Despotisme

XVIIIe siècle dit des « Lumières », est le siècle de tous les extrêmes. La France de l’Ancien Régime va connaître le plus profond bouleversement de son histoire. Certains hommes, aux idéaux d’éducation et d’égalité, font entendre leurs voix contre le despotisme. Montesquieu, philosophe et moraliste de cette époque, est l’un d’eux ; il s’intéresse à la séparation des pouvoirs et cherche à diffuser ses idées par l’écriture. Dans ce texte tiré de « l’Esprit des Lois », Montesquieu s’intéresse à la monarchie

l’intérêt général. Mais comment être sûr que ces lois défendent l’intérêt des sujets et non pas « la raison d’état » ? En effet, la raison peut être un calcul de coût et avantages froid et inhumain. De telles lois ne risquent-elles pas de conduire au despotisme de l’intérêt général ? a) La liberté exige des bornes fixées par la raison : - La liberté conçue comme indépendance conduit à une impasse, car les hommes sont alors esclaves de leurs passions. - Seule la raison, en

ces demandes. Par contre, il délaissa bon nombres d’acquis de la révolution qui permet de croire qu’il fit un véritable bon en arrière, régissant une contre-révolution. En effet, la liberté est une condition qui pouvait s’avérée menaçante à son despotisme. Ainsi, il contrôla avec sévérité les libertés civiles. La presse est réglementée, contingentée et censurée. La littérature et le théâtre sont surveillés et épurés, jusque dans leurs œuvres classiques. La police de Fouché puis de Savary est

crime de lèse majesté sous « la Cour » explicitent ses dérives par des exemples de despotisme et de servitude. b- Alternance des exemples de la période contemporaine avec ceux de la période antique : l’origine romaine et l’évolution grecque de cette loi sous les empereurs de l’Antiquité (Gratien, Valentinien, Théodose, Arcadius, Honorius et Alexandre). c- L’exemple anglais sous Henri VIII ou le cas du despotisme le plus « terrible » dû à la loi de lèse majesté. 2) Limite à l’application de la

l’intérêt général. Mais comment être sûr que ces lois défendent l’intérêt des sujets et non pas « la raison d’état » ? En effet, la raison peut être un calcul de coût et avantages froid et inhumain. De telles lois ne risquent-elles pas de conduire au despotisme de l’intérêt général ? La liberté exige des bornes fixées par la raison : La liberté conçue comme indépendance conduit à une impasse, car les hommes sont alors esclaves de leurs passions. Seule la raison, en tant qu’elle met à distance les passions

conclusion, nous pouvons dire que Voltaire reste fidèle à ses idées libertines, en critiquant le despotisme et la tyrannie(La monarchie en un sens). A travers la morale proposée, qui est donc vous l'avez compris de ne pas juger quelque-chose quand on n'en a pas les moyens, les compétences ou la culture, Voltaire soutient la raison face à l’ignorance. Car celle-ci est source de tyrannie et de despotisme.

démocratie américaine semble avoir trouvé un équilibre entre l’égalité et la liberté. Il démontre alors plusieurs contrepoids ou contre-pouvoirs qui peuvent être mis en place pour s’opposer aux deux risques principaux : la tyrannie de la majorité e le despotisme démocratique. Ainsi, il propose 4 solutions : La liberté d’association = émergence d’associations = corps intermédiaires susceptibles de s’opposer au pouvoir central par des manifestations par exemple. Ceci permet 3 choses : - maintenir les liens

Tocqueville définit la démocratie non point comme une forme de gouvernement mais comme un état social caractérisé par « l’égalité des conditions ». Elle recèle le risque du despotisme lorsque la passion de l’égalité conçue comme égalitarisme et non comme égalité en droit des personnes l’emporte sur le goût de la liberté. Despotisme : forme de gouvernement où l’autorité est exercée par un individu qui règne au pouvoir politique absolu et de manière abusive au regard des lois. Il s’agit donc d’un régime

guillotiné en ce matin du 21 janvier 1793. La démocratie, dans son commencement révolutionnaire, signe, semble t-il, l’arrêt de mort de la tyrannie. Mais force est de constater qu’un tel tyrannicide a pu sembler inaugurer, aussitôt, d’autres formes de despotisme peut-être plus anonymes mais tout aussi systématiques que celle que pouvait incarner un roi. Cette citation de Robespierre, instigateur de la Terreur et figure emblématique de la Révolution, illustre bien cette forme nouvelle et redoutable de tyrannie

 La démocratie en soi, une fois installée, est profondément dangereuse et pernicieuse. Il reste un despotisme propre à la démocratie → désintéressement → confiner en notre bonheur privé → désengagement du citoyen et augmentation du pouvoir des dirigeants.  Avant cet Etat démocratique (despotisme), nous avons la mise en place de l’Etat totalitaire. Ceux qui auront le pouvoir après la révolution auront un pouvoir