étayer Une Thèse

l’opposition des deux pensées : là ou le jeune homme rêve de passion brûlante « tisons » (reste d’un morceau de bois dont une partie a brûlé), l’usurier pense que cet objectif est stérile « charbons ». 2. Un raisonnement argumenté Pour étayer sa thèse, le premier argument de Gosbeck concerne la relativité de la morale en fonction des sociétés humaines : d’après lui, il serait ridicule de suivre les règles morales puisqu’elles changent selon les pays. (l.12-13). La syntaxe permet de soutenir

fidèlement, placée entre guillemets et suivie du numéro de la page dont elle est extraite. Développement Le développement doit : ➢ Suivre les étapes de l’argumentation de l’auteur. ➢ Faire ressortir les acquis importants du livre, étayés par des exemples tirés de son contenu. ➢ Faire apparaître la méthode propre à l’auteur. ➢ Définir les concepts utilisés, qu’ils aient été créés par l’auteur ou qu’on leur ait simplement donné un sens précis. ➢ Identifier les thèses fondamentales

(9 août 1896 à Neuchâtel - mort le 16 septembre 1980 à Genève), est un psychologue, biologiste, logicien et épistémologue suisse connu pour ses travaux en psychologie du développement et en épistémologie ou l'épistémologie génétique. Il a obtenu sa thèse de doctorat, en 1918, de l'Université de Neuchâtel. Il était un post-doctorant à l’université de Zürich entre 1918 et 1919. En 1919 et jusqu’au 1921 il a occupé le poste d’un assistant d'Alfred Binet, à l’université de Paris, pendant laquelle il

C. Une argumentation qui tourne à l’auto-justification Nous avons vu que l’argumentaire développé par Montesquieu n’en avait souvent que l’apparence, cela est visible également par l’emploi de tournures catégoriques qui ne justifient en rien la thèse défendue mais soulignent la certitude du narrateur quant à ce qu’il énonce. On trouve ainsi : « ils ont dû », « il est presque impossible », « on ne peut se mettre dans l’esprit », « Il est si naturel de penser que », « on peut juger de », « une preuve

C. Une argumentation qui tourne à l’auto-justification Nous avons vu que l’argumentaire développé par Montesquieu n’en avait souvent que l’apparence, cela est visible également par l’emploi de tournures catégoriques qui ne justifient en rien la thèse défendue mais soulignent la certitude du narrateur quant à ce qu’il énonce. On trouve ainsi : « ils ont dû », « il est presque impossible », « on ne peut se mettre dans l’esprit », « Il est si naturel de penser que », « on peut juger de », « une preuve

rien à se convaincre lui même de ce qu'il dit, puisque comme nous le montre ce texte, il en est déjà convaincu. C'est pour cela que cette tirade a pour principal objectif de convaincre ses interlocuteurs grâce à des arguments structurés et précis étayés par des exemples. Une tirade argumentative Cet extrait de la scène deux de l'acte un, nous révèle les qualités d'orateur de ce libertin assumé, qui, dans une simple tirade, parvient à réaliser un véritable texte argumentatif qui vise à persuader

manière prendre appui sur la « doxa » de son auditoire. Il doit s’assurer de l’acceptabilité idéologique de ses arguments. Pour prendre un contre-exemple, la pétition de principe, c’est-à-dire le fait d’admettre comme principe de son argumentation une thèse qu’on croit valable mais à laquelle n’adhère pas le destinataire a de fortes chances de rendre l’argumentation inefficace, car tout ce qui sera avancé par l’orateur sera d’emblée rejeté par son auditoire comme découlant de cette pétition de principe

l’automne-hiver 2003-2004, qui montre le coté « glamour et paillette », unique facette que la plupart des gens voit et imagine de la mode. Elle est accompagnée du titre, qui lui, indique d’emblée à qui s’adresse ce livre. Dans un premier temps sera énoncé la thèse de l’ouvrage ainsi que son intérêt, ensuite son rapport à l’actualité avec développement ou approfondissement du sujet et enfin mon avis personnel. Montrer l’envers du décors aux personnes qui ne voient que le coté glamour de la mode, voir

prônant un patriotisme et une haine contre les allemands. Selon Soucy, cette grande organisation était un excellent test pour évaluer la pénétration du fascisme en France, et il affirmait que La Roque était un « Fasciste bon teint » (p165). Pour étayer sa thèse, Winock montre que Soucy a organisé son argumentation en quatre parties. La première met l'accent sur le caractère paramilitaire des CDF/PSF. Effectivement, La Rocque avait créé un service d'ordre appelé « les dispos » afin d'assurer la sécurité

dire un anticatholicisme, au moins apparent. Mais en réalité, selon l'auteur, derrière ce qui s'affiche se manifeste en profondeur l'existence d'un héritage religieux mal assumé quoique constamment présent et immanent à la Révolution française. Pour étayer cette interprétation à première vue paradoxale, Dale Van Kley s'engage dans une histoire des idées religieuses en France depuis le temps de la Réforme protestante, explorant courants et tendances dans l'Église et le monde catholique, ou mieux, observant