éloge De La Beauté Féminine

colorent la page d'une émotion inattendu. Ainsi la conception naturalisme de l'auteur semble ici s'effacer pour laissé s'exprimer la compassion pour les êtres de souffrance qu'il a imaginer et mis en scène. Sans doute est-ce la que réside l'intérêt et la beauté de cette scène par de la la froideur du simple constat derrière l'ironie et le sarcasme qui jugent et condamne les balbutiements de l'émotion qui étreint du père Bazouge sont ceux cachés, inavoués du romancier et de son lecteur. Sommaire sur la

aussi être des puissants catalyseurs l’autonomisation des femmes. Chose certaine, aujourd’hui encore, la représentation des femmes dans la couverture médiatique reste stéréotypée et réduite. Elles sont moins fréquemment interviewées, le point de vue féminin est marginalisé. Les femmes sont représentées comme victimes, assistées ou enfermées dans des rôles traditionnels, ou alors que la femme « pseudo moderne » est souvent hyper sexualisée. Le Plan d’action de l’UNESCO pour l’égalité entre les sexes prévoit

Les thèmes :1. Le véritable amour est impossible, car il n’est que vanité et amour-propre. 2. Le genre dramatique est plus séducteur que le genre romanesque. 3. Toutes les histoires d’amour sont les mêmes. 4. Les deux objectifs de la littérature, de plaire et d’instruire, sont incompatibles aux XVIIe et XVIIIe siècles en France. 5. Il n’existe que deux types d’amour : soit on aime d’un amour doux, durable et bienveillant, soit on est pris par un désir corporel, passionnel et éphémère. 6. La séduction

et enfant 58 IV. La modernité 68 V. L’art mnémonique 73 VI. Les annales de la guerre 78 VII. Pompes et Solennités 83 VIII. Le militaire 87 IX. Le dandy 91 X. La femme 96 XI. Éloge du maquillage 99 XII. Les

miroir de la nature Idée : En tant que poète romantique, Hugo invite son lecteur à contempler la nature. Argument : De nombreux poèmes parlent du printemps, saison de la renaissance. Exemples : On peut citer le poème « Vere novo » (Livre I, 12), éloge du printemps et de l’éclosion des amours. II. En tendant un miroir à son lecteur, Hugo devient un guide 1. Un miroir de la société Idée : Dans ce recueil, le poète partage avec son lecteur des combats qui lui sont chers. Argument : Il peint

femme qu'il trouve trop prude bien qu'une simple caresse sur sa main éveille le désir, se satisfait d'"aventures galantes de bas étage" (page 22). La venue d'Angelica dans la maison de Donnafugata n'est pas sans émouvoir le prince qui, sensible à sa beauté et à la sensualité qui se dégage de toute sa personne, envie son neveu, mais il faut savoir raison garder ! Quand Elle lui demande de lui accorder une valse le soir du bal chez les Ponteleone, "ses joues [...] étaient surexcitées de plaisir " (page

mœurs ». Les sujets abordés dans ces six pièces évoquent principalement le thème de l’homosexualité féminine, de la prostitution et surtout de la sexualité en générale ( des sujets tabous pour l’époque ) exprimés à travers des registres horrifiques ( parfois sadiques, registre?) et lyriques. Le mélange de ces deux registres réaffirme le non conformisme de Baudelaire qui voyait dans le mal une beauté.(explication du titre…………………………………………………..........................................................

de notre ère, copie romaine d’une œuvre Grecque en bronze du IVe s av. J.-C. Découverte fin XVe, fait partie de la collection du pape. Les œuvres lui reviennent car elles sont découvertes sur des terres qui lui appartiennent. Succès car incarne la beauté classique. Restaurée. Elle a fait l’objet de copie. Laocoon, découverte à Rome début XVIe dans le sous-sol à la place du palais de Néron. Compétition entre le pape et François Ier pour l’obtenir. Œuvre qui présente une particularité : identifiée

Intérêt majeur Analyse de la passion. - Vision pessimiste de la vie en cour et de la passion amoureuse : vertu et honneur ne sont plus garants du bonheur. - Mlle de Chartres, l’héroïne, fait ses débuts à la Cour. Très vite remarquée pour sa grande beauté, elle rencontre le prince de Clèves dans une joaillerie le lendemain de son arrivée. Il tombe amoureux d’elle immédiatement. Après quelques difficultés, il obtient sa main mais comprend que cette dernière ne l’aime pas. Elle n’éprouve pour lui qu’estime

fait courir au royaume la rivalité entre les princes. Sa plus grande originalité est d'avoir fait de sa condition féminine une cause à défendre. C'est au nom des femmes qu'elle adresse ses remontrances aux chevaliers de la cour, qu'elle fait appel à la reine Isabeau, qu'elle condamne, comme Gerson, le Roman de la Rose, s'opposant ainsi à d'autres « humanistes ». Le même orgueil féminin et la même pitié l'arracheront à la retraite où elle s'est réfugiée après la prise de Paris par les Bourguignons