étude De Cas Yves Saint Laurent

autre record. - L’AMBIANCE : Le côté « olé-olé » de l’événement, accentué par les costumes des participants, était moins voyant cette année. - LES SPECTATEURS : La foule a semblé apprécier le spectacle, mais sans plus. - LAURENT McCUTCHEON (président de Gai-Écoute et de la fondation Émergence) : Il note que le défilé était peut-être moins flamboyant, mais plus spontané. Il souligne qu’il faudra peut-être renouveler la formule. - LES PERSONNALITÉS PUBLIQUES : Le

et de la rareté des produits de luxe | La concurrence | - Très faible concurrence (exemple : une personne qui achète le parfum chanel N°5, l’achète pour sa qualité et l’image que génère la marque Chanel, il n’aurait pas le même chez Dior ou Yves Saint Laurent). | - Le marché est dominé par de grands groupes cotés en bourse comme Gucci ou LVMH-problèmes de contrefaçon incités par les prix élevés. | Distribution | -Le choix d’une distribution sélective permet de privilégier la rareté du produit-L’

déterminant selon qu'il s'agisse par exemple de services ou de produits. On peut voir le produit et le tester. En revanche, le service correspond à une promesse de faire quelque chose et le client n'est pas toujours en mesure d'apprécier le résultat. Dans ce cas, rien n'est plus important que la marque. Lorsqu'il s'agit de commerce électronique, on imagine facilement à quel point une identité forte joue un rôle important : elle incite à venir sur le site et rassure le client qui ne peut toucher le produit,

plaisir ostentatoire. Un produit ou un service de luxe se doit d’être composé de six attributs : - la perception d'une excellente qualité, conférée soit par la singularité des matières (comme dans le cas du diamant), soit par l'expertise et la minutie du processus d'élaboration (comme dans le cas d'un restaurant à étoiles). - la perception d'un prix très élevé (par comparaison avec un produit non luxueux fonctionnellement équivalent). - la certitude d'une rareté, non seulement dans l'offre, mais

dans les magazines ou sur les murs ces objets magiques, symboles de la fin des privations, appareils ménagers, produits d’entretien… La femme est souvent là, mais son rôle est ténu.  « C’est la femme potiche ou la femme serpillère », définit Anne Saint-Dreux, directrice du CNAP (Centre National des Archives Publicitaires). Femme potiche de salon illustrée par cette affiche Martini, deux amies dégustent un Martini… sans présence masculine, ce qui est déjà une évolution ; Femme serpillère dans ce

de répondre à une attente identifiée du consommateur mais de provoquer son désir. Les produits de luxe sont rarement l’objet d’études de marché ou d’études qualitatives pour l’instant. En achetant une robe d’Yves Saint Laurent, la cliente n’a nullement envie que M. Yves Saint Laurent lui demande comment il faudrait que cette robe soit. Elle achète au contraire le génie du couturier et ne demande qu’à être séduite et éblouie. Le marketing du luxe est un marketing de proposition, où l’initiative

crème » est ESTEE LAUDER, plus récemment le stick-gel est apparu sur le marché avec « For Her » de Narcisso Rodriguez , un créateur cubain résidant aux Etats-Unis. Dans la même lignée, le parfum gel s’affirme (Flower By Kenzo) mais ne s’applique en aucun cas sur les vêtements, il s’agit de parfums corporels. Lolita Lempicka suit la tendance en lançant le stick-roller, pratique, d’utilisation simple, idéal pour se parfumer au cours de la journée en toute discrétion. Ces nouvelles technologies d’application

d’avoir outrepassé les limites de la légalité et engraissé le grand banditisme. Mais apparemment, ces inquiétudes n’ont pas lieu d’être. Un nouveau rapport financé par l’UE donne même carte blanche aux vacanciers pour leurs achats. Selon cette étude, rédigée en partie par un conseiller du Home Office [le ministère de l'Intérieur britannique], les consommateurs et le marché du luxe ont en revanche tout à gagner. Ainsi, les pertes liées à la contrefaçon pour l’industrie du luxe seraient complètement

Narcisso Rodriguez).  Clarins : Clarins, Thierry Muggler, Azzaro, David Yurman, My Blend, Kibio, Porsche Design, Swarovski.  Groupe Jacques Bogart : Chevignon, Façonnable, Jacques Bogart, Méthode Jeanne Piaubert, Stendhal, Ted Lapidus.  Financiere Saint-Germain : Haviland, Daum, Lalique. Les grands italiens   Prada : Prada, Miu Miu, Carshoe, Church’s.  Giorgio Armani : mode, arts de la maison, hôtellerie.  Salvatore Ferragamo : mode, hôtellerie.  Tod’s  Dolce & Gabbana : mode et accessoires

d’une communication de luxe : VI/ Etude de cas PRADA : VII/ Conclusion : I / Introduction 1/ Qu’est-ce que le luxe ? Des secteurs et domaines qui le construisent : haute couture, voitures ; Des mots qu’ils lui associent " prix très élevé ", " raffinement ", " précieux ", " rêve " ; Des couleurs qui le caractérisent : or, argent ; Des personnalités qui le personnifient : Yves Saint Laurent, Coco Chanel ; Des marques qui l’incarnent : Chanel, Saint Laurent, Ritz, Cartier, Dom Pérignon ; Des