éloge De La Beauté Féminine

de cardinaux à Rome, y perdent leur temps… Heur v. 6 : bonheur, gloire. v. 7-8 : Ronsard et le roi Henri II se font honneur l’un à l’autre le premier en écrivant un poème savant (docte) pour faire l’éloge du second, le second en acceptant cet éloge. Nous consumons notre âge v. 9 : nous gâchons notre vie. v. 12-14 : légende du chant du cygne qui serait plus beau à l’approche de sa mort. Les Regrets (1558), sonnet 31 Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme cestuy-là

etc. nota : Le e féminin de l'adjectif disparaît de l'orthographe de l'adverbe si l'adjectif se termine par une autre voyelle, mais prend parfois un accent circonflexe ; ex : les adjectifs au féminin donnent : jolie, joliment ; polie, poliment ; mais : assidue, assidûment, continue, continûment, crue, crûment, (in)due, (in)dûment, goulue, goulûment, etc. ; excepté :gaiement    Particularité : l'adverbe tout est normalement invariable, sauf s'il est suivi d'un adjectif féminin commençant par une

entendre : flatteuse et idéaliste 2- Jaloux (l.3 à 8)Rythme binaire + paraphrase : «  Il sentait seulement en lui fermenter cette rancune et grossir cette colère qui couvent au cœur de tous les males devant les caprices du désir féminins » → haine qui l’anime, généralisation de son drame personnel à celui de tous les hommesPériphrase : «  cette angoisse confuse de l’époux qui soupçonne » → il tente de cerner le mal qui l’habiteAnaphore : « jalousie x4 » → caractère obsessionnel

qu’ils font voir. Ceux qui ont réussi à s’aveugler sur le fait pourtant massif de la Jeune-Fille n’en sont pas à une cécité près. C’est la Jeune-Fille elle-même qui est le produit de la mysogynie, non sa théorie. Ouvrez n’importe quel journal féminin, vous verrez bien. La Jeune-Fille n’est pas toujours jeune et de moins en moins fille, elle n’est que la figure de l’intégration totale à une totalité sociale en désintégration. Quand le crétin proteste contre l’évidence que «le monde n’est pas

mais réside un peu en chacun. Par exemple, Usbek critique la tyrannie alors qu’il est lui- même un tyran domestique. Aussi la réflexion excède t-elle parfois le cadre de l’Europe: c'est ainsi que les lettres abordent le problème de la situation féminine, en Orient et en Occident. De cette réflexion sociologique découle une conclusion morale: les sens sont un obstacle au règne de la raison. Petit à petit naît un portrait des Français, peu avantageux, qui les peint prétentieux, superficiels, agités

dans un milieu inconnu. Qu’est-ce qui attend donc cette belle personne exceptionnelle, qui a reçu une éducation originale pour l’époque, dans ce monde de galanterie et d’intrigues de la Cour de France ? Après avoir examiné l’effet que produit cette beauté sur la Cour, où le paraître est essentiel, on montrera que le cœur du texte concerne l’être et la vertu comme bouclier contre les dangers de la galanterie qui caractérisent la Cour. - L’apparition à la Cour de Mademoiselle de Chartres suscite l’admiration

des matières Introduction a) L’à-propos du sujet L’apropos de mon choix c’est un séminaire en 2009 à la Faculté de Germanistique avec le titre « La littérature et la ville ». On avait des cours thématiques comme : « la crime », « l’espace féminine », « la publicité », et ce qui m’a intéressé le plus c’était « le shopping ». On a regardé d’un point de vue socilologique la transformation des villes avec l’apparition des centres du shopping et ensuite on a analysé des textes concernant ce sujet

Publiée en août 1853, elle fut, l'année suivante, incluse dans le recueil des Filles du feu. D'une construction à la fois harmonieuse et très serrée, le récit raconte « l'histoire d'un cœur épris de deux amours simultanés ». En réalité, trois figures féminines commandent la structure de l'œuvre : Adrienne, la noble religieuse sublimée en sainte chrétienne ; Aurélie (alias Jenny Colon, la maîtresse de Nerval), la comédienne transformée en déesse infernale ; Sylvie enfin, la petite paysanne du Valois de

sieurs fois dans Aurélia (1855). Baudelaire, évidemment, dans ses commentaires consacrés à l’Exposition universelle de 1855, déclare, de façon provocante : « Le beau est toujours bizarre »6 ; l’auteur, réfléchissant alors sur la création, parle de la beauté de l’œuvre, de sa réussite artistique, ou littéraire. L’Année balzacienne 2005 1. Les pages des références à cette œuvre seront insérées dans le texte, entre parenthèses, sans autre précision. Elles renvoient à l’édition de la Pléiade (Paris, 1977

disaient-elles, ces rumeurs ? Que DSK était un "coureur", selon l'expression consacrée, qu'il pouvait être insistant avec les femmes, parfois "à la limite du harcèlement". Autant d'éléments qui dressent le portrait d'une "relation ambiguë" avec la gente féminine, comme nous le titrions le 18 mai. Mais qui en aucun cas ne permettent de déceler – et encore moins de dénoncer – un délinquant sexuel, un violeur en puissance. Non, nous ne sommes pas coupables d'avoir tu des informations qui auraient permis d'alerter