Art figuratif

"juger", "apprécier avec justesse" (associé au "bon goût"). L'acception purement gustative du verbe "goûter" pouvait ici être écartée sans hésitation (on ne lèche pas les statues SVP !) : pourtant, plusieurs copies ont évoqué la dégustation oenologique (art = pinard ?) ou la pâtisserie comme exemples. Ce n'était pas exactement à ce niveau que se posait le problème. 1.2. Forme de la question "Faut-il" : verbe fort. La question porte sur la nécessité de disposer d'une culture livresque pour apprécier

reflets dans un miroir serait justement le genre de contre-exemple sournois dont nous attendrions que Socrate le présente pour réfuter la théorie, qu'il illustre au contraire en les utilisant. Si cette théorie exige que nous classions ces reflets comme art, elle montre par là son défaut : « être une imitation » ne jouera pas le rôle de condition suffisante pour « être de l'art ». Cependant, peut-être parce que les artistes s'étaient engagés dans l'imitation, au temps de Socrate et par la suite, l'insuffisance

artiste à l’origine d’un nouvel art Mon interprétation modeste de l’œuvre ainsi que quelques explications pour mieux la découvrir, j’espère… Kandinsky est né à Moscou en 1866 et est mort en 1944 à Neuilly sur seine. Il est devenu peintre à 33 ans. Il s’est passionné pour le Fauvisme et l’Impressionnisme après avoir vu les Meules de Monet. En 1903 il peint « le cavalier Bleu », et il donnera le même nom à un groupe d’ami peintres dont l’objectif était d’imaginer un art qui ne connaitrait ni peuple

l’art Art : technique : soubassement de toute activité, omniprésente Art : esthétique : anesthéis signifie qui est relatif aux sens (anesthésie)  endormissement des sens, composante sensible Introduction L’art c’est une culture. Quelle importance donner à une telle culture ? Etant donné que d’autres formes culturelles existent : sciences, religion, philosophe etc. L’importance que les cultures ont accordée à l’art n’a pas été la même. Elles ont pu avoir une conception différente de la fonction

qui sera déterminant sera le figuratif. On comprend par la lecture directe de l'image. Ces images sont souvent accompagnées de signes abstraits, et cela se fait car ils sont dépendant l'un de l'autre. C-a-d que l'image apporte ce que le signe ne peut pas transmettre et vis-versa. On a ce qu 'on appelle une séquence narrative donc, image + mots Mais il faut être prudent dans l'interprétation de ces signes abstraits dans l'art préhistorique. On retrouve dans cet art préhistorique le plus souvent

(Dénotation) |ANALYSE (Connotation) | |Ce que je vois |Ce que je ressens, lien avec la problématique art état et pouvoir | |Depuis l’extérieur, il est possible d’observer à |Je vois une pièce d’où le plafond est | |travers les fenêtres

Kiev(Russie), en 1878. Il fut, avec Kandinsky et Mondrian, l’un des fondateurs de l’art non figuratif. Il fait des études d’abord à Kiev puis, au début des années 1900, à Moscou, à l’École de peinture, de sculpture et d’architecture ainsi qu’à l’atelier de F.I. Rerberg.  Il participe en 1905 aux premiers moments de la révolution russe et se met au service de la révolution. Ses premiers tableaux figuratifs, inspirés de la vie paysanne sont des hymnes à l'homme et à l'humanité. Après une période expressionniste

invisible de l'architecture cistercienne est la 4° dimension de l'architecture médiévale à laquelle contribue également le silence des sites cisterciens. Aussi est-il permis de parler d' «art apophatique», ce qui n'avait jamais encore été réalisé aussi nettement dans l'histoire de l'architecture chrétienne: un art non figuratif ordonnant avant tout l'espace en vue de mieux écouter la parole mais parvenant à symboliser, à rendre présente la beauté du créé. 00Les constructions cisterciennes se distinguent

Michel Leiris, Le grand jeu de Francis Bacon Dès le deuxième des entretiens dans lesquels, dialoguant avec son ami David Sylvester, il s'explique cartes sur table sur sa vie et sur son art —tels qu'il les voyait entre 1962 et 1975, précision nécessaire, cet art pas plus que cette vie n'ayant encore bouclé sa boucle et l'intéressé n'étant pas de ces gens qui s'endorment sur une vérité qu'ils croient détenir une fois pour toutes —, Francis Bacon donne, il me semble, le mot-clé qui permet de situer

sens des formes artistiques, pourquoi elles naissent et meurent, comment elles évoluent. Avec Diderot, Mme de Staël, Stendhal, Hugo, Gautier, Flaubert, Mallarmé, Malraux, les théories se sont succédé en matière de représentation (art figuratif ou abstrait) d’expression (art formel ou informel) et de signification. Pour sa part en 1859, Baudelaire affirmait : « Je crois que l’Art est et ne peut être que la reproduction exacte de la nature ». Au contraire, un critique de la Revue des Deux Mondes déclarait