Jürgen Habermas

violence tendent à menacer l’idéal de justice balisé par la notion critique du Bien commun. 2. Les conflits d’intérêts La notion même d’intérêt a changé profondément de statut. Afin de surmonter les impasses du positivisme et du scientisme, Jürgen Habermas a distingué – il y près de quarante ans déjà – trois types d’intérêts : l’intérêt cognitif, propre aux sciences techniques, l’intérêt pratique, propre aux sciences historiques et herméneutiques, et enfin l’intérêt émancipatoire, propre aux sciences

Martin Luther King dans sa lutte, par Rosa Parks qui est l’exemple type de la désobéissance civil, par Nelson Mandela et bien d’autres. 2 grands philosophes récents ont notamment pensés l’idée de la désobéissance civile : * John Rawls * Jürgen Habermas Ils ont ainsi permis une meilleure appréciation de la notion de désobéissance civile en la caractérisant par différents principes. Néanmoins, il est aussi impératifs d’évoquer le faite que la désobéissance civile est une forme de lutte contre

international relations and interpret them. p. 2 2. Critical International theory About reflexivity of Critical Theory Critical philosophy has been developed by the Frankfurt school, from Max Horkheimer to Jürgen Habermas and the Italian school, led by Antoni Gramsci. According to Jürgen Habermas, knowledge is always interested. He distinguishes three interests which constitute and justify the enterprise of all knowledge: the technical cognitive interests are related to one’s need of controlling one’s

sociabilité « populaire » et de sociabilité « aristocratique» 1 - Richard Sennett, né en 1943, est un sociologue et historien américain qui enseigne à la London School of Economics et à l’université de New York, également romancier et musicien. 2 - Jürgen Habermas, né en 1929, est un théoricien allemand en philosophie et en sciences sociales 4 ou suivant des critères spatiaux comme la sociabilité de « quartier », la sociabilité de « café » ou même encore, à une échelle territoriale, la sociabilité

démocratie participative n'est nullement réductible à la « démocratie d'opinion » en cela qu'elle crée les conditions nécessaires au déroulement d'un débat public ouvert et démocratique. Inspiré par des penseurs de la délibération collective tels que Jürgen Habermas et James S. Fishkin, l'impératif délibératif se fonde sur une logique simple : meilleure est la qualité du débat, plus légitimes et efficaces sont les décisions qui en découlent. Toute la question porte alors sur les conditions d'un bon débat

centré sur la régulation des relations elles-mêmes   Sur ce plan, on doit cependant constater un décalage énorme entre les théories et l’enseignement d’un art de communiquer. Sur le plan philosophique, les penseurs de la communication, comme Jürgen Habermas ou Michel Serres, s’emploient aujourd’hui à montrer combien la communication entre les hommes - c’est-à-dire la rencontre, le dialogue, la conversation, le contact - renvoie à un enjeu humain fondamental : celui de construire une société fondée

Phillips Davison) 29 Emploi 30 Encodage/décodage Voir « Codage/décodage » 30 Enquête par questionnaire (méthodologie) 30 Enquête sociale 30 Entretien (méthodologie) 30 Espace public Voir aussi « Espace public (L’) de Jürgen Habermas » 31 Espace public (L’) de Jürgen Habermas Voir aussi « Espace public » 31 Espace social 32 Essentialisation/Essentialisme 32 Éthique de la communication 32 Ethnocentrisme 33 Ethnographie 33 Ethnologie 33 Ethnométhodologie 33 Ethos ou Éthos Voir aussi «

journaliste est un garde barrière c’est à dire un filtre qui va traiter l’information ». Les journalistes peut-être joueraient d'une certaine crédibilité de par leurs compétences afin d’imposer une orientation du débat dans l’espace publique. → Jürgen Habermas évoque, quant à lui, définit l’espace publique. En ses termes, l’espace public est un entre deux composé par des personnes privées qui, en se réunissant, forme un public. Ce même public doit alors agir librement sous la forme de discussions critiques

cependant sans appel : « toute réflexion sur les ‘origines culturelles’ de l’événement doit donc aussi prendre en charge cette pulsion eschatologique, cette certitude d’inauguration ». L’auteur reprend, pour étayer sa propre thèse, celle de Jürgen Habermas qui constate l’apparition d’une « sphère publique politique dite encore sphère publique bourgeoise ». Elle est dite bourgeoise car elle n’est pas issue de la noblesse, ni du peuple (exclu du débat critique). Kant définit l’esprit des Lumières

Europe politique [3], du fait qu’un vaste débat public peine à s’établir en l’absence d’une identité nationale partagée. Comme l’écrit Timothy Garton Ash, « le cœur du problème démocratique de l’Europe, ce n’est pas Bruxelles, c’est Babel » [4]. Jürgen Habermas et ses disciples ont raison sur le principe de poser avec fermeté qu’entre nation et démocratie, le lien n’est pas « conceptuel » mais « conjoncturel » [5]. Reste que la conjoncture résiste et que la forme nationale, si elle n’est pas une fin