Jürgen Habermas

démocratie participative qui suppose une plus grande place à la participation citoyenne pour gouverner. Plus tard dans les années 1980, d'autres auteurs introduisent la notion de démocratie délibératives inspirés par les théories de John Rawls et de Jürgen Habermas : → Dans les deux cas, On souhaite associer indirectement les citoyens au processus de prise de décision politique en institutionnalisant la participation des citoyens « ordinaires » sous d’autres formes que la simple désignation des élus.

aujourd'hui prend naissance au XVIII e siècle, à une époque où la bourgeoisie rêve de contrôler l'État, avec l'émergence d'une véritable opinion publique, un « espace public », pour reprendre le titre d’un ouvrage du philosophe et sociologue allemand Jürgen Habermas, même si elle reste quantitativement limitée. Elle implique que les individus participent effectivement, cet engagement étant envisagé à la fois comme un devoir et un pouvoir : il faut qu'ils participent afin d'infléchir la manière de gouverner

non étatiques qui forment un « espace public civil transnational »[15]. L’action de ces nouveaux acteurs sur la scène internationale trouve son fondement et sa légitimité dans la pratique de la « publicité », notion kantienne mise en avant par Jürgen Habermas[16] pour définir une ressource et une posture communicatives de promotion transformationnelle et de stigmatisation persuasive. Associée à l’éloge de la transparence, elle a pour but de dénoncer les défaillances de l’Etat dans ses pratiques gouvernementales

libres qui discutaient de la cité et échangeaient sur les décisions à prendre au sujet de la cité. Pensée des lumières Conception de Emmanuel Kant prolongée par Jürgen Habermas Espace public = espace de publicisation des opinions et de débats (EP politique mais pas décisionnel) Les savants (selon Kant) / les citoyens éclairés (selon Habermas) se réunissent pour discuter des choses qui les concernent et se faire une opinion. Entre usage privé de la raison et usage public. Pensée libérale Conception

anciennes et récentes de certains lieux et modes de vie dans les quartiers échirollois. A partir de ces entretiens, ils ont pu établir une analyse détaillée sur les réalités urbaines qui nous entourent dans toute l’Europe. 1. La ville d’hier Jürgen Habermas (1986) : « Notre conception de la ville est étroitement liée à notre mode de vie. Or ce mode de vie a évolué à une vitesse telle que la conception de la ville dont nous avons hérité ne peut plus se développer en symbiose avec lui ». Conception

devient un public lorsqu’il peut accéder à l’information et aux idées qui circulent dans son pays. Un petit détour par l’ouvrage du philosophe Jürgen Habermas (né en 1929) intitulée L’espace public : archéologie de la publicité comme dimension constitutive de la société bourgeoise [1963] va nous permettre de comprendre cette idée. Dans cet ouvrage, Habermas décrit « le processus au cours duquel le public constitué d’individus faisant usage de leur raison s’approprie la sphère publique contrôlée par

communiquerait ses opinions et perceptions sur le monde, par l’écrit – le livre ; cette instance critique s’identifierait au public éclairé, « l’opinion éclairée » (bourgeoisie lettrée, dans les Salons et Cafés littéraires : « l’espace public » selon Habermas) Au fur et à mesure que le suffrage s’étend, passant du suffrage restreint au suffrage universel mixte, la notion d’opinion publique va très vite évoluer. Pierre Bourdieu : « L’opinion publique n’existe pas », Les temps modernes, janvier 1973. Selon

texte, à définir l’éthique de manière opérationnelle pour le sujet qui nous occupe, à savoir la RSE. Ce travail définitionnel aboutit à établir une définition de la démarche éthique en termes de rationalité communicationnelle, concept emprunté à Habermas et reposant sur une description précise des conditions requises pour que l’espace de la discussion puisse donner lieu à une discussion éthique. 11- Ethique et morale La notion d’éthique que nous mobilisons dans cet article s’inscrit dans la lignée

collective de forme universaliste apparaît comme la seule socialement réalisable et normativement désirable pour la formation d’une identité collective européenne » (Mercier, 2003 : 128) ; Ce faisant, il se réfère et renvoie aux travaux de Jürgen Habermas, de Jean-Marc Ferry, d’Étienne Tassin ou encore de Joël Roman. Valorisant le modèle post-national du « patriotisme constitutionnel », il avance que « l’important n’est plus l’identité mais la citoyenneté : notre identité politique relève prioritairement

c’est le fruit d’une concertation réfléchie et collective. Ces méthodes aident à faire accepter par l’opinion publique. La démocratie délibérative connaît aujourd’hui un succès croissant, en particulier dans le monde anglo-saxon. Le philosophe Jürgen Habermas, explique que ni l’intérêt général, porté par l’Etat, ni la volonté majoritaire exprimée par le suffrage ne suffisent plus à justifier les choix démocratiques. La norme n’est légitime que si elle résulte d’un processus de délibération équitable