Influence D Autrui Sur Soi

majeurs par la pensée, peut-on « penser par soi-même » ? I- Les influences nuisent à notre liberté de penser. Pour penser par soi-même, il faut douter de tout ce que croit ou pense l'opinion commune. Mais la base de toute emprise extérieure sur notre esprit passe indubitablement et avant tout par des préceptes inculqués dès notre enfance, que ce soit dans le domaine éducatif, religieux, ou moral. . Craindre toute influence, c'est s'enfermer dans un monde clos. Descartes, dans le Discours de

qui se pose donc, c’est de savoir s’il pense seul, c’est-à-dire par lui-même, ou bien s’il est influencé par quelconques éléments extérieurs. Est-il vraiment maître de ses pensées ? Pense-t-il en totale autonomie ou pense-t-on à sa place ? Dans ce dernier cas, comment peut-il se dire libre, s’il n’a pas de pensées libres d’influences ? La question se pose également de savoir qui ou quoi exerce ces influences et comment lui échapper ? Les réponses à ces questions peuvent aider à expliquer comment

qui demeure dans une chose soumise au changement), mais une telle définition du sujet ne résiste pas à l’analyse, nous verrons alors que nous ne sommes pas une seule conscience et qu’une partie du moi est inaccessible et enfin, montrerons que c’est autrui qui définit le sujet. A/En premier lieu, le sujet ne se définit pas comme un objet, on ne parle pas du corps du sujet ou de son statut social mais bien de sa conscience. Le sujet pour être considéré comme tel doit disposer de trois qualités

Influence CM 1 du 21/01/2015 L'influence sociale, présente dans tout type de situations dans lesquelles une ou plusieurs personnes font pression de manière explicite ou implicite sur une autre. Autrement dit, il y a au moins en jeu 2 personnes avec 1 qui influence l'autre. Il s'agit d'une pression sociale d'un individu sur un groupe. Nous allons voir comment les forces sociales vont agir sur les individus. En temps normal, les 2 influences l'autre (A influence B mais B influence autant A). Ce

réfère à l’action. Mais qu’en est-il de la pensée ? Ne sommes-nous pas libres de penser, c’est-à-dire de concevoir des notions, des opinions qui nous sont propres, ce par l’activité de notre intelligence ? Qui peut nous contraindre moralement ou nous influencer ? Qui peut former des idées dans notre esprit ? Notre pensée est-elle formatée par la société ou en est-elle totalement libre sans entraves ? Dans ce cas, notre pensée est-elle toujours le fruit de notre volonté quelle qu’elle soit ? Se forger

c’est lui prendre sa place, et donc à penser comme lui. Cependant ici, « autrui » peut être interprété de deux manières, « autre moi » c’est-à-dire un être qui me ressemble, qui appartient à l’humanité, mais aussi comme « autre que moi », donc un être différent de moi, qui a des idées, des principes différents des miens. Il convient ici de trouver ce qui ne pourra jamais coïncider, autrement dit, ce qui appartient à autrui et qui donc par définition ne nous appartiendra jamais. Mais que penser de

l’individu et qui a pour conséquence de modifier, de modeler peu à peu ses attitudes et ses comportements dans la direction des patterns qui prévalent dans une culture ou une sous-culture donnée. Elle crée donc un conflit entre le désir d’être similaire à autrui et le désir de garder sa spécificité. On a longtemps pensé que l’uniformité était le résultat d’un processus d’imitation que l’individu active de façon instinctive. Aujourd’hui, on pense qu’elle est due à plusieurs facteurs sociaux portant deux fonctions

savoir que l'on est une personne morale, philosophie et psychique, avec tout ce que cela intègre, c'est à dire les six élements qui ont été cité ci-dessus. C'est aussi savoir que l'on a une relation au Temps, qu'il existe d'autre sujet que nous-même(autrui), à la fois similaires et différents de nous. Enfin, c'est être au fondement, à la base, de tout cela ainsi que de nos actions, nos représentations et en être conscient. Être un sujet signifie donc avoir la pleine conscience de soi et de ce qui nous

Comment peut-il se construire  si il n'a pas de modèles, d'exemples? Comment choisir ce que l'on veut être si l'o ne connaît pas les différentes possibilités qui s'offrent à nous ? L'autre est celui qui me permet de me remettre en question, il a une influence sur ma personnalité, il me transcende et me permet de me transcender comme le pense lévinas. La subjectivité dans une optique kantienne c'est ce qui relève de la sensibilité d'un sujet par opposition aux exigences universelles de la raison. La subjectivité

comportements sont très influencés par notre entourage. I Découvrir les groupes sociaux : appartenance et référence A L’interaction entre les individus et les groupes Un groupe est ce qui nous environne de la manière la plus proche et nous lie à d’autres personnes avec lesquelles nous entrons en interactions. La famille, les amis, le lieu de travail, l’association … Le groupe constitue pour chaque individu un lieu essentiel : c’est là qu’il crée des liens avec autrui. C’est là qu’il exerce