Dodécaphonisme

C’est d’ailleurs dans les années 40 qu’il rencontre, dans cette ville, le chorégraphe Merce Cunningham qui était alors étudiant. Par la suite, il vont développer un travail en commun, tout en poursuivant chacun une œuvre propre. Déçu par le dodécaphonisme, notre « inventeur » entrevoit dès lors la nécessité de faire appel à des « domaines nouveaux d’exploration et des rapports inusités entre les sons…Les instruments à percussion sont tout désignés pour un tel projet ». Ainsi, compose-t-il First

atteindra son paroxysme au 20ème siècle sous les courants surréaliste et existentialiste8, ainsi que sous le Nouveau-Roman. La modernité est suivie dans tous les arts, y compris en peinture (impressionnisme, fauvisme et cubisme) ainsi qu’en musique (dodécaphonisme) et en architecture (Art Nouveau). Elle prend sa source dans l’accélération démographique, économique, sociale et technologique qui nait suite à la Révolution industrielle vers le milieu du 19ème. L’art devient en fait un refuge pour l’homme

contracte un maladie rénale qui compromettra sa santé pendant plus de dix ans. Il retourne à l'École secondaire de musique de Tallinn pour l'année académique 1956-57 avec Veljo Tormis pour professeur et assimile facilement toute idée nouvelle (dont le dodécaphonisme). Il fait déjà preuve d'un talent évident et naturel pour la composition ; un de ses compagnons d'étude, Ave Hirvesoo, déclare même qu'il « semblait secouer sa manche et des notes en tombaient ». Il entre au conservatoire de Tallinn à l'automne

penser à un « cubisme musical ». La musique dissonante de Schoenberg rappelle aussi le collage cubiste. Parmi les compositeurs, Schoenberg se démarque en 1923 avec la Valse des cinq Pièces pour piano op.23, écrite selon un procédé nouveau : le dodécaphonisme sériel, méthode fondée sur l’organisation systématique des douze sons (7 notes + 5 demi-tons). « Le principe d’égalité parfaite de chacun des douze degrés de l’échelle chromatique supprime les mouvements obligés, les fausses relations, les enchaînements

inférieure (elle coïncide plus ou moins avec la première exposition des Impressionnistes), la deuxième guerre mondiale sera notre borne supérieure : elle marque la fin d'une période de divergences entre les esthétiques du néo-clasicisme français et du dodécaphonisme germanique. Focaliser le renouveau artistique sur Paris est essentiel : nous le verrons immédiatement, la capitale française est largement ouverte aux mouvances nationales et étrangères de l'Art Nouveau et elle est un passage obligé pour tous

autonomes, les œuvres hermétiques produites par l’art moderne, par cet art devenu réflexif, engagé sur la voie problématique de la radicalité, se révèlent incompréhensibles (cf voir l’art contemporain, Adorno pense aussi à la musique contemporaine du dodécaphonisme de Schöneberg à la musique sérielle intégrale de Boulez et Stockhausen). Les OA semblent décevoir et bloquer toute interprétation plutôt qu’elles ne les provoquent. La logique qu’elles déploient, irréductiblement monadologique, réfléchissante

1 Jean-Marc Chouvel LA VIRTUOSITE : TROMPERIE OU ACCOMPLISSEMENT ? Mais je vais plus loin, c’est la virtuosité elle-même que je prétendrai défendre. Elle est la source du pittoresque en musique, elle donne à l’artiste des ailes, à l’aide desquelles il échappe au terre à terre et à la platitude. La difficulté vaincue est elle-même une beauté. Théophile Gautier, dans Émaux et Camées, a traité cette question en vers immortels. Ceux-là seuls font fi des difficultés qui sont incapables

dans la lignée de Brahms ou Beethoven. Ensuite il compose dans le style « Sprechgesang ». Son activité de professeurs de musque l’amène à créer, avec es élèves Anton Webern et Alban Berg, la seconde Ecole de Vienne. Cette institution créée le dodécaphonisme et le sérialisme. L’année 1933 est décisive : il se reconvertie au judaïsme (qu’il a abandonné en 1898 pour le protestantisme afin d’échapper à l’antisémitisme furieux qui sévit en Autriche). Considéré comme « dégénéré » par le régime NAZI, Schönberg

un très grand nombre d'autres œuvres. Mais ce qui caractérise principalement Bernstein, c'est son aisance à passer d'un style à l'autre : du jazz (West Side Story, Wonderful Town), au blues-gospel (Mass), en passant par certaines pointes de dodécaphonisme (dans ses premières œuvres, cependant reniées par la suite). Par ailleurs, ses œuvres symphoniques sont formées à partir de réflexions spirituelles, sur la religion entre autres. http://fr.wikipedia.org/wiki/Leonard_Bernstein Stephen Sondheim

Beatles que l'on retrouve sur l'album By Request. La transcription de la 9ème symphonie de Beethoven interprétée au synthétiseur a été écrite avant la réalisation du film Orange mécanique puis proposée à Stanley Kubrick, qui fut séduit. A) Le dodécaphonisme : C’est une technique de composition musicale imaginée par Arnold Schoenberg au début des années 20’. Cette technique donne une importance comparable aux 12 notes de la gamme chromatique, et évite ainsi toute tonalité. La série dodécaphonique