récurrent 1) Beauté corporelle Ex : « Femme noire », de L.S. Senghor ( éloge du corps / de la force de la femme africaine ) ; blasons du corps féminin ( où chaque partie est évoquée et valorisée par le jeu des images ) 2) Beauté d’un élément non animé Ex : tableaux de paysages dans la poésie romantique, comme dans

Objet d’étude : Ecriture poétique et quête du sens du Moyen-Âge à nos jours SEQUENCE – LE MOTIF DE L’ARBRE DANS LA POÉSIE PROBLÉMATIQUE DE SÉQ – Comment le motif de l’arbre est-il réinvesti dans la poésie au fil des siècles ? Séance 1 – « BEL AUBÉPIN », ODES, IV, 22 PIERRE DE RONSARD Pierre de Ronsard, « Prince des poètes », appartient au mouvement de La Pléiade qui - au XVIème s. cherche à renouveler la poésie française. Il est le premier à écrire des Odes en français, retrouvant dans

le patrimoine ne vient pas de l’héritage sacré de la foi. Une histoire lié à des objets, des symboles (la croix, le poisson), objet rituel, reliques, objets de culte. Tout cela est créé pour matérialiser cette foi. L’église est conservatrice et est à l’origine de certains culte d’objets (ex : l’arche de l’alliance, la table de la loi). Elle conserve les témoignages possibles du passage du Christ sur terre ; ces objets sont vénérés, on les nomme « reliques ». Ce sont des petites choses assez dérisoires

Le thème central de cette séquence est l’altérité. Ce thème présente l’avantage de pouvoir s’adapter à plusieurs objets d’étude au programme de seconde et de première. On le rencontre de façon évidente en seconde dans le cadre du travail sur l’argumentation. Mais on peut aussi l’aborder en première à travers l’analyse des Lumières : réflexion sur l’esclavage, sur l’utopie, sur le conte philosophique comme L’Ingénu de Voltaire. Dans cette séquence de seconde prendront place divers exercices de pratique