E-marketing
Une grève éclate en février 2010 dans 23 des 26 magasins du groupe, suite à la décision de la direction de geler les salaires. Des employés sont séquestrés et le centre de gestion de la paie est occupé.
Adel Amara, leader du syndicat Force Ouvrière est très actif dans ce mouvement de grève.
Un mois plus tard le syndicaliste fait savoir qu’il veut quitter l’entreprise, la direction lui propose un chèque de 300 000 euros en échange de son départ mais 12h avant la signature de l’accord Stefan Vanoverbeke fait volte face, annulant la transaction.
Été/automne 2010,Brice Savin, responsable sécurité et ancien officier de police, est recruté pour enquêter sur des vols de produits à l’intérieur du magasin estimé à 200 000 euros par an, ainsi que des plaintes pour harcèlement moral que ferait peser Adel Amara auprès de plusieurs employés dont Claire Héry et Yann Nedelec, délégué syndical CFE-CGC.
Dans le courant de l’été, la Société de sécurité privée Groupe Synergie Global infiltre chez Ikea une fausse hôtesse de caisse, Aïda, qui sera licenciée pour retards répétés peu de temps après par Claire Héry. La direction niera être au courant de cette infiltration.
Plusieurs procédures de licenciement à l’encontre d’Abel Amara échoues, La tension monte et les deux co-directrices d’Ikea devront être protégées par un garde du corps de GSG.