Blum Loi 40 Heures

décide de convoqué les syndicats et les patronats a Matignon, et le 7 juin 1936 les syndicats signent les Accords Matignon (page 251). Ces accords permettent aux ouvriers d’obtenir de forte augmentation de salaire de 7 à 15%. La semaine sera de 40 heures. Il y aura 15 jours de congés payés. C’est une victoire pour la classe ouvrière qui obtient assez rapidement ce quel revendiqué. Ces grève ce poursuive jusqu'à fin juillet. Les syndicats s’efforcent par tous les moyens de faire revenir les ouvriers

car l'élection du Front Populaire, avec comme Président du conseil Léon Blum, a permis à la classe ouvrière de bénéficier d'énormes avancées économiques, financières, sociales et culturelles. En effet, au lendemain de la victoire électorale du Front populaire, un puissant mouvement de grèves paralyse la France. Des négociations engagées entre syndicats et patronat sous les auspices du nouveau président du Conseil, Léon Blum, aboutissent, dans la nuit du 7 au 8 juin 1936, à la signature des accords

initia plusieurs réformes sociales importantes et constitue encore actuellement une des références incontournables de la mémoire et de l'histoire de la Gauche française : les congés payés, la réduction du temps de travail avec la semaine de quarante heures et l' établissement des conventions collectives. Déclenchée par le fameux krach boursier de1929, la crise économique mondiale se répand rapidement à l'ensemble du monde. Elle gagne la France avec un certain retard, puisque ce n'est qu'à partir

des salariés...) puis des mesures qui ont marqué durablement le monde des travailleurs (semaine des 40 h au lieu de 48, premiers jours de congés payés...) Sur ces mesures, le front populaire communique par voit de presse et d'affichage. C'est de la propagande, un procédé qui n'est donc pas réservé au seules dictatures surtout en temps de crise ou de guerre. Les opposants au gouvernement de Léon Blum vont rapidement eux aussi utiliser l'affiche pour attaquer cette politique Au temps du Front populaire

février 1934. L’unité est effective le 14 juillet 1935, où 500 000 personnes défilent à Paris derrière Maurice Thorez, dirigeant du PCF, Léon Blum, dirigeant de la SFIO et Edouard Daladier, dirigeant du parti radical. Le Front populaire est né. Lors des législatives de mai 1936, ils remportent un large succès, leur donnant 369 sièges sur 605. Léon Blum prend la tête du nouveau gouvernement. Dès grèves éclatent immédiatement, auxquelles près de 2 millions de salariés prennent part. Il s’agit pour

célèbrent la victoire du Front populaire. Elles manifestent aussi les désirs de changements pour, comme le dit Léon Blum, (dirigeant de la SFIO puis du Front populaire) « … faire renaître l’espoir d’une France sociale et modèle » Ainsi, à la fin mai, près de deux millions de personnes participent à ces grèves, ce qui représente une part de population colossale par rapport aux 40 millions de français à l’époque. De ce fait, sous la pression de l’opinion publique, le gouvernement du Front

Léon Blum, socialiste est nommé président du conseil ( premier ministre) et il formera un nouveau gouvernement composé de radicaux et de socialistes. Les réformes du Front populaire Le 7 juin 1936, les accords Matignon sont signés dans la résidence du premier ministre. Ces accords Matignon sont pour les ouvriers qui auront dans ces accords le droit d'adhérer librement à un syndicat, le droit de faire la grève, le droit d'avoir des délégués du personnel et le salaire augmente. Cette loi impose

l'arrivée au pouvoir du Bloc national. En 1936, à la suite d'émeutes organisées par l'extrême droite, c'est le Front Populaire (gauche) qui est élu, avec à sa tête, Léon Blum. Il met alors en place des réformes sociales sans précédent. Malgré ses réformes, le gouvernement de Léon Blum ne parvient pas à mettre fin à la crise économique. Léon Blum démissionne en juin 1937 et le Front Populaire disparaît quelques mois plus tard. Les années 1920 en France Le retour des affrontements dans la vie politique Avec

ou les grands magasins, des compagnies de théâtre (comme le groupe Octobre de Jacques Prévert) jouent des pièces. On compte 12 000 grèves, dont 9 000 avec occupation, entraînant environ 2 millions de grévistes. Malgré les paroles rassurantes de Léon Blum, le climat qui règne alors en France a des connotations clairement révolutionnaires. Peu ou pas encadré par des organisations politiques ou syndicales, le mouvement trouve des causes multiples et fortement localisées, mais a aussi un côté festif. Comme

communiste et radicale regroupée depuis 1934 dans le Front Populaire s’était farouchement opposée à la politique déflationniste des différents gouvernements, en particulier celui de Laval. Lors des élections générales du printemps 1936, il l’emporta et Léon Blum, le chef du parti socialiste SFIO forma le nouveau gouvernement. Mais le parti communiste prit d’emblée la position du « soutien sans participation ». La politique anticrise du Front Populaire Quelles sont les premières vraies mesures anticrises