La mesure de la masse monétaire Les économistes calculent les agrégats monétaires dans le but de mesurer la quantité de monnaie en circulation elle-même démonstratrice de la capacité des gens à dépenser. L’élément permettant de différencier les agrégats monétaires est la liquidité de ceux-ci. Billets et pièces : M1 – Dépôts à vue = 2199,9 – 1936 = 274,9 M2 = M1 + Autres dépôts à court terme = 2199,9 + 2479,6 = 4679,5 M3 = M2 + Instruments négociables = 4679,5 + 787,5 = 5467 La carte Monéo, une révolution ? La carte Monéo a pour objectif de rendre les petites transactions plus simples. Elle se substitue au porte-monnaie classique avec les liquidités classiques. En dehors de cet aspect de porte-monnaie électronique, cette carte ne prodigue rien d’extraordinaire, rien de plus qu’une simple carte bancaire. Elle ne constitue pas une révolution mais simplement un moyen de paiement plus facilité et rapide. Les formes de la monnaie Facile à manier et à transporter : vrai pour scripturale et financière (les billets ne sont que du papier), moins vrai pour la monnaie divisionnaire (pièces parfois difficile à transporter reste d métal) Coûts faibles. Fiduciaire : vrai car c’est du papier. Scripturale : vrai car fictif. Divisionnaire : coût du métal, alors moins vrai. Accepté pour tous les agents. Scripturale : certains établissements n’acceptent pas les chèques et ceux qui n’ont pas de comptes. Fiduciaire et divisionnaire : Tout le monde reconnait la valeur des pièces et des billets. Rareté, vrai dans les 3 cas. Inaltérable, Financière : le papier peut se dégrader. Scripturale et divisionnaire : vrai Divisible, Vrai dans les 3 cas. Les monnaies métalliques étaient au début de leur invention le seul moyen d’échange (paiement) puis avec l’arrivée (invention) des billets et tout ce qui est monnaie scripturale, ces 2 moyens