Arrêt Du 6 Septembre 2002 Loteries Publicitaires

Plan Introduction Première section : Les pratiques commerciales autorisées Sous-section 1 : La vente en soldes Sous section 2 : La vente à distance Sous-section 3 : Le démarchage Sous-section 4 : La publicité comparative Sous-section 5 : Loterie publicitaire Section 2 : Les pratiques commerciales Prohibées Sous-section 1 : La publicité Mensongère Sous-section 2 : La vente ou prestation de services pyramidale ou à la boule de neige Sous-section 3 : Le refus ou la subordination de la vente ou prestation

Ultérieurement (après 1804), la jurisprudence est venue compléter cette liste, de quasi-contrats, en créant un troisième quasi-contrat : l'enrichissement sans cause. Enfin très récemment, la CCass a ajouté un quatrième quasi-contrat : les loteries publicitaires. Ces quatre quasi-contrats, obéissent à 2 logiques différentes : - les deux premiers quasi-contrats se justifient par le fait qu'un avantage a été procuré à quelqu'un. - le troisième quasi-contrat, se rapproche de cette logique, car il

requalifier les faits, de créer un contrat qui est cette convention. Dans ce contrat, les juges estiment qu’il y’a obligation de sécurité c’est à dire une obligation qui pèse sur l’assisté de protéger l’assistant des dommages subit pendant l’assistance. Un arrêt de la première chambre civile de la Cour de Cassation du 27 mai 1959 estime qu’en matière de conventions il y’a obligations d’indemnisation. La doctrine montre tout de même que cette théorie construit des contrats fictifs qui se sont crées une fois

qui s’enrichit s’oblige à indemniser autrui. Code Civil : article 1370 à 1381 : deux quasi contrats : - Gestion d’affaires - Répétition de l’indu Jurisprudence en ajoute deux : - Enrichissement sans cause (1892) - Loterie publicitaire Chapitre I : La gestion d’affaires Définition : situation par laquelle une personne (le gérant d’affaires) accomplit des actes dans l’intérêt d’une autre (le maitre de l’affaire) sans en avoir été chargé. Articles 1372 à 1375 du Code

le Code civil ne prévoit pas une telle obligation alimentaire entre frères et sœurs. Mais malgré cela, on considère que cette obligation alimentaire entre frère et sœur est une obligation naturelle. Cela est admis par la jurisprudence dans un arrêt de la chambre des Requêtes du 7 mars 1911 qui reconnaît l’existence d’une obligation naturelle : il y a un devoir moral d’entraide entre frère et sœur. La chambre des requêtes en tire la conséquence que quand une personne s’engager à aider son frère

ne doit pas être lié à la faute de l'appauvri Cass 16 juillet 1985 FAUTE LOURDRE SEULEMENT peut venir bloquer l'action de in rem verso Cass 13 juillet 2004 La cour de cassation consièdre que l'intérêt est causé Cass 24 septembre 2008 2 arrêts: 1er cas : ECS pour des travaux somptuaires (manifestement excessifs) effectués chez le concubains séparation et celui qui a fait les travaux considère sue appauvri => justification par cout des travaux au regard de durée

intérêts économiques de consommateur. i. Matière complexe : Auberge Espagnol ii. Il est fait des éléments divers : droit de contrat, droit des obligations, droit pénal ; bien souvent, pour assurer le respect il prévoit des sanctions (Arrêt chambre criminelle et civil procédure pénal et procédure civile). iii. Droit public administratif : Droit de la consommation c’est aussi le droit public administratif, parce que quelques institutions publiques existent pour défendre le consommateur

contrats II. > Document 3 : Art. 1101 du Code civil (définition du contrat) > Document 4 : J. GHESTIN, « La notion de contrat » (D. 1990, chron. p. 147) > Document 5 : Art. 1102 à 1107 du Code civil + tableau de classification des contrats. > Document 6 : D. MAZEAUD, « Mais qui a peur du solidarisme contractuel ? », extrait D. 2005, p. 1828. Lecture non-obligatoire mais recommandée (disponible sur: obligations-l2-uvsq@yahoogroupes.fr) : C. THIBIERGE, « Libres propos sur la transformation du droit des

Peut il exister d’autre quasi contrat de création prétorienne ? (Qui sont prévu par la loi) Dans ce cas il y aurait une autre catégorie de contrat innomé. Cette question largement débattue a été relancée à la suite des deux arrêts de la chambre mixte de la Cass du 6 septembre 2002 qui ont considérablement infléchie la définition classique de quasi contrat. Certains juges ont constaté que la notion de quasi contrat pouvait très bien s’appliquer à l’acte d’assistance où a l’apparence. Acte de l’assistance

globales. Paiement de la dette d’autrui quel recours pour le Solvens ? C. LE GALLOU n°4688 RLDC 2012/94 Chapitre 2 : Les quasi-contrats d’origine jurisprudentielle. La fin du 19ème va marquer le début de la période des grands arrêts. A la fin du 19ème siècle la Cour de cassation va créer de toute pièce un nouveau quasi contrat appelé l’enrichissement sans cause. Après cette création il n’y aura plus rien pendant plus d’un siècle. A la fin du 20ème siècle on se repose la question :