étant Donné En Effet Hobbes La Liberté

Thème du 23/09/2010 L’Etat Mot de passe pour l’ENT : CGJ I/ Définition de l’Etat La définition classique de l’Etat est donnée par un juriste, professeur de Droit Public, Carré de Malberg au début du XXe. Il a indiqué que l’Etat était constitué de trois éléments fondamentaux, qui sont une population, un territoire et une autorité publique. Par exemple, le peuple Kurde n’est pas un Etat, puisqu’il n’a pas de territoire. Mais dès lors que ces trois éléments sont réunis, on obtient alors un

Sujet : La liberté consiste-t-elle à faire ce qui nous plaît ?   Il est fréquent de penser que la liberté consiste essentiellement à faire ce qui nous plaît. C’est ainsi que l’on pense le temps libre, celui des loisirs, de la détente. Ne rien faire peut même passer pour l’essentiel. Et pourtant comment admettre que c’est dans le simple fait que la vie s’écoule paisiblement que résiderait l’essentiel de la liberté ? N’est-on pas d’autant plus libre que l’on fait volontairement ce qui déplaît 

Thomas Hobbes (1679) Béhémoth Ou le Long Parlement Traduction originale de M. Philippe Folliot, Professeur de philosophie au Lycée Ango, Dieppe, Normandie. 17 août 2010. Un document produit en version numérique par Philippe Folliot, bénévole, Professeur de philosophie au Lycée Ango à Dieppe en Normandie Courriel: philippefolio@wanadoo.fr Site web: http://perso.wanadoo.fr/philotra/ Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://classiques.uqac.ca/

nature n’est donc pas l’état idéal. L’homme à l’état de nature pour Rousseau est l’homme tel qu’il serait s’il n’était pas un être social. Rousseau dit d’un tel être qu’il serait « bon » parce qu’il serait dans l’impossibilité d’être méchant. En effet, pour être méchant, il faut vouloir le mal de son semblable. Mais pour avoir des semblables, il faut déjà vivre en société. N’ayant pas de « prochain », l’homme à l’état de nature ne peut lui vouloir ni bien ni mal. Sa « bonté » est donc purement négative

entre gouvernant/gouverné. Ce qui fait que la politique serait donc l’activité de ceux qui exercent ce pouvoir institutionnalisé, ce pouvoir exercé au nom de l’état, de ceux qui détiennent au nom du pouvoir le monopole de la coercition. La politique étant l’activité sociale dont le but est d’assuré par la force, par le droit la sécurité extérieur et la concorde intérieur d’un groupe. Une idée est une représentation que l’on se fait dans son esprit de quelque chose et peu importe si il existe ou non

même des autres constitue à la fois une menace et la condition de pénibilité de cette survie, dans une organisation collective, seule en mesure d'imposer presque à tous le respect d'une autre loi que celle du plus fort, la solitude absolue est en effet difficilement concevable : D'abord parce que survivre seul n'est pas possible. Sans doute aussi parce que, au-delà de la survie, la vie dans son ensemble n'est pas possible sans l'établissement de relations psychologiques, amicales, morales

La liberté Introduction 2 I. La liberté extérieure 3 A. La liberté comme absence d’entraves (Hobbes) 3 B. La liberté et la loi 3 1. Etat de nature et Etat social 3 2. Liberté négative et liberté positive 5 3. L’esclave et l’enfant 5 4. La liberté d’expression 6 C. Travail et liberté 6 1. La libération par le salaire 6 2. La libération par l’apprentissage (Hegel) 7 3. La libération par la technique (Marx) 7 4. Problème : quand il est enfin

********** I) Le problème du fondement de la justice et de sa légitimité a) La justice comme sentiment ? Au premier abord, il semble que la justice soit d’abord de l’ordre du sentir, du ressentir, c’est-à-dire du sentiment. En effet, face au mal, face à un tort subi ou commis par autrui, nous ressentons qu’il y a là une injustice. De même, lorsque nous assistons à un acte visant le bien d’autrui ou notre bien, nous sentons que cela est juste. Ces expériences communes attestent

est , comme le dit Bernard Manin lui même , identifier et étudier les éléments constants dans les systèmes représentatifs . Il appelle principes du gouvernements représentatif ces dispositions institutionnelles qui sont apparues à un moment donné dans un Etat donné , et qui se sont reproduites et subsistent dans le temps d'une manière simultanée . Et c'est sur l'étude de ces mêmes principes que va reposer notre analyse . I . Contenu de l'oeuvre . Bernard Manin commence son ouvrage avec un constat

Le capitalisme étant une forme de rationalisation. Les plus grands auteurs du XVIIIème siècle ont thématisé leur œuvre avec le changement d'une société à une autre. Distinction hétéronomie d'une société et autonomie d'une société : Une société hétéronome pense la norme comme située à l'extérieur d'elle même. Une société autonome a conscience de se donner à elle-même ses propres lois. La plupart des sociétés sont religieuses, se soumettent à des lois qu'elles pensent données avant. Elle obéissent