Créatine kinase

Biochimie structurale et fonctionnelle Université Claude Bernard Lyon1 2008-2009 Interaction de la nucléoside diphosphate kinase –D avec des liposomes biomimétiques : étude comparative avec deux protéines de la mitochondrie Liberty FRANCOIS UMR 5246, Institut de Chimie et Biochimie Moléculaire et Supramoléculaire Olivier MARCILLAT et Thierry GRANJON La créatine kinase mitochondriale (CKmt) est une enzyme présente dans l’espace intermembranaire des mitochondries où, en plus de son rôle métabolique

symptômes évidents, mis à part un léger retard de croissance. Durant leur tendre enfance, les malades ne présentent que rarement des symptômes, même si certains signes cliniques démontrent que le processus dégénératif est déjà amorcé (haut taux de créatine kinase (CK) sérique et nécrose des fibres musculaires (Arikawa et al. 1991; Prelle et al. 1992). Les premiers signes se traduisent par une stature plus courte, une difficulté à courir ou à monter les escaliers, des chutes fréquentes et un élargissement

directe via IRM ou biopsies - La baisse de la force (de 10 à 30% de baisse de force pour le concentrique contre 50 à 65% en excentrique en post-effort selon Newham et coll, 1987) - L’augmentation de la concentration en Créatine Kinase plasmatique (CK) (inférieure suite à du concentrique par rapport à de l’excentrique selon Newham et coll, 1987 et Clarkson et coll, 1986) - Les courbatures ou « delayed onset muscle soreness » (DOMS) (sur la figure ci-dessous, Talag

techniques plus récentes ont prouvé plus d'efficacité. Exemples d'utilisations encore d'actualité : Dosage sérique de l'isoenzyme osseuse de la phosphatase alcaline dans certaines pathologies affectant l'os Dosage de l'izoenzyme cardiaque de la créatine kinase lors de l'infarctus du myocarde V. COENZYMES ET VITAMINES V.A. Principes et caractéristiques générales Les coenzymes sont des composés de nature non protéiques, organiques, de faibles masses moléculaires et thermostables. Ils n'assurent pas

nécessaires pour le système contractile : les chaînes lourdes et légères de la myosine (gène β-MHC), la troponine T, la tropomyosine, les actines squelettique et cardiaque (gènes α-Act Sque et Card) et des enzymes du métabolisme comme la CMK (Creatine Kinase Musculaire) (gène MCK) [7]. Mais aussi des gènes tels que NCX1, codant pour un échangeur d’ions Na+/Ca2+ nécessaire aux cardiomyocytes pour avoir le temps de se repolariser avant la dépolarisation suivante. ANF qui est un régulateur d’homéostasie

sont sécrétées par les cellules : enzymes digestives. Lorsque les cellules d’un tissu sont lysées : les enzymes deviennent alors des marqueurs physiologiques en biologie clinique. Ex1 : LDH dans le sérum infarctus, déchirure musculaire… Ex2 : Créatine Kinase déchirure musculaire. VI. CLASSIFICATION DES ENZYMES A. CRITÈRES DE CLASSIFICATION A. Un certain nombre d’enzymes sont fréquemment désignés à l’aide de noms communs, par commodité d’usage (pepsine, trypsine, chymotrypsine, papaïne…)

quadriceps et du triceps de 30 mn, introduisent des étirements statiques pour un groupe après la séance. Aucune atténuation des douleurs ne fut constatée dans les 3 jours qui ont suivi la séance. La séance a entraîné une augmentation de la CK (Créatine Kinase) et une diminution de la force de la cuisse douloureuse. Le stretching n’a pas modifié ces paramètres. Ils en concluent que le stretching n’a pas d’efficacité sur les courbatures. Wessel et Wan (1994) ont également testé l’effet du stretching

au niveau cellulaire : c’est la PCr Comme l’ATP, la PCr contient un groupement phosphate Comme l’ATP, la libération du groupement phosphate libère une grande quantité d’énergie La libération d’énergie facilite l’action d’une enzyme : la créatine kinase : PCr –> Cr + Pi -> ATP L’énergie est directement disponible pour la resynthèse de l’ATP : énergie+ ADP + Pi -> ATP L’importance du système lors de l’exercice  La rapidité de mise en œuvre est due à: L’ATP et la PCr sont emmagasinées

réactif contient pour un volume total de Zml: - 40 pm de tampon acide 2.(N-2-hydroxyèthyl pipérazine - N’ - yl) éthane sulfonique (HEPES) ajusté à pH 7,4 avec NaOH 2N, - 20 pm MgCl, 6HZ0, - 8 pm ATP, - 12,4 pm de créatine phosphate, - 0,2 mg de créatine phosphokinase (EC2.7.3.2.), - 8 pm de NaZSZ04, - et la quantité d’extrait brut désirée, SOUS 0,l atmosphère d’acétylène dans l’argon. Toutes les solutions sont préparées dans l’eau distillée soigneusement dégazée

consommé En contraction isométrique (W = 0), de l’ATP est consommé car les ponts se font et se défont au même endroit, mais le rendement est bcp +faible qu’en contraction isotonique. 8 1) a) Phosphorylation directe : ADP → ATP à partir de la créatine phosphate (20 mM) Permet de maintenir une concentration d’ATP de 3-5 mM dans le cytoplasme. Très rapide mais ne permet que quelques twitches. b) Myokinase : 2 ADP → ATP + AMP 2) Glycolyse (anaérobie) : rapide (2x oxydation) → utilisée par les