Gottfried Wilhelm Leibniz

Candide   " Sa physionomie annonçait son âme. ". Voltaire nous décrit Candide comme un personnage peu crédible et très crédule. Il croit aveuglément à la philosophie de Pangloss, le précepteur du château. Il ne pense jamais par lui-même, cherche toujours conseil auprès de quelqu’un d’autre que lui et est très dépendant de Pangloss. C’est vers la fin du conte que Candide pourra pour la première fois, faire taire Pangloss et lui exposer sa pensée sans redouter quelque moquerie de sa part. Naïf et

Texte de Leibniz, extrait de Nouveaux Essais sur l'entendement humain Préparation : Vérité particulière, individuelle et générale Sens ; nécessaires aux connaissances actuelles Ne donnent que des exemples Vérité particulière et individuelle Plusieurs exemples : vérités générales Ex. : le décours de 24 heures, vrai ici, faux ailleurs Tromperie, croyance Ex. : soleil, une vérité non nécessaire Seule utilité des sens : se questionner Vérité nécessaire - nécessité universelle -vérité nécessaire et universelle

l'existentialisme - Synthèse de la philosophie de Leibniz dans l'oeuvre : conciliation d'une certaine liberté humaine et de l'ordre de la Providence, établie par Dieu. Leibniz = Tente de rendre compatible l'existence de Mal qui explique l'absurdité du sort de certains et la cohérence de l'univers. Univers forcement mauvais car dégrade la perfection divine mais néanmoins le « meilleur des mondes » car créé par Dieu. - Adoption de l'optimisme de Leibniz, on a le « tout est bien qui finit bien » à la

l’adoration des fétiches : L 13 « bénis nos fétiches, ils te feront vivre heureux » l 16 « Hélas, je ne sais pas s’ils j’ai fais leur fortune mais ils n’ont pas fait la mienne. » d- une dénonciation de la philosophie optimiste (philosophie inspirée de Leibniz) Depuis le début, Candide a été élevé par Pangloss, philosophe optimiste qui lui a appris que « tout est au mieux dans le meilleur des mondes possible ». Ici, Candide fait une rencontre avec le mal qui le pousse à remettre en cause cette philosophie :

- motifs de l’œuvre Satire aristocratique (dénonce hommes vaniteux) Satire conte de fée. Ce qui ressemble à un conte de fée fait réfléchir Critique de la philosophie de Pangloss : philosophie de Leibniz : Optimisme Dénonce dogmatisme Parodie du genre, satire conte de fée 1# Cadre de contes de fée et éléments surprenants « Il y avait en Vesphalie »:conte de fée « baron » :

Candide ou l’Optimisme : • L’optimisme est un système philosophique, d’un philosophe allemand : Leibniz. • Candide est un adjectif qui vient du latin : Candidus, a, um qui veut dire blanc (débutant, naïf, sans expérience) • « ou » peut désigner un choix. « ou » peut se remplacer par = l’optimisme c’est la naïveté. Voltaire relit Rabelais : Gargantua, et il s’en inspire. Par exemple le titre du chapitre 1 « icelui » ! Et aussi, mettre des titres à tous ses chapitres (= comme Rabelais !)

CANDIDE Les armes de Voltaire sont la satire et l’ironie Ironie : créer un écart entre ce qui est dit et ce qui est pensé Faire semblant de croire vraie une proposition manifestement fausse Chap.1 : satire de la noblesse et de la philosophie - M. le baron de Thunder-ten-tronckh passa auprès du paravent, et voyant cette cause et cet effet, chassa Candide du château à grands coups de pied dans le derrière ; Cunégonde s'évanouit ; elle fut souffletée par madame la baronne dès qu'elle fut revenue

nommé en 1712 président de la commission mise en place par la Royal Society de Londres pour trancher le différend entre Newton et Leibniz concernant la primauté de l'invention du calcul différentiel. La commission rendra un verdict favorable à Newton, mais de Moivre était certainement l'un des plus modérés de cette commission. Il avait beaucoup d'admiration pour Leibniz, qui était même intervenu (sans succès) pour que de Moivre obtienne une chaire en Allemagne. L'apport de De Moivre est fondamental

infinitésimal est envisagé à travers la cinématique, alors que chez Leibniz il procède de la géométrie. La dérivation est encore envisagée de manière intuitive, mais les jalons de l'analyse moderne sont posés. Newton était sans doute une personnalité complexe et tourmentée. Il répugne à communiquer aux autres scientifiques ses découvertes, ce qui lui vaudra quelques violentes querelles de priorité avec Hooke (pour la gravitation universelle) et Leibniz (au sujet du calcul infinitésimal). Il consacre beaucoup

personnage naïf et innocent, qui fuit la réalité de l’horreur de la guerre et une approximation des nombres de morts, sans aucune émotion. : « il prit le parti d’aller raisonner ailleurs… » 2) Une vision orientée par la philosophie optimiste de LEIBNIZ • Un massacre justifié : « coquins » - « infectaient » - présente les soldats victimes comme des mauvais dont la mort est nécessaire. • Il justifie la mort des soldats par l’expression « la raison suffisante »- ce sont les effets