épicure Et La Conscience

D’ailleurs, dire qu’elle existe aurait été paradoxal : comment une essence suprême peut-elle poser hors d’elle quelque chose de contingent et d’inférieur, l’existence ? → Epicure : Les dieux sont trop parfaits et trop heureux pour être de ce monde, pour exister sur Terre ! Ils sont ailleurs, dans un néant bienheureux. Epicure nie l’existence même des dieux, ou du moins l’existence de leurs actions et de leurs pensées, ce qui revient au même. 2.b/ La beauté ne pose aucune valeurs → Sartre :

distinction classique dans l’histoire de la philosophie. C’est dans cette opposition que chacun des deux termes prend son sens, puisque l’un apparaît comme la négation de l’autre : l’esprit est immatériel, la matière est sans âme, sans pensée ou sans conscience. Pourtant, le point de vue matérialiste remet en cause cette distinction, en niant l’existence d’un esprit immatériel. 1. la distinction du corporel et du spirituel a) définition matière et esprit Pour Aristote la matière est différente

prendrait énormément de temps de les définir avec précision. La définition du troisième peut en revanche nous apporter une brique pour le bâtiment que nous construisons : le pré-conscient, c'est tout ce à quoi la conscience peut accéder, tout ce qui lui est accessible même si l'on en a pas conscience dans le moment présent. Exemple : savoir que l'on est aujourd'hui mardi était il y a quelques secondes pré-conscient pour moi. A mon sens, le bonheur n'est pas lié à l'auto-illusion mais au pré-conscient.

Sujet : Faut-il faire confiance aux désirs ? Le désir est d'abord la prise de conscience d'un manque dont la satisfaction procure du plaisir. Nous éprouvons sans cesse des désirs : qu'il vise un objet déterminé telle une voiture ou un état diffus général comme le bonheur. nous pouvons donc nous interroger sur la manière dont on doit les aborder. Faut-il avoir confiance en nos désirs ? Dans quelles mesures ? Premièrement, le désir apparaît comme l'expression de liberté humaine. En effet, un individu

matérialistes qui ont vu dans la peur l'origine de l'idée de Dieu (Epicure, Lucrèce). -Cf Feuerbach (L'essence du christianisme) : il y pose le problème religieux en termes d'interprétation et de sens. Dieu = la personnification de l'espèce humaine. La religion n'est rien d'autre donc que la relation de l'homme à lui-même; tous les attributs de Dieu peuvent en effet être rapportés à l'expérience humaine (personnalité, existence, conscience, volonté, amour de soi,...) Mais cette essence humaine est

matière est très variable selon les options philosophiques mais le sens commun est spontanément « matérialiste ».  Matérialisme et idéalisme Pour la philosophie matérialiste dont les premiers représentants furent Démocrite, (360-480 av JC) et Epicure (341-270), la matière est la première et la seule réalité. Elle est constituée d’atomes insécables, homogènes, en mouvement dans le vide, et qui forment par agrégation les corps d’une nature éternelle et infinie. Pour un idéaliste comme Platon, au

Le concept de conscience de soi contient la détermination de la différence non encore réalisée. Dans la mesure où cette différence, absolument parlant, se manifeste en elle, elle a le sentiment d'une altérité en elle même, d'une négation d'elle même, c'est à dire le sentiment d'un manque, un besoin." Hegel, Propédeutique philosophique, deuxième cours, Ed. de Minuit, page 96 La principale difficulté de votre travail vient de ce que "vrai" et faux" qualifient une affirmation, un discours dans la

ramener à, identifier) les phénomènes vitaux et les phénomènes psychiques. = Définitions particulières : les doctrines Selon les conceptions de la matière on obtient une diversité de doctrines ... 1 - Matérialisme atomistique. Démocrite... Épicure .... Matière = composée d'atomes insécables: tout peut s'expliquer par des combinaisons d'atomes. Parce qu'il n'y a dans la matière que des changements quantitatifs et que la matière est la seule réalité, tout le reste n'étant qu'hypothèse, l'esprit

aux yeux des autres qu'à être heureux soi-même. On va chercher à cultiver notre amour propre, ainsi nous perdons notre liberté et nous nous retrouvons comme "piégé" dans cette "bulle superficielle", ce qui nous rendra tôt ou tard malheureux. C'est Epicure,un philosophe grec, qui va enfin dire que le bonheur réside dans l'ataraxie, soit l'absence de troubles dans l'âme. Comme l'appuie sa citation : « Quand donc nous disons que le plaisir est le but de la vie, nous ne parlons pas des plaisirs voluptueux

hédonistes qui nous invitaient à rechercher le plaisir, à obtenir ce que nous désirons pour être heureux. Calliclés, dans le Gorgias de Platon, par exemple, nous dit que l’homme qui ne cherche pas à satisfaire ses désirs mène « une vie de pierre », et Epicure nous enseignait également qu’en apprenant à nous contenter de plaisirs simples nous pouvons trouver le contentement (ce qu’Epicure nomme « l’ataraxie », la tranquillité de l’âme) et ne pas souffrir du manque. Ainsi, le bonheur vient du fait que l’on