éloge D Un Objet

différente de la poésie classique. Ce fut le cas de Paul Eluard, symbole de la poésie surréaliste du milieu du Xxéme siècle, au côté d'Aragon ou encore Man Ray. Vers la fin de sa vie, en 1951, il publie son recueil Le Phénix, dans lequel il fait un éloge de son nouvel amour Dominique de 19 ans sa cadette. La muse est une nécessité pour l'artiste dans la création poétique comme ont pu l'être dans son passé Gala ou encore Nusch. C'est ainsi le cas dans le poème Je t'aime extrait de ce dernier recueil

nous une part enfantine. En effet le champs lexicale lié à l'enfance est aussi très prèsent. « les gamins criaillaient autour du mât de Cocagne », ce jeu traditionnel populaire qui consiste à grimper en haut d'un poteau pour attraper un ou plusieurs objets. «  Une plaisanterie », qui est ici ressassée par les adultes, fait partie de l'enfance. En effet l'enfance est le moment de l'insouciance où les enfants passent leur temps à jouer tout en conservant du temps pour apprendre. Cela leur procure de

la personnalité très marquée 1- Une démarche méthodique Champs lexicaux, règles (l.2), termes de réflexion, démarche expérimentale : observation, expérimentation, résultat. 2- Création d’un masque (comédie) Verbes pronominaux -> propre objet de travail, se doit à elle seule ce qu’elle est ; termes de dissimulation, de sentiments et d’émotions. 3- Comportement libertin Projet de maitrise de soit, cérébral et épicurien, propre créateur, rejette la religion (vivre grâce à qqn), le rêve

jusqu’à ses plus ultime fondement « duquel est l’être de ce qui est » ? « qu’est ce qui est ? » de quoi est fait l’être = science de l’ontologie des l’antiquité deux réponses s’opposent : - l’être est immatériel, idée / esprit / conscience (idéaliste = éloge de la pensée) - l’être est matière (courant matérialiste = il n’y a pas d’autre principe d’être que la matière, ils n’ont jamais trouvé d’âme au bout de leurs scalpel) Philosophie idéaliste : L’esprit est une substance autre que la matière et est

quoi elle relève d’une vision baroque du monde. Annonce du plan : I. Une conception épicurienne de l’amour. a) Une apologie du plaisir. b) Le vocabulaire galant. 2. Le fonctionnement du désir du poète. a) Les objets du désir b) L’omniprésence du « je » 3. La mise à distance de la poésie de Pétrarque. II. Une vision du monde baroque. 1. Le goût de la fugacité. 2. L’instabilité du « moi ». 3. L’expression d’une inquiétude ?

veux qu’on se lie a demeurer au premier objet qui nous prend, qu’on renonce au monde pour lui et qu’on n’ait plus d’yeux pour personne ? » Privation d’autant + insuportable qu’il s’agit dune privation précoce comparé a une mort prémturée champ lexicale de la mort « on renonce au mond », « s’ensevelir » «  etre mort dès sa jeunesse » L’antithese ds cette expression « mort » et « jeunesse » caractere insuportable et contre nature de la fidélité -Un éloge de l’inconstance Doctrine amoureuse de

amène à reconsidérer des idées reçues • qualification inattendue « grâce de cette rue industrielle », proche de l’oxymore  éloge de la modernité • comparaison entre deux termes extrêmement éloignés « religion » / « hangars »  modernité de la religion, image reprise plus loin dans le poème c) un nouveau regard sur le monde • ces procédés amènent à voir différemment les objets prosaïques du quotidien : « tour Eiffel » / « bergère » (urbain/ pastoral), « les prospectus les catalogues les affiches »

poèmes avant de la quitter. Ces neuf poèmes représentent la femme idéal, mondaine et cultivé. I/ Dramatisation d'une lettre d'amour: La structure du poème montre l'ambiguité de Baudelaire par rapport aux femmes, qui sont pour lui, des objets de culte autant que d'horreur. Ainsi, les quatres premières strophes célèbrent la beauté éclatante d'une femme qui est « trop gaie ». Le présent de l'indicatif permet de décrire la femme. Les cinq dernières strophes sont radicalement opposés au

grandeur avec la petitesse de l’homme). 2. Le bizarre. On aime à surprendre, choquer, déstabiliser (invention de personnages extravagants, burlesques ; héros passionnées, voire révoltés). Dans un souci de paradoxe, on réhabilite des objets vils ou méprisables (éloge de la « belle vieille », d’un « beau cadavre »). 3. La mort. La vision tragique du monde, la conviction de l’éphémérité de la vie conduisent à une complaisance dans l’aspiration au macabre [« Je n’ai plus que les os, un squelette

détaillé : I. En apparence une scène d’amour qui renvoie au registre lyrique : une déclaration étonnante d’un aristocrate vers une paysanne 1) Le don de la chaîne en or : - didascalies l23 - « gage de notre amour » - objet précieux car elle est en or et montre le lien 2) Les paroles : -« je t’aime Rosette » l.23 -« donne-moi ton cœur » l.21 -« par la lumière du ciel, par le soleil que voilà, je t’aime » l.44 -« tu seras ma femme »