Charmide

l'ordre, enfin plus de vertu. On voit, dans le Banquet de Xénophon, une peinture bien naïve d'une république où le peuple a abusé de l'égalité. Chaque convive donne à son tour la raison pourquoi il est content de lui. « je suis content de moi, dit Charmides, à cause de ma pauvreté. Quand j'étais riche, j'étais obligé de faire ma cour aux calomniateurs, sachant bien que j'étais plus en état de recevoir du mal d'eux que de leur en faire; la république me demandait toujours quelque nouvelle somme; je

Apollodore, Isocrate pendant un courte période ; Aristippe de Cyrène, Antisthène Cébès, Simias Criton Phédon d'Élis, Métrodorefamilier d'Anaxagore, dont il fut également disciple Xénophon, Euclide de Mégare, Alcibiade dès 431 av. J.-C., Charmide, Critias, Théétète d'Athènes Platon dès 407 av. J.-C., . Il enseignait, ou plus exactement questionnait, gratuitement — contrairement aux sophistes, qui enseignaient la rhétorique moyennant une forte rétribution. Cette mission faisait de lui

sait rien. Il déclare alors dans cette même Apologie : « moi qui effectivement ne sais rien, je ne vais pas m’imaginer que je sais quelque chose ». C’est bien là que résident toute la sagesse et l’humilité de Socrate. Platon écrira d’ailleurs dans Charmide : « La sagesse ne consiste donc pas à savoir quelle chose on sait et quelle chose on ignore, mais seulement à savoir qu’on sait ou qu’on ne sait pas ». Quand il affirme : « Je ne sais qu’une chose, c’est que je ne sais rien », Socrate peut donc être

leur inspire la laideur de Socrate (Alcibiade, dans le Banquet, compare les traits de Socrate à ceux d'un satyre), et sont séduits par sa manière impertinente d'interroger des citoyens respectables. Tel fut le cas d'Alcibiade, mais aussi de Charmide (voir le Charmide) et d'Agathon (voir Le Banquet). Dans l'Apologie elle-même, trois jeunes gens (Critobule, Apollodore et... Platon lui-même) se portent au secours de Socrate pour se porter garantie d'une amende (38b). Le compte-rendu d'un tel "fan" peut-il

PHIDIAS Le faiseur de dieux Phidias est née à Athènes, en. 490 av JC il est mort à Olympie, en. 430 avant Jésus Christ, il était le fils de l'Athénien Charmidès. Phidias c’est un sculpteur du premier classicisme grec. Il est le plus grand sculpteur de la période de Périclès, son style se caractérise par une représentation réaliste de l'anatomie humaine. A son époque il passait pour un faiseur de dieux. Né à Athènes peu après la bataille de Marathon, il est l'élève d'Hêgias et apprend la technique

prétendait en effet descendre de Codros, dernier roi légendaire d'Athènes, et plus sûre du côté de sa mère, Périctionè, qui descendait d'un certain Dropidèsp. 2, proche de Solonp. 3. Elle était également la cousine germaine de Critias et la sœur de Charmide, deux des Trente Tyrans d'Athènes en -404. Platon avait trois frères : Adimante et Glaucon, interlocuteurs de Socrate dans La République et sans doute plus âgés que lui, Antiphon, ainsi qu'une sœur, Pôtonê, mère de Speusippe, qui succéda à Platon

frère Aïantodore ; Isocrate, pendant une courte période ; Aristippe de Cyrène, Antisthène, Cébès, Chéréphon, son ami d'enfance et assistant ; Ménexène, Simmias, Phédon d'Élis, Métrodore16, Xénophon, Euclide de Mégare, Alcibiade dès 431 av. J.-C., Charmide, Critias, Théétète d'Athènes, Criton et ses enfants Critobule, Hermogène, Epigène et Ctésippe ; Spintharos, père d'Aristoxène17 ; Hermogène, Lysanias de Sphettos, père d'Eschine de Sphettos ; Coriscos de Scepsis, père de Nélée de Scepsis ; et Platon

Politique qui constituent, avec Les Lois philosophie qui réalisait le couronnement des études de l'Académie Oeuvres On regroupe les écrits de Platon en trois périodes: La première période comprendrait: Apologie Criton Euthyphron Lachès Charmide Ion Hippias Mineur Lysis Euthydème La période moyenne: Ménon Hippias Majeur Cratyle Phédon Banquet République Gorgias Dans la période tardive se retrouveraient: Parménide Phèdre Théétète Sophiste Politique Timée Philèbe Lois

prétendait en effet descendre de Codros, dernier roi légendaire d'Athènes, et plus sûre du côté de sa mère, Périctionè, qui descendait d'un certain Dropidès[p. 2], proche de Solon[p. 3]. Elle était également la cousine germaine de Critias et la sœur de Charmide, deux des Trente Tyrans d'Athènes en -404. Platon avait trois frères : Adimante et Glaucon, interlocuteurs de Socrate dans La République et sans doute plus âgés que lui, Antiphon, ainsi qu'une sœur, Pôtonê, mère de Speusippe qui succéda à Platon

Biographie :    Platon  était un philosophe  grec issu d’une famille aristocratique, née à Athènes vers l’an  428­427 avant J.­C.    Sa  mère  Périctionè descendait de Solon, un poète athénien, elle était la cousine germaine  de  Critias  et  la  sœur  de  Charmide  qui  étaient  deux  des  Trente  Tyrans  d’Athènes. Son  père  Ariston  prétendait  descendre  de  Codrus, le  dernier  Roi d’Athènes. Il  avait  2 frères  aînés, Adimante et Glaucon et une sœur, Potoné.    Après la  mort  de  son père,  sa  mère